Festival fransaskois 2024
Close
Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la... Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la...

Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la...

Les coopératives de crédit et les politiques qui régissent leur fonctionnement doivent s'adapter pour rester viables

19840

Les coopératives de crédit, qui jouent depuis longtemps un rôle de premier plan dans le système financier de la Saskatchewan, font face à des défis uniques et nouveaux. Selon de nouvelles recherches du Conference Board, elles doivent continuer d'évoluer si elles veulent rester prospères et utiles en Saskatchewan. 

Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park!

Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park!

25741
C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne  Smelt procédait le 2 mai dernier à l’ouverture officielle de son gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House, situé à Zenon Park. En effet, Mme Smelt réalise un grand rêve,...
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014

Lauriers de la PME 2014

Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour...
23481
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS!

Un nouveau site Web pour le CCS!

C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les...
30491
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15

Financement Patrimoine canadien 2014-15

À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement...
25887
Prix BRAVO bénévoles Prix BRAVO bénévoles

Prix BRAVO bénévoles

Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures...
25043
Atelier sur la littératie financière Atelier sur la littératie financière

Atelier sur la littératie financière

Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé...
18572

Le francothon s'en vient

C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014, la campagne de financement annuelle de la Fondation fransaskoise qui souhaite amasser 50 000 dollars.

RSS
Première7891011121315
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Mélanie Marquis (La Presse canadienne)
/ Catégories: Politique

Nommée gouverneure générale: Julie Payette prête pour la "grande aventure"

Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que Julie Payette sera la prochaine gouverneure générale

Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé que Julie Payette sera la prochaine gouverneure générale

Photo: Fred Chartrand (La Presse canadienne)

Ottawa - Julie Payette accepte avec "grande humilité" le poste de gouverneur général du Canada, un rôle qui lui offre une "incroyable occasion" de servir le Canada une deuxième fois, "sur terre", après l'avoir fait "comme astronaute à l'extérieur de la planète".

"Je suis ici au service des Canadiens. J'y mettrai tout mon enthousiasme, toute mon énergie", a-t-elle lancé, visiblement émue, en conférence de presse avec le premier ministre Justin Trudeau dans le foyer du Sénat, jeudi après-midi.

La Québécoise âgée de 53 ans a tenu à exprimer sa "sincère gratitude" à celui qui a choisi de lui confier les commandes de Rideau Hall ainsi qu'à la reine Elizabeth II, qui a approuvé la nomination lui ayant été recommandée.

Le premier ministre Trudeau avait profité de son audience avec la monarque britannique à Édimbourg, la semaine passée, pour lui parler de cette candidate "incontestablement qualifiée" pour être sa représentante au Canada. 


"Je sais qu'elle sera une excellente gouverneure générale. J'attendrai avec impatience la cérémonie qui soulignera son installation cet automne", a-t-il affirmé jeudi, vantant la brillante carrière de celle qui, avec sa capacité à "rêver grand", incarne à merveille les valeurs canadiennes.

Londres a avalisé la désignation. "Sa Majesté la reine, sur recommandation du premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a approuvé la nomination de Julie Payette comme prochaine gouverneure générale du Canada", a signalé jeudi dans un communiqué le palais de Buckingham.

Quant à l'actuel titulaire du poste, David Johnston, il a salué celle qui deviendra en septembre la 29e gouverneure générale du Canada, et la quatrième femme à s'installer à Rideau Hall, après Michaëlle Jean, Adrienne Clarkson et Jeanne Sauvé.

"Mme Payette est l'une des citoyennes les plus remarquables et accomplies du Canada", a-t-il déclaré par voie de communiqué, se disant "convaincu qu'elle s'acquittera de son rôle avec intelligence, dignité et dynamisme".

La gouverneure générale désignée a signalé que la promotion d'une "société du savoir" figurerait parmi ses priorités, tout en plaidant qu'il fallait tout de même lui laisser "une petite chance d'arriver en poste" avant de réclamer une vision plus détaillée de sa mission.

Il est cependant "clair que je suis une personne qui croit fondamentalement en les faits, l'évidence, les données, la science, qui elle, supporte la prise de décision et qui nous permet de fonctionner dans la société", a exposé Mme Payette.

La future chef d'État du Canada a reconnu qu'il lui faudrait faire ses devoirs pour être bien au fait des importantes responsabilités constitutionnelles qui viennent avec le rôle symbolique du représentant de la reine au pays.

"Je vais m'atteler à la tâche. Avec un petit peu de travail, d'énergie et en allant chercher les connaissances, je devrais pouvoir me débrouiller, je l'espère bien", a-t-elle offert, réitérant qu'elle approchait cette "grande aventure" avec une "grande humilité".

Mais déjà, elle a fait étalage de ses aptitudes diplomatiques en évitant de tomber dans le piège lorsqu'on lui a demandé si la fonction de gouverneur général n'était pas un peu vétuste dans le système démocratique canadien.

"Je ne pense pas que c'est approprié pour moi de répondre à cette question-là", a-t-elle lâché, se contentant tout au plus de promettre de faire "de (son) mieux dans le cadre qui nous est offert présentement".

La nomination de Julie Payette, qui respecte la tradition d'alternance entre francophones et anglophones en vigueur depuis les années 1950, a été saluée par les leaders des deux principaux partis d'opposition en Chambre.

"Mme Payette est bien placée pour jouer un rôle de leadership comme prochaine gouverneure générale du Canada", et elle aura "la pleine confiance de notre caucus conservateur", a souligné dans une déclaration écrite le chef conservateur Andrew Scheer.

Le chef néo-démocrate Thomas Mulcair a pour sa part qualifié de "génial" le choix de Mme Payette. En revanche, il a dit regretter que les clés de Rideau Hall n'aient pas été remises, pour la première fois de l'histoire du Canada, à un Autochtone.

Misant sur la détermination de Justin Trudeau à rebâtir la relation de nation à nation avec les peuples autochtones, qu'il qualifie régulièrement de "plus importante" pour son gouvernement, certains espéraient que le premier ministre pose un tel geste historique.

En conférence de presse, il n'a pas voulu préciser si un Autochtone était en lice pour le poste de gouverneur général. Il a cependant argué que la responsabilité de travailler à la réconciliation incombait à tous _ incluant à celle sur qui il a finalement jeté son dévolu.

"Comme ça a été dit bien souvent, la réconciliation, ce n'est pas juste une affaire entre les Autochtones et le gouvernement. C'est une chose qui doit impliquer les non-Autochtones à travers le pays aussi", a fait valoir le premier ministre.

"Et je sais que dans sa vision d'inclusivité (...) Mme Payette va être dévouée à la cause de la réconciliation", a-t-il indiqué.

L'un des députés libéraux qui avait invité le premier ministre à arrêter son choix sur un Autochtone, Robert-Falcon Ouellette, s'est rangé sans réserve derrière la nomination de l'ex-astronaute en chef de l'Agence spatiale canadienne (ASC).

Et ce, même si "à ce moment de notre histoire, nous avons certainement besoin de héros parmi la population autochtone, surtout pour nos jeunes", a exposé l'élu manitobain originaire de la Nation Red Pheasant, en Saskatchewan.

Le chef national de l'Assemblée des Premières Nations (APN), Perry Bellegarde, a félicité la future locataire de Rideau Hall par voie de communiqué.

"Certains voulaient voir un gouverneur général autochtone, et bien que nous sachions que nous pourrions voir cela de notre vivant, nous savons que quiconque occupe ce poste doit faire honneur à la Couronne, ce qui inclut la relation historique avec les Premières Nations", a-t-il déclaré.

"Ad astra!"

La date de la cérémonie d'assermentation de Julie Payette n'a pas été précisée. L'événement marquera le début d'un tout nouveau chapitre dans la vie de celle qui a passé plus de 20 ans au sein de l'Agence spatiale canadienne avant de prendre sa retraite de l'ASC, en 2013.

Née en 1963 à Montréal, la diplômée en génie électrique et informatique a été la deuxième Canadienne à voyager dans l'espace et la première à visiter la Station spatiale internationale et à y travailler.

Son premier vol remonte à 1999, alors qu'elle a pris part à la mission STS-96 à bord de la navette spatiale Discovery. Dix ans plus tard, en 2009, elle agissait en tant qu'ingénieure de vol au sein de l'équipage de la mission STS-127, dans la navette Endeavour.

À l'ASC, on a chaleureusement félicité cette "astronaute chevronnée" et "ambassadrice infatigable de la science et de la technologie" auprès des jeunes en lui offrant les "meilleurs voeux de succès" dans cette "nouvelle vie qui commence cet automne à Rideau Hall".

"Ad astra ("Jusqu'aux étoiles")!", conclut l'ASC dans son communiqué.

Julie Payette en bref

_ Titulaire d'un baccalauréat international du United World College of the Atlantic, au pays de Galles, au Royaume-Uni, d'un baccalauréat en génie électrique de l'Université McGill et d'une maîtrise en sciences appliquées (génie informatique) de l'Université de Toronto;

_ Détentrice d'une licence de pilote professionnel avec qualification sur hydravion;

_ Parle couramment le français et l'anglais et peut converser en espagnol, en italien, en russe et en allemand;

_ Pianiste, elle s'est notamment produite avec l'Orchestre symphonique de Montréal, le Piacere Vocale de Bâle, en Suisse, et avec le Tafelmusik Baroque Orchestra Choir à Toronto.

(Source: Agence spatiale canadienne)

Les plus récents gouverneurs généraux du Canada

  • David Johnston (2010-)
  • Michaëlle Jean (2005-2010)
  • Adrienne Clarkson (1999-2005)
  • Roméo LeBlanc (1995-1999)
  • Ramon John Hnatyshyn (1990-1995)
  • Jeanne Sauvé (1984-1989)

Responsabilités, rôles et salaire du gouverneur général

_ Convoquer, proroger et dissoudre le Parlement;

_ Prononcer le discours du Trône et accorder la sanction royale aux mesures législatives parlementaires;

_ Représentant de la reine au Canada, chef d'État du Canada et commandant en chef du Canada;

_ Effectuer des visites à l'étranger et accueillir les chefs d'État en visite au Canada;

_ Le salaire du gouverneur général est de 290 600 $ 

Imprimer
16809

Mélanie Marquis (La Presse canadienne)Presse Canadienne

Autres messages par Mélanie Marquis (La Presse canadienne)
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top