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Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! 8 mai 2014 25726 C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne Smelt procédait le 2 mai dernier à l’ouverture officielle de son gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House, situé à Zenon Park. En effet, Mme Smelt réalise un grand rêve,...
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014 Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour... 7 mai 2014 23481
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS! C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les... 1 mai 2014 30482
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15 À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement... 23 avril 2014 25887
Grand rassemblement de l’éducation en français Grand rassemblement de l’éducation en français Faire de la francophonie un levier puissant dans l’économie canadienne a été le grand sujet de discussion du 3e Grand... 23 avril 2014 19104
Prix BRAVO bénévoles Prix BRAVO bénévoles Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures... 10 avril 2014 25041
Atelier sur la littératie financière Atelier sur la littératie financière Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé... 2014-03-22 13:30 - 16:30 18567
Le francothon s'en vient 2014-04-12 18:00 Le francothon s'en vient C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.
Le dollar canadien inquiète les immigrants 6 mars 2014 Le dollar canadien inquiète les immigrants Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Jean-Philippe Deneault - Initiative de journalisme local - APF / 7 avril 2020 / Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, 2020, Saskatoon, Arts et culture, Musique Un troisième disque charnière pour Toria Summerfield SASKATOON - Sans tambour ni trompette, Toria Summerfield a lancé le 13 mars son 3e album sur toutes les plateformes et à l’occasion d’un petit concert intime dans une taverne de Saskatoon. À cette occasion, la chanteuse revient sur les origines de son nom d’artiste, de l’insécurité linguistique qui la pousse à écrire et chanter en anglais, et des raisons pour lesquelles elle fait de la musique. Victoria Becker est née à Regina et a grandi à Moose Jaw en Saskatchewan. Elle est le fruit d’un couple exogame, sa mère étant canadienne-française et son père anglophone. Si l’auteure-compositrice-interprète a étudié à l’École canadienne-française (ÉCF) de Saskatoon et a effectué son secondaire en immersion française, chacun de ses disques est entièrement en anglais, à l’exception de quelques phrases en français. « J’aimerais écrire en français dans le futur. Il y a une chanson du groupe louisianais Les Feux-Follets que je trouve inspirante. Quand le groupe a présenté ses chansons lors d’un concert à l’ÉCF, leur français n’était pas parfait et je pouvais m’identifier à ça », se rappelle-t-elle. Victoria Becker poursuit actuellement un baccalauréat en éducation avec une mineure en éducation française. Mais Toria Summerfield est son nom de scène, une manière de séparer la future enseignante de l’artiste. « Toria est le diminutif de Victoria. On m’appelle comme ça depuis que je suis née. Pour Summerfield, c’est parce que pendant l’été, alors que je conduisais pas loin de Saskatoon, possiblement en direction de l’acreage de mes parents, j’ai trouvé le paysage des champs si inspirants, et le nom a collé », raconte-t-elle avec un brin de nostalgie dans la voix. Gagner sa vie Toria a écrit sa première chanson à l’âge de 10 ans, mais c’est à 18 ans qu’elle s’est réellement lancée dans sa carrière musicale. Ses disques ne sont disponibles que sur des plateformes numériques, y compris son plus récent : « Pas même de merch, même si on me le demande souvent ! Je ne fais pas de la musique pour de l’argent, s’exclame-t-elle. J’en ai assez pour payer mes études grâce aux prêts étudiants, et les dépenses de base sont sans grands luxes. » L’artiste se dit tout de même privilégiée. « Je suis une femme blanche en Saskatchewan, mes deux parents travaillent, ils sont bien logés, nous avons un chalet familial… Mais l’argent, ce n’est pas pour ça que je fais de la musique. C’est pour partager mes émotions », insiste-t-elle. Afin de payer ses études en enseignement, Toria travaille comme éditrice-photo et photographe pour le journal étudiant de l’Université de la Saskatchewan. « La photographie est un médium artistique qui me donne l’opportunité de rencontrer de nouvelles personnes, comme le premier ministre Justin Trudeau. Je préfère prendre des photos que de me faire prendre en photo. C’est le médium artistique avec lequel je suis la plus confortable », confie-t-elle. Seule musicienne de la famille, elle se considère comme un mouton noir. D’autant plus qu’elle est végétarienne alors que ses grands-parents paternels sont éleveurs de bétail. Faire de la musique apparaît ainsi comme un acte de résistance et de libération pour la jeune artiste. Un élan de maturité artistique Dans ses deux premiers disques, disponibles sur la plateforme Bandcamp, Toria Summerfield fait preuve d’une voix éthérée et ensorceleuse à la Hope Sandoval du groupe Mazzy Star. Sa voix est aussi cadencée à la limite du murmure avec des inflexions atonales. Mais les quelques pépites où elle s’accompagnait au ukulélé, dont une étonnante reprise de Love Me Tender d’Elvis Presley, sont maintenant derrière elle. Celle qui réclame comme influences Amy Winehouse, Patsy Cline et Lana Del Rey, dévoile à quoi ses auditeurs peuvent s’attendre : « From Her Rib est un peu plus mature que mon dernier disque. C’est moins dans le style emo-rap. Il y a davantage d’instruments, des beats plus complexes, et un feel live. Mais ça demeure quand même toujours triste. Le thème d’unrequited love [amour non réciproque] est toujours très présent », détaille-t-elle. Toria Summerfield participera à un concert-maison en soutien au campement Unist'ot'en, prévu pour la fin mars mais reporté à une date indéterminée en raison du coronavirus, avec le poète Alasdair Rees, le duo Little Criminals et la violoniste Respectful Child. Imprimer 26093 Balises: Toria Summerfield Liens à visiter Page Facebook de Toria SummerfieldAuteure-compositeure de Saskatoon Jean-Philippe Deneault - Initiative de journalisme local - APF Jean-Philippe Deneault Autres messages par Jean-Philippe Deneault - Initiative de journalisme local - APF Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.