Festival fransaskois 2024
Close
Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la... Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la...

Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la...

Les coopératives de crédit et les politiques qui régissent leur fonctionnement doivent s'adapter pour rester viables

19861

Les coopératives de crédit, qui jouent depuis longtemps un rôle de premier plan dans le système financier de la Saskatchewan, font face à des défis uniques et nouveaux. Selon de nouvelles recherches du Conference Board, elles doivent continuer d'évoluer si elles veulent rester prospères et utiles en Saskatchewan. 

Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park!

Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park!

25765
C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne  Smelt procédait le 2 mai dernier à l’ouverture officielle de son gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House, situé à Zenon Park. En effet, Mme Smelt réalise un grand rêve,...
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014

Lauriers de la PME 2014

Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour...
23522
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS!

Un nouveau site Web pour le CCS!

C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les...
30506
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15

Financement Patrimoine canadien 2014-15

À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement...
25919
Prix BRAVO bénévoles Prix BRAVO bénévoles

Prix BRAVO bénévoles

Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures...
25055
Atelier sur la littératie financière Atelier sur la littératie financière

Atelier sur la littératie financière

Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé...
18593

Le francothon s'en vient

C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.

RSS
Première7891011121315
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Anonym
/ Catégories: 2018, Courrier du lecteur

Question sur la gouvernance fransaskoise

(Deuxième texte d’une série de quatre)

Le 7 mai 2018, à Radio-Canada, le président de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) a affirmé que l’organisme est un modèle d’excellence. Il a renouvelé son opposition à des états généraux, préférant de potentielles discussions lors du Rendez-vous fransaskois en novembre. C’est une déclaration étonnante au vu des événements récents qui ont miné les fondations mêmes de l’ACF.

Une créature unique

Il est important de faire une rétrospective. En 1999, lorsque l’ACF a remplacé l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ce n’est pas que le nom qui a changé. C’est une nouvelle entité légale et une nouvelle structure qui ont été mises en place.

Cela a fait de l’ACF un modèle unique dans toute la francophonie canadienne, une créature un peu bizarre qui peut être admirée par certains, mais qui n’a été copiée par personne. C’est un modèle qui devait permettre à l’ACF d’être non seulement un organisme porte-parole, mais aussi, en quelque sorte, un gouvernement élu au suffrage universel des Fransaskois, même si, dans la pratique, les députés communautaires comme la présidence sont souvent élus par acclamation.

L’ACF devait être un gouvernement communautaire auquel se subordonneraient toutes les autres associations francophones en Saskatchewan. Dans la réalité, cette gouvernance centralisée n’a jamais été acceptée par les associations, sauf dans la signature de quelques ententes aux bonnes intentions.

Règlement électoral désavoué

L’ACF s’est donné des règles pour lui permettre de mettre en place cette gouvernance, des règles qui débordent de la Loi de 1995 sur les sociétés sans but lucratif dont elle est issue.

Le 12 avril dernier, il y a eu un coup de tonnerre dans le ciel bleu fransaskois. Lors d’un premier test devant les tribunaux, les statuts de l’ACF ont été mis à mal puisque la « commission indépendante » créée par ces mêmes statuts a été désavouée par la Cour du Banc de la Reine. Le juge rendra sa décision sur le résultat de l’élection selon l’article 135 de la loi, sans égard aux audiences et à la décision rendue par la « commission indépendante » de l’ACF.

Cette décision a des conséquences indirectes graves pour l’ACF, puisqu’elle mine les bases sur lesquelles l’organisme appuie ses prétentions de gouvernance communautaire. Aux yeux de la loi, l’ACF est un OSBL comme les autres.

Membership virtuel

Les élections au suffrage universel ont été rendues possibles par l’invention d’une catégorie de membres qui n’existe pas dans la Loi de 1995 sur les sociétés sans but lucratif, une sorte de membre virtuel nommé « membre individuel ». Ces membres, définis dans les statuts généraux de l’ACF, ne sont pas de réels sociétaires (« member » en anglais) au sens de la loi. En effet, contrairement aux dispositions de l’article 2(1), les « membres individuels » de l’ACF ne peuvent pas élire ou destituer les administrateurs, examiner les états financiers et nommer le vérificateur.

De la même manière, dans la structure actuelle, comment les « membres individuels » de l’ACF pourraient-ils se prévaloir de la clause 96(1) ? Sous réserve du paragraphe (2) et de l’alinéa 94(g), les sociétaires peuvent, lors d’une assemblée extraordinaire, révoquer les administrateurs par résolution ordinaire. Dans les faits, l’ACF ne compte que 16 sociétaires, les députés communautaires et la présidence. Ce sont eux, entre eux, qui élisent un conseil exécutif.

Représentativité

Cette structure et la mainmise qu’elle permet par un petit nombre causent un déficit démocratique. Lorsque la communauté a besoin de s’exprimer, la voix de l’ACF, son organisme porte-parole, ne suffit pas. Cela crée une situation où deux entités se disent représentatives des associations fransaskoises : l’Assemblée des députés communautaires (ADC) et la Table des élus qui regroupe les présidences des associations. En exemple tout récent, dans le dossier des espaces communautaires dans les écoles, c’est la Table des élus et non l’ADC qui a adopté une proposition qui doit être transmise à tous les membres de l’Assemblée législative de la Saskatchewan.

« Tout va très bien, Madame la marquise »

En affirmant que tout va bien, le président de l’ACF escamote la première question posée le 7 mai 2018 : quelles sont aujourd’hui la valeur et l’utilité de définir l’ACF comme un gouvernement fransaskois ?

Évidemment, on ne peut appeler des états généraux pour la fin de semaine prochaine, mais reporter le début de discussions au Rendez-vous fransaskois de l’automne, c’est à la fois trop peu et trop tard. C’est affaiblir non seulement l’ACF, mais toute la communauté fransaskoise. D’autre part, je note avec déception qu’aucune considération n’a été portée aux deux autres questions posées le 7 mai : l’ACF ne devrait-elle pas faire preuve de plus de transparence ? N’est-il pas temps de jeter un regard sur les projets passés et d’évaluer les réussites et les ratés ?

Daniel Paquette
Regina

Imprimer
10514

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top