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Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! 8 mai 2014 25843 C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne Smelt procédait le 2 mai dernier à l’ouverture officielle de son gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House, situé à Zenon Park. En effet, Mme Smelt réalise un grand rêve,...
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014 Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour... 7 mai 2014 23603
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS! C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les... 1 mai 2014 30570
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15 À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement... 23 avril 2014 26050
Grand rassemblement de l’éducation en français Grand rassemblement de l’éducation en français Faire de la francophonie un levier puissant dans l’économie canadienne a été le grand sujet de discussion du 3e Grand... 23 avril 2014 19254
Prix BRAVO bénévoles Prix BRAVO bénévoles Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures... 10 avril 2014 25096
Atelier sur la littératie financière Atelier sur la littératie financière Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé... 2014-03-22 13:30 - 16:30 18652
Le francothon s'en vient 2014-04-12 18:00 Le francothon s'en vient C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants 6 mars 2014 Le dollar canadien inquiète les immigrants Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Dominique Liboiron / 11 juin 2020 / Catégories: 2020, Société, Voyages, Aventure et plein air Six adolescents naufragés ont survécu 15 mois sur une île déserte Alvaro Cerezo et Kolo Fekitoa Kolo Fekitoa, à droite, a voulu revoir l’île d’Ata une dernière fois avant de mourir. Il a demandé à l’aventurier Alvaro Cerezo, à gauche, d’organiser le voyage. Crédit : Alvaro Cerezo Un récent article dans le journal britannique The Guardian décrit une aventure incroyable, mais peu connue. Dans son reportage du 9 mai intitulé « The real Lord of the Flies: What happened when six boys were shipwrecked for 15 months », l’auteur néerlandais Rutger Bregman décrit l’expérience de six adolescents naufragés qui ont passé plus d’un an sur une île déserte dans l’océan Pacifique. Luke Veikoso, Sione Fataua, Tevita Fatai Latu, Kolo Fekitoa, Tevita Fifita Siolaʻa et Sione Filipe Totau étaient pour cinq d’entre eux pensionnaires d’une école catholique à Nuku’alofa, capitale de l’archipel des Tonga. Le plus vieux avait 16 ans et le plus jeune 13 ans. Ennuyés par la vie de régiment du pensionnat, les gamins « empruntèrent » un bateau au mois de juin 1965 dans le but de fuir vers les îles Fiji. Victimes d’un orage qui déchira leur voile et cassa leur gouvernail, les jeunes hommes dérivèrent pendant huit jours avant de rejoindre Ata, une île déserte située à environ 100 miles (160 km) au sud-ouest de leur point de départ. Pendant leur dérive, ils manquèrent d’eau et de nourriture. Une fois arrivés sur l’île Ata, les naufragés mangeaient du poisson, des noix de coco et des oiseaux sauvages qui, vivant sur une île déserte, n’avaient aucune crainte des humains. Plus tard, les ados explorèrent les lieux et y trouvèrent des bananiers et même des poules. L’île avait été habitée jusqu’en 1863 et des générations de poules y avaient survécu. Débrouillards, intelligents et consciencieux, les jeunes hommes se sont épanouis pendant leur épreuve. Ils ont su allumer un feu sans allumettes et ont cuit la viande d’oiseaux. Ils se sont construit une maison dont la toiture était tissée avec des palmes de cocotiers. Les naufragés ont également pu extraire de l’eau fraîche des arbres, ce qui leur a permis de survivre sur une île entourée d’eau salée. Les adolescents seront découverts le 11 septembre 1966 par un capitaine de pêche australien nommé Peter Warner. Le capitaine avait remarqué les vestiges d’un feu sur cette île supposément inhabitée. Curieux, il s’était approché et les naufragés s’étaient hâtés de nager vers son bateau. Incrédule, Peter Warner s’étonna de la qualité de leur anglais, mais surtout de la péripétie qu’ils lui racontèrent. Le capitaine ramena les pensionnaires à Tonga où on les croyait morts. En remerciement, le roi du pays accorda des droits de pêche à Peter Warner qui engagea les naufragés comme équipage. Les sept hommes ont ensuite forgé une amitié à vie. En 2015, un des naufragés, Koko Fekitoa, était atteint du cancer et souhaitait revoir Ata une dernière fois. Il demanda donc l’aide d’Alvaro Cerezo, un aventurier espagnol qui se spécialise dans les expéditions sur des îles inhabitées. Pendant 10 jours, Koko Fekitoa et Alvaro Cerezo ont vécu comme en 1965. Ils se sont nourris de poissons, d’oiseaux et de noix de coco, comme au bon vieux temps… « Il a dit que ces 15 mois étaient la meilleure expérience de sa vie », relate le guide espagnol. Après tout, Koko Fekitoa a reconnu que l’île lui avait sauvé la vie après huit jours à la dérive sans eau. L’homme aura ainsi vécu jusqu’en 2017, décédant à l’âge de 71 ans. Imprimer 29343 Dominique LiboironDominique Liboiron Autres messages par Dominique Liboiron Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.