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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31739)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30954)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34512)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31752)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43812)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31172)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (28794)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28256)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (32107)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32326)/Commentaires ()/
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Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

18 août 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (25904)/Commentaires ()/
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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

18 août 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39051)/Commentaires ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

22 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25223)/Commentaires ()/
Catégories: 2016Éducation
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

18 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25144)/Commentaires ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
13 juillet 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33064)/Commentaires ()/
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Résot'âges: L’isolement du confinement n’est pas une fatalité

Auteur: Sébastien Durand- Initiative de journalisme local – APF – Ouest/4 avril 2020/Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, Société, Santé, Vitalité 55+ SK

Pour briser l’isolement, la consultante Francine Proulx-Kenzle a proposé, le 2 avril, une conférence en ligne dans le cadre de l’initiative Résot’âges. Pari réussi avec 35 personnes connectées pour écouter les conseils de cette formatrice en santé mentale. Pour madame Kenzle, passer du déni à l’acceptation de ce nouveau mode de vie demande une bonne dose de compassion, de moment présent et de résilience.

À une époque où il est plus que jamais question de télétravail ou de télé-enseignement, l’outil technologique est devenu un support presque incontournable pour rompre la solitude et maintenir une vie sociale.

Projet mené par la Cité universitaire francophone de Regina en collaboration avec la Fédération des aînés fransaskois (FAF), Résot’âges a pour but de nouer des liens intergénérationnels sur des sujets variés. La discussion a eu lieu via la plateforme Zoom, attirant un auditoire issu de plusieurs provinces au pays.

Native du Québec, Francine Proulx-Kenzle a grandi en Saskatchewan et travaille à la Cité universitaire francophone où ses travaux l’ont conduite à s’intéresser au mieux-être des organismes, entreprises, communautés et individus. Le télétravail faisant déjà partie de son quotidien avant la pandémie, il était naturel pour elle de partager son expérience et ses astuces pour gérer ce « deuil collectif dû à la perte de notre vie normale », selon ses propres termes.

Un deuil collectif

Reprenant le modèle de Kübler-Ross, la formatrice décline le deuil vécu par la société en cinq étapes : déni, colère, marchandage, dépression et acceptation. Elle illustre la phase de déni par cette façon de penser : « Cette pandémie, c’est pas si grave, ça va durer une semaine […] et après, tout sera de retour à la normale. »

Le déni laisse ensuite place à la colère. Toutes les générations peuvent être concernées, les jeunes seront frustrés de ne pas voir leurs amis tandis que les parents devront faire face à la perte d’un emploi et les aînés rejetteront les nouvelles contraintes de distanciation.

Le marchandage, c’est accepter de céder à la contrainte dans l’espoir d’un aménagement de peine en retour. Francine Proulx-Kenzle illustre son propos ainsi : « Si je travaille de la maison pendant deux semaines et que je reste en isolement, tout va se remettre en place. »

Augmentation du stress, impact sur la santé mentale… Et c’est la dépression qui guette. Par exemple, un employé pourra finir par s’épuiser et baisser les bras s’il sent que ses efforts ne sont pas reconnus à leur juste valeur, à cause de la distance.

Si le processus n’est pas nécessairement linéaire, l’acceptation reste cependant l’objectif ultime dans la mesure où l’individu se sera adapté à son nouvel environnement et y puisera même les ressources pour aller de l’avant.

Changer, c’est accepter

« L’acceptation émerge en étirant sa zone de tolérance au changement. » C’est ainsi que la formatrice résume sa méthodologie pour accepter. Il faut s’ouvrir à de nouvelles façons de faire les choses et cela passe par un aménagement de son quotidien.

En prenant le cas du télétravail, on prendra soin de désigner un espace de travail à la maison qui soit différent des espaces de vie, pour bien séparer vies personnelle et professionnelle. Il peut être judicieux aussi de se définir une nouvelle routine.

Plusieurs participants y sont allés de leurs propres conseils. Soraya Ellert recommande par exemple de « se garder occupé continuellement avec différentes choses ». Paul Demers, quant à lui, s’est fait un horaire et « commence le matin par du yoga et de la méditation ».

En outre, il a été recommandé de faire preuve de flexibilité et d’empathie envers soi et les autres. De belles initiatives communautaires ont vu le jour, comme à Ponteix où les aînés utilisent des cartons de couleur à leur fenêtre pour indiquer comment ils se sentent.

Même dans les familles on assiste à un resserrement des liens. C’est le cas pour Patricia Choppinet où petits-enfants et grands-parents profitent du confinement pour « raconter [leurs] histoires et les enregistrer ou les écrire ».

Gérer son stress

Compassion, moment présent et résilience seraient les trois ingrédients pour réduire son stress et son isolement selon la consultante. La compassion, c’est « prendre soin de soi, avant de prendre soin des autres ». Compassion et bienveillance prennent un sens tout particulier dans la situation actuelle.

Éric Lefol, directeur général de la Fédération des aînés fransaskois, avouera avec beaucoup d’enthousiasme qu’il « aime bien la société telle qu’elle est en ce moment, où les gens sont très respectueux les uns des autres ».

Francine Proulx-Kenzle cite aussi le philosophe Viktor Frankl : « Entre le stimulus et la réponse, il y a un espace. Dans cet espace se trouve notre pouvoir de choisir notre réponse, et dans notre réponse se trouvent notre croissance et notre liberté. » Vivre le moment présent c’est prendre une grande inspiration, méditer et contrôler ses émotions afin de faire les meilleurs choix.

Enfin, la résilience consiste à passer à travers les épreuves. La conférencière parlera même de faculté à « transformer la douleur de l’isolement et du stress en quelque chose qui nous fait grandir en tant qu’individu et communauté ». La communauté francophone s’organise pour surmonter cette nouvelle épreuve que constitue la COVID-19.

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Sébastien Durand

Sébastien Durand- Initiative de journalisme local – APF – Ouest

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 - samedi 5 octobre 2024