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Le Collège Mathieu surfe sur la vague du numérique

Le Collège Mathieu surfe sur la vague du numérique

Regina a accueilli le congrès du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada

REGINA - Le Collège Mathieu était l'hôte du congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada les 6 et 7 novembre 2019. Le thème de cette année : « Le numérique, un dénominateur commun. »

28 novembre 2019/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (28409)/Commentaires ()/
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Au CÉF, l’école se veut communautaire et citoyenne !

Au CÉF, l’école se veut communautaire et citoyenne !

Entretien avec Ronald Ajavon, directeur général du Conseil des écoles fransaskoises

Le CÉF travaille à établir un modèle unique d’école communautaire citoyenne en Saskatchewan. Il vise à favoriser à la fois la réussite des élèves et l’épanouissement des communautés.

19 novembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (24646)/Commentaires ()/
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École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?

École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?

Une semaine après que les Franco-Colombiens aient demandé de meilleures écoles devant la Cour Suprême…

2 novembre 2019/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (24216)/Commentaires ()/
Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Le NCLEX (National Council Licensing Examination) fait trembler bien des candidats francophones au programme de sciences infirmières. Si dans sa version anglaise plus de 80 % d’entre eux réussissent au niveau national, le taux de réussite tombe à 30 % pour les candidats en français.

31 octobre 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (28868)/Commentaires ()/
Une communauté dévouée pour son école

Une communauté dévouée pour son école

Un nouveau terrain de jeu pour l'École Providence de Vonda

Grâce à la mobilisation des parents, du personnel et de la ville, l’École Providence de Vonda s’est paré d’un terrain de jeu flambant neuf pour le plus grand plaisir des enfants.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31746)/Commentaires ()/
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Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

L’école Monseigneur de Laval, Pavillon secondaire des Quatre Vents à Regina, n’a rien à envier aux établissements de la majorité.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25318)/Commentaires ()/
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La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

Un programme offert de la maternelle à la 3e année

SASKATOON - Les étudiants de la maternelle à la 3e année de l’école St. Michael Community School à Saskatoon auront l’occasion de suivre le premier programme d’apprentissage de la langue michif offert dans la ville et l’un des deux seuls programmes à l’échelle de la province.

15 septembre 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (27645)/Commentaires ()/
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Retrouvailles au Collège Mathieu

Retrouvailles au Collège Mathieu

45 ans après avoir terminé leurs études au Collège Mathieu d'anciens élèves se sont rencontrés à Gravelbourg.

 

29 août 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28141)/Commentaires ()/
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Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau vive en a rencontré six.

21 juillet 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (29291)/Commentaires ()/
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Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année. Elle part maintenant étudier les sciences en français à l’Université d’Ottawa.

19 juillet 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25893)/Commentaires ()/
Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Remise des prix Expo-science 2019

REGINA - Le 20 juin dernier, à l’école Monseigneur de Laval de Regina, on a pu assister à un spectacle de chansons, de danses concocté par les classes de 3e année,ainsi qu'à la remise des prix aux gagnants de l’Expo-sciences qui s‘était déroulée au début du mois.

16 juillet 2019/Auteur: Linda Morales/Nombre de vues (26935)/Commentaires ()/
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Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Terry Gaudet et Michel Forest honorés par la Saskatchewan High Schools Athletic Association

Terry Gaudet et Michel Forest, enseignants respectivement à l’École St-Isidore à Bellevue et à l’École Mathieu de Gravelbourg, ont chacun reçu le Prix du service de la Saskatchewan High Schools Athletic Association (SHSAA). Ces récompenses viennent souligner l’implication remarquable des deux instituteurs pour le sport à l’école.

13 juillet 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (29334)/Commentaires ()/
Une foire des sciences totalement en français

Une foire des sciences totalement en français

Expo-sciences à Mgr de Laval

REGINA - Le jeudi 6 juin 2019 avait lieu la foire des sciences de l’école Monseigneur de Laval. Les élèves de la 3e et de la 5e année étaient présents pour exposer leurs projets de recherche. 

22 juin 2019/Auteur: Linda A. Morales/Nombre de vues (27778)/Commentaires ()/
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Une première cohorte de juristes obtient des certifications en français

Une première cohorte de juristes obtient des certifications en français

SASKATOON - Pour la première fois, cinq étudiantes de l’Université de la Saskatchewan ont reçu ce 5 juin à Saskatoon une certification de common law en français de l’Université d’Ottawa. 

21 juin 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (32916)/Commentaires ()/
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62,6 millions de dollars pour lutter contre la pénurie d’enseignants

62,6 millions de dollars pour lutter contre la pénurie d’enseignants

VANCOUVER - Le lundi 13 mai 2019, la ministre des Langues officielles Mélanie Joly a annoncé une stratégie nationale de recrutement et de rétention des enseignants francophones.

4 juin 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (35633)/Commentaires ()/
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Christine Nguyen, ergothérapeute

Auteur: Alexandra Drame (EV)/18 juin 2015/Catégories: 2015, Société, Santé, Chroniques, Mon métier, ma passion

Christine Nguyen, ergothérapeute

Christine Nguyen, ergothérapeute


Photo: Alexandra Drame (2015)
SASKATOON - Il y a des métiers qui restent assez mystérieux pour beaucoup de gens. L’ergothérapie fait partie de ceux-ci. Christine Nguyen, récemment arrivée à Saskatoon, nous en dit plus sur son métier et pourquoi il la passionne.

L’ergothérapie est une spécialité qui consiste à trouver un traitement thérapeutique de rééducation ou de réinsertion sociale par l'activité physique ou manuelle. Parfois confondu avec d’autres spécialistes, l’ergothérapeute travaille en étroite collaboration avec des masseurs-kinésithérapeutes, des orthophonistes, des physiothérapeutes, des psychomotriciens, des médecins, des infirmiers, des psychologues et des travailleurs sociaux.

Christine exerce ce métier depuis 3 ans. Venue d’Ontario, elle a commencé sa carrière à Moose Jaw et se trouve désormais à Saskatoon. “Je n’ai pas beaucoup cherché de travail en Ontario, j’avais envie d’aventure, de dépaysement. J’aime les Prairies, le ciel est magnifique, les gens sont très gentils. Ils ont un sens de la communication et de la famille très développé. Dans les grandes villes comme Toronto, les gens sont plus fermés.”

L’ergothérapie fut cependant une vocation tardive : “Depuis l’adolescence, je rêvais de travailler dans le secteur de la santé et d’aller dans les pays émergents pour faire du bénévolat. Mais j’ai finalement commencé une carrière de designer d’intérieur. Malheureusement, ce secteur ne me permettait pas de faire du bénévolat, et je communiquais plus avec des machines qu’avec des gens.”

Son choix de réorientation a notamment été motivé par la maladie de plusieurs membres de sa famille, dont sa tante qui a des problèmes de langage à cause d’une tumeur et qu’elle aurait aimé pouvoir mieux épauler.

En 2009, elle se décide à se réorienter. Mais effectuer un virage dans sa carrière professionnelle n’est pas une décision qui se prend à la légère. Elle hésite entre plusieurs options, notamment orthophoniste, oto-rhino-laryngologiste ou conseillère pédagogique, mais c’est l’ergothérapie qu’elle choisira. “C’était une bonne combinaison avec mon premier métier de designer puisqu‘il faut évaluer l’environnement des clients afin de les traiter.” En effet, l’ergothérapeute se doit de travailler les mouvements mais aussi les petites habitudes de la vie quotidienne de ses patients, notamment une réorganisation de l’espace afin d’éviter les rechutes, les accidents ou les positions douloureuses. Après un programme de maîtrise de 26 mois à l’Université McGill, elle commence officiellement à pratiquer.

Jeunes, personnes âgées, victimes d’accident, de blessure, de démence ou de maladie congénitale, la clientèle est très variée. Et les gestes à apprendre ou réapprendre aux patients sont tout aussi variés. Cette variété qui pourrait déstabiliser certains plaît à Christine, mais elle avoue néanmoins que “cela prend du temps pour se spécialiser quand on a des fonctions aussi étendues. Et 26 mois d’études, c’est court pour apprendre un métier aussi vaste. On apprend beaucoup plus sur le terrain que pendant la formation. Quand on compare avec la physiothérapie où les stages sont très spécialisés. On peut ainsi avoir un stage pour apprendre spécifiquement les gestes pour faire remarcher son patient par exemple. ”

Grâce à quelques années passées en France pendant son enfance, puis à des cours de français pendant sa scolarité, Christine est désormais une fière francophone. Elle ne connaît pas encore bien la fransaskoisie mais espère pouvoir participer à plus d‘événements en français lors des prochains mois “Je suis allée au 5 à 7 des nouveaux arrivants au Relais, et j’ai trouvé les Fransaskois très accueillants.”

Cela lui aura pris 2 ans pour découvrir ce qu’elle aime le plus, mais maintenant Christine n’a plus de doute : c’est la réhabilitation et les personnes âgées qui sont ses domaines de prédilection. Si elle devait donner un conseil aux personnes intéressées par ce métier ce serait de “suivre un professionnel le premier jour pour mieux comprendre ce métier et les différentes spécialités qui le composent. Il faut aussi faire preuve de patience, aimer travailler avec les gens et faire preuve de flexibilité pour ne pas être déstabilisé par l’étendue de la tâche...” 

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Alexandra Drame (EV)

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 - mardi 5 novembre 2024