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Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

REGINA - Les années 1968 étaient une période de beaucoup de changements, de revendications politiques, culturelles et sociales, ce qui explique pourquoi les chercheurs s’y attardent.

7 juin 2018/Auteur: Hervé Niragira/Nombre de vues (29404)/Commentaires ()/
Cours sur les premiers soins en santé mentale

Cours sur les premiers soins en santé mentale

MOOSE JAW - Les 5 et 6 mai derniers, une douzaine de personnes ont participé à une formation sur les premiers soins en santé mentale, animée par Francine Proulx-Kenzle et Roger Gauthier à Moose Jaw.

10 mai 2018/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (34716)/Commentaires ()/
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Une soirée de célébrations pour La Cité et le Bac !

Une soirée de célébrations pour La Cité et le Bac !

50 ans d'enseignement en français à l'Université de Regina

REGINA - Voilà maintenant 50 ans que les étudiants et professionnels ont la possibilité d’étudier le français et d’apprendre en français à l'Université de Regina.

10 mai 2018/Auteur: Céline Galophe/Nombre de vues (38284)/Commentaires ()/
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Un deuxième pavillon pour l'école élémentaire fransaskoise à Regina

Un deuxième pavillon pour l'école élémentaire fransaskoise à Regina

REGINA - Selon un communiqué émis par le Collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP), une entente conclue avec la province permettra à l’École Mgr de Laval de compter sur un deuxième pavillon pour désengorger ses locaux actuels.

24 avril 2018/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (39291)/Commentaires ()/
Balises: CPIP

C’est fait, une bataille gagnée par le CPIP !

Regina aura une deuxième école élémentaire

Communiqué du Collectif des parents inquiets et préoccupés faisant part de la décision du gouvernement de la Saskatchewan de louer les anciens locaux de l’école St Andrew pour dépeupler le pavillon primaire de l’école Monseigneur de Laval. 

24 avril 2018/Auteur: Jean de Dieu Ndayahundwa/Nombre de vues (31064)/Commentaires ()/
Balises: CPIP
Mise à jour de la cause du CPIP

Mise à jour de la cause du CPIP

Résultats prometteurs de la médiation !

En octobre 2017, le Collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP) a déposé un recours judiciaire contre le gouvernement de la Saskatchewan et le Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour la construction d’une nouvelle école primaire à Regina et l’offre des programmes et services équivalents à ceux des écoles de la majorité anglophone.

12 avril 2018/Auteur: Jean de Dieu Ndayahundwa/Nombre de vues (34440)/Commentaires ()/
Balises: CPIP
Lancement de "Contre toute attente"

Lancement de "Contre toute attente"

50 de vie francophone à l’Université de Regina

REGINA - Le 15 mars 2018 , une quarantaine de personnes se sont rendues à La Cité universitaire francophone pour assister au lancement du livre Contre toute attente de l’historien Michael Poplyansky et du chercheur Abdoulaye Yoh.

29 mars 2018/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36751)/Commentaires ()/
Lire avec fiston

Lire avec fiston

Travail d’équipe pour donner le gout de la lecture aux garçons

Lire avec fiston est un projet qui vise à donner le gout de la lecture aux garçons de 3e et 4e années en prêchant par l’exemple.

29 mars 2018/Auteur: Julien Cayouette (Le Voyageur)/Nombre de vues (35291)/Commentaires ()/
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Un cri d’alarme dans les garderies de l’Ouest

Un cri d’alarme dans les garderies de l’Ouest

Comité des langues officielles en tournée

Un groupe de sept membres du Comité permanent des langues officielles des Communes a récemment séjourné dans l’Ouest canadien pour s’informer sur place de l’état critique des services à la petite enfance francophone.

25 mars 2018/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35266)/Commentaires ()/
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Un livre sur 50 ans de présence francophone à l’Université de Regina

Un livre sur 50 ans de présence francophone à l’Université de Regina

En septembre 1968, le Centre d’études bilingues de Regina voyait le jour au cœur de l’Université de Regina. Cinquante ans plus tard, La Cité universitaire francophone et le programme du Bac en éducation française sont les fiers représentants de la francophonie à l'université.

1 mars 2018/Auteur: Marie Galophe/Nombre de vues (39909)/Commentaires ()/
Ponteix obtient sa région scolaire fransaskoise

Ponteix obtient sa région scolaire fransaskoise

Le 7 février dernier, lors de sa séance régulière à Regina, le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a décidé d’accorder une région scolaire distincte à Ponteix, accompagnée d’un siège à la table des conseillers scolaires.

24 février 2018/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (36052)/Commentaires ()/
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Un soutien au
 développement de 
l’éducation postsecondaire en français

Un soutien au
 développement de 
l’éducation postsecondaire en français

Collaboration du Collège Mathieu, Saskatchewan Polytechnic et l'Université de Regina

Le Collège Mathieu, la Saskatchewan Polytechnic et l’Université de Regina ont signé une lettre d’intention visant la collaboration mutuelle au chapitre des programmes d’éducation en français dans le domaine de la santé, le 18 janvier dernier, à la Rotonde de la Cité universitaire.

1 février 2018/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (34289)/Commentaires ()/
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Journée des carrières en santé

Journée des carrières en santé

Le Consortium national de formation en santé de La Cité universitaire francophone de l’Université de Regina a organisé, pour la première fois, une journée des carrières en santé, en collaboration avec l’Université d’Ottawa, le 13 janvier dernier. 

1 février 2018/Auteur: Jeanne Dumas/Nombre de vues (28512)/Commentaires ()/
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Deux enseignantes de la Saskatchewan reçoivent le Prix d’histoire
 du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement

Deux enseignantes de la Saskatchewan reçoivent le Prix d’histoire
 du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement

Le 22 novembre 2017, à Rideau Hall, les enseignantes saskatchewannaises Naomi Fortier-Fréçon et Leia Laing ont reçu le Prix d’histoire du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement 2017

7 décembre 2017/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (31204)/Commentaires ()/
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Les conseillers scolaires à la rencontre des aspirants chefs

Les conseillers scolaires à la rencontre des aspirants chefs

Les conseillers scolaires fransaskois ont commencé à rencontrer les candidats à la chefferie du Parti saskatchewannais et du Nouveau Parti Démocratique, le 4 décembre dernier à Regina. 
6 décembre 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (37665)/Commentaires ()/
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Le Roi Lear parle trois langues à Saskatoon

Le Roi Lear parle trois langues à Saskatoon

Auteur: Sarah Vennes-Ouellet/22 mai 2024/Catégories: La Troupe du jour, Arts et culture, Théâtre

Du 25 avril au 12 mai, la Troupe du Jour (LTDJ), Gordon Tootoosis Nikaniwin Theatre et Never Never Shakespeare ont présenté une adaptation trilingue du Roi Lear. Cette pièce, qui se joue à l’arrière-scène du Remai Arts Centre de Saskatoon, entrelace avec brio le français, le cri et l’anglais.

Deux acteurs bien connus du public fransaskois ont une place prédominante dans cette nouvelle production conjointe.

Bruce McKay, directeur artistique de LTDJ, joue Lear avec passion. Gabrielle Dufresne, quant à elle, joue le rôle de Cordélia et du fou du roi avec dignité et humour, selon le rôle.

Tous deux ont aussi participé à la traduction en français du texte en collaboration avec Bob Wicks, directeur artistique de Never Never Shakespeare, et Mackenzie Dawson.

Du Shakespeare des Prairies

Pour Bruce McKay, les pièces de William Shakespeare transcendent le temps et le lieu : « Shakespeare est toujours pertinent et il le restera. Ses pièces traitent de thèmes universels et contiennent des histoires, une langue et des personnages de grande qualité. Elles abordent des expériences familières, comme les conflits familiaux qui sont au cœur de l'histoire de Lear. »

Malgré la nature universelle de ce pilier du théâtre anglais, Gabrielle Dufresne a découvert un monde de possibilités lors de l’adaptation du texte original de Shakespeare.

En l’occurrence, le résultat est une œuvre adaptée aux Prairies : « Je crois que c’est important de ne pas tenir l’œuvre originale comme un texte sacré, dit-elle. On peut se permettre de couper le texte et de parler des problématiques comme le racisme et le sexisme. Nous avons ajouté au texte la perspective des Prairies et les langues qu’on entend ici. »

Les langues locales célébrées

Bruce McKay explique le choix du Roi Lear, « l’une des pièces les plus appréciées de Shakespeare », pour concrétiser l’ambition d’un spectacle trilingue.

« La structure de l'histoire, qui met en scène deux familles centrales et un lien avec la France, nous a permis de diviser les personnages en trois groupes linguistiques différents – français, cri et anglais, afin d'explorer l'influence de la langue sur les relations et la façon dont les gens l’utilisent pour divulguer ou cacher des choses aux autres. »

L’adaptation équilibre ainsi les trois langues, avec des dialogues qui se déroulent entièrement en cri ou en français, et ce, sans surtitres.

Bruce McKay se félicite de cette expérience trilingue : « Nous vivons une époque de réconciliation et le fait qu'une langue autochtone soit mise sur un pied d'égalité avec nos deux langues officielles est très emballant. »

L’acteur et directeur artistique ajoute : « Je suis anglophone et je suis d'avis que ni le cri ni le français ne devraient être relégués au second plan. Il est important d'explorer notre communauté dans toute sa diversité et de célébrer nos langues et nos cultures. »

Gabrielle Dufresne apprécie elle aussi l’occasion de s’immerger dans trois langues en une même pièce.

« J’adore le fait de ne pas avoir de surtitres. Étant bilingue, je me sens choyée de pouvoir jouer dans deux langues. […] Il y avait des défis. Les acteurs qui avaient des dialogues en cri ont travaillé avec des enregistrements et un gardien de cette langue pour la prononciation. »

Lear, Cordélia et le fou

Les personnages de Shakespeare transcendent les siècles et le jeu de Bruce McKay rend justice à ce roi Lear qui dispense amour paternel et vengeance avec une passion déstabilisante.

« Je pense que Lear est un homme compliqué. Il est profondément imparfait, doté d'une forte volonté, aimant, passionné et très humain. Il est aussi compliqué que nous tous. »

Gabrielle Dufresne joue, elle, deux personnages qui représentent l’honnêteté, l’une avec dignité et droiture, et l’autre avec légèreté.

« Ce sont deux rôles souvent joués par la même actrice, précise l’artiste. L’honnêteté de Cordélia est sévèrement punie par son père Lear. Le fou, en revanche, a la permission de dire la vérité au roi. Cordélia est posée et forte, elle observe et vit beaucoup de tristesse. Le fou, lui, me permet de chanter et jouer de la musique. »

La pièce Le Roi Lear est présentée au Remai Arts Centre de Saskatoon jusqu’au 12 mai.

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Sarah Vennes-Ouellet

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 - mardi 5 novembre 2024