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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Nature Canada récompense Regina pour son soutien aux oiseaux
Arthur Béague

Nature Canada récompense Regina pour son soutien aux oiseaux

« And the Oscar goes to… » Regina pour son travail et les mesures mises en œuvre pour aider les populations d’oiseaux ! La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.

Après Toronto, Vancouver, London et Calgary, c’est au tour de Regina de monter fièrement le tapis rouge pour recevoir son prix des mains de Nature Canada. Ici, pas de discours interminable, juste la fierté de devenir officiellement une Ville amie des oiseaux.

Mise en place par l’organisme à but non lucratif Nature Canada, cette certification atteste des contributions que les villes apportent pour sauver la vie des oiseaux dans leurs municipalités. L'objectif est de fournir aux partenaires locaux une norme claire qui reflète ce qu'une ville doit faire pour être sûre pour les oiseaux.

Une amitié qui se gagne

Ne s’improvise pas Ville amie des oiseaux qui veut ! Ce n’est pas parce que vous laissez des miettes par terre, que vous êtes bavard comme une pie ou que votre équipe de hockey a pour emblème un geai que ce sera suffisant pour le jury. Non, devenir une Ville amie des oiseaux, c’est faire des choix politiques en faveur de l’environnement.

Tout d’abord, il faut atténuer de manière efficace les principales menaces qui pèsent sur les populations d’oiseaux. Bien souvent, la principale menace est à côté de vous en train de se faire les griffes sur votre nouveau sofa. 

Rien qu’au Canada, les chats seraient responsables de la mort de 100 à 350 millions d’oiseaux par an. Qu’à cela ne tienne, Regina a décidé de prendre le problème à bras-le-corps en mettant en place un règlement interdisant l’errance des chats dans la ville. Vous avez bien lu, votre chat devra rester en tout temps avec vous et supporter vos séries niaises et vos goûts musicaux douteux !

D’autres exigences sont attendues pour prétendre à ce titre. Regina a su y répondre en déployant des efforts pour protéger le centre Wascana, grand parc urbain qui accueille pas moins de 250 espèces d’oiseaux par an.

Enfin, au travers des initiatives éducatives proposées à la communauté, comme la Journée mondiale des oiseaux migrateurs et le Get Outside Club, programme d’éducation en plein air pour les plus jeunes, la capitale de la Saskatchewan est récompensée de ses efforts pour devenir une municipalité plus durable sur le plan environnemental.

Ne pas crier victoire trop tôt

Cette désignation ne doit pas tout éclipser. Ne nous y trompons pas, la route est encore longue. Il y a aujourd’hui trois milliards d’oiseaux de moins en Amérique du Nord qu’il y a 50 ans. Une grande partie de ces pertes sont attribuées aux activités humaines : prédation par les chats, collisions avec les fenêtres et les voitures, changements climatiques. Rien qu’à New York, jusqu’à 230 000 oiseaux meurent chaque année au pied des buildings.

Quand on regarde les tableaux, les peintures ou, plus récemment, les vieilles assiettes de nos grands-parents, les oiseaux faisaient partie intégrante du paysage. Aujourd’hui, tels des chasseurs de Pokémons, certains ornithologues se défient et passent des jours à l’affût d’un individu d’une espèce rare.  

Espérons que cette récompense donne envie à d’autres municipalités de rejoindre le club des amis des oiseaux.

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