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Des graphistes en herbe à l’École Valois

Des graphistes en herbe à l’École Valois

La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."

2 janvier 2017/Auteur: ENDV/Nombre de vues (42482)/Commentaires ()/
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Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

GRAVELBOURG - C’est le 9 novembre dernier que les jeunes des écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg, le personnel des deux institutions scolaires et des membres de la communauté fransaskoise se sont donné rendez-vous pour la célébration du Jour du Souvenir sous le thème « Nous nous souviendrons ».

2 décembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34412)/Commentaires ()/
Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Il y a dix ans, la Table nationale en petite enfance devait faire des choix critiques. Ses membres ont décidé de continuer à se réseauter et à développer des modèles de lieux de service pour stimuler un mouvement national. Et ils ont écarté la stratégie juridique, qui aurait consisté à monter une cause solide quelque part au pays.

24 novembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (43496)/Commentaires ()/
Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

"Je veux aider la communauté à guérir"

 

Christiane Guérette a été élue pour représenter le district de Saskatoon au sein du Conseil scolaire fransaskois (CSF) lors des élections scolaires du 26 octobre 2016. Elle a été choisie par une majorité de conseillers pour occuper la présidence du CSF succédant ainsi à Alpha Barry. L’Eau vive l’a rencontrée.


 

24 novembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (33993)/Commentaires ()/
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Créer une relation complice avec son enfant

Créer une relation complice avec son enfant

Comment bâtir un lien durable

« Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers.

23 novembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (48282)/Commentaires ()/
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Le devoir des écoles sans ressources

Le devoir des écoles sans ressources

Il faut enseigner la langue et la culture en même temps

« Il faut enseigner la langue et la culture en même temps. Si on ne le fait pas, on est voué à disparaître. »

21 novembre 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (35004)/Commentaires ()/
Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
4 novembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (32378)/Commentaires ()/
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L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (31571)/Commentaires ()/
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Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (33132)/Commentaires ()/
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Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28265)/Commentaires ()/
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De l’huile sur un feu presque éteint?

De l’huile sur un feu presque éteint?

Un cadre du CÉF devient président de l'APF

L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté. 

27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36157)/Commentaires ()/
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Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (21352)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (31448)/Commentaires ()/
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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31396)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30804)/Commentaires ()/
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Étienne Fletcher au Quai des brumes

Étienne remporte le Grand prix du jury au Cabaret festif! de la relève

Auteur: Max Alexis Fortin-Landry/29 mars 2018/Catégories: 2018, Arts et culture, Musique

Étienne Fletcher au Quai des brumes à Montréal

Étienne Fletcher au Quai des brumes à Montréal

De gauche à droite: Sean McCannell, Neil Robinson et Étienne Fletcher
Photo : Max Alexis Fortin-Landry

Le 12 mars dernier, au bistrot Quai des Brumes à Montréal, s’est produite la formation pop rock dirigée par le Fransaskois Étienne Fletcher, lauréat du concours Chant’Ouest en 2015 et finaliste au Festival international de la chanson de Granby, en 2016, où il s’est mérité le Prix de la presse. Au moment de notre entrevue, la chanson Chérie, chéri était au 22e rang du palmarès des chansons les plus jouées au Canada et le groupe se préparait à se rendre au Cabaret festif! de la relève, à Baie-St-Paul, où il allait remporter le Grand prix du jury de l'événement.

L’ambiance tamisée de la petite salle, au public dispersé mais ravi, contrastait avec l’énergie dégagée par Étienne et sa bande, soit Gaelan Malloy et Sean McCannell, ainsi que Neil Robinson, artiste montréalais invité pour l’occasion.

Les compositions de l’artiste sont à son image : des textes honnêtes et réfléchis mais sans prétention, sur une mélodie parfois entraînante, parfois mélancolique, mais surtout lumineuse, portée par les notes franches de la guitare et du clavier. Du genre qui donne envie de saluer les gens qu’on croise ou d’embrasser quelqu’un qu’on aime. Avant chaque morceau, et avec une simplicité toute naturelle, Étienne prend la peine d’en expliquer l’origine ou le contexte, racontant une histoire qui se terminera en musique.

Lors de notre entretien, suite à la représentation, il semble ambivalent quant au nom de son groupe, qui est aussi le sien. Il tient beaucoup à ne pas récolter le crédit qui revient à ses amis et partenaires permanents, Sean et Gaelan. « Ce sont peut-être mes compositions à la base, mais nous sommes un collectif. C’est avec eux que je crée et c’est avec eux que je joue. »

Étienne s’exprime avec la pertinence de celui qui a un sens de l’introspection aiguisé, s’excusant parfois de ses élans philosophiques qui transcendent la question posée. Même si tous les sujets ne sont pas faciles à aborder en écriture, Étienne estime qu’une pièce peut être bien servie par un texte simple si le thème est fort. Il a aussi le souci de ne pas dire n’importe quoi : « J’ai toujours eu plus de facilité à composer la musique qu’à écrire les paroles. Par exemple, sur le thème des Autochtones et de la Commision de vérité et réconciliation, je me trouvais dans un état de paralysie conversationnelle parce que je ne voulais offusquer personne ni poser les mauvaises questions. Je savais pourtant que je devais en parler, car c’est ma responsabilité de citoyen d’essayer d’améliorer mon entourage. » L’artiste a éventuellement collaboré à l’écriture d’une chanson sur le sujet avec le rappeur autochtone InfoRed.

Le groupe fait présentement la promotion de ses deux EP : Side A, qui regroupe six titres en anglais et Face A, avec six titres en français. D’une mère québécoise et d’un père anglophone francophile, Étienne a grandi surtout en français dans ce qu’il appelle une minorité non-visible, parlant français à la maison et fréquentant l’école Monseigneur de Laval, à Regina (où il travaille comme professeur suppléant), de la 1ère à la 12e année. Mais c’est en écrivant avec son ami Byrun Boutin-Maloney, alors qu’ils font partie de la formation Indigo Joseph et se partagent le micro, qu’Étienne réalise qu’il veut s’impliquer davantage en francophonie et que son œuvre soit bilingue.

S’il estime n’avoir pas vraiment souffert lui-même d’ostracisme par la majorité linguistique en grandissant, il raconte néanmoins l’histoire d’un voisin francophone qui, ayant entendu les parents d’Étienne lui parler français alors qu’il était encore enfant, leur a conseillé de ne pas utiliser cette langue avec leur fils à Regina, pour sa santé et son bien être. « Il avait été assimilé au point de refuser de prononcer un seul mot dans sa langue maternelle. Je ne comprenais pas. Il est décédé maintenant mais ça me touche. J’aurais eu envie de lui demander ce qui avait bien pu se passer. »

Bien qu’il dise se sentir un peu plus activiste avec l’âge, Étienne Fletcher ne se voit pas comme un ambassadeur de la francophonie. Quoi qu’il en soit, il était l’invité d’honneur de la Journée internationale de la Francophonie, le 20 mars dernier, soulignée par un rassemblement au palais législatif de Regina dans le cadre des Rendez-vous de la Francophonie. En entrevue à l’émission Point du jour, à Radio-Canada, le président de l’Assemblée communautaire fransaskoise, Roger Gauthier, a fait l’éloge de l’artiste: « Il a un talent incroyable […] c’est un modèle pour nos jeunes Fransaskois. »

Lorsque nous avons demandé à Étienne ce qu’il pensait du déclin statistique de la francophonie en Saskatchewan, il a spontanément débuté par la partie optimiste de sa réponse: « J’ai été le témoin d’un changement dans mes 27 ans de vie. Je trouve formidable d’appartenir à une communauté où [désormais] des cultures de partout à travers le monde se réunissent à Regina pour parler français. Formidable. Mais de perdre nos jeunes Fransaskois qui sont nés ici à Regina, ça me brise un peu le cœur. »

Étienne est père de deux enfants : Manu, pour lequel il a écrit une chanson, Me and Manu, qui se retrouve sur son EP anglais, ainsi que le petit dernier, Riel…

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Max Alexis Fortin-Landry

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 - samedi 21 septembre 2024