Close
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

3230

Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
4090
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
5559
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
4956
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
4991

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
12345679Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Offre d’emploi : Conseiller(ère) en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un(e) conseiller(ère) en développement professionnel (conseiller(ère) en emploi). Date limite : 15 avril 2020 Détails : poste Coneiller(ère) en emploi The post Offre d’emploi : Conseiller(ère) en emploi appeared first on CÉCS.

Appel d’offres : Refonte de site Web

Appel d’offres Le CÉCS est à la recherche d’un fournisseur pour mettre en place une refonte de son site Web. La date limite est le 31 mars 2020. Pour plus d’informations : Appel d’offres The post Appel d’offres : Refonte de site Web appeared first on CÉCS.

Appel d’offres : Refonte de site Web

Cet appel d’offres a fermé le 31 mars 2020. The post Appel d’offres : Refonte de site Web appeared first on CÉCS.
RSS
First45679111213Last

Actualité économique

Pierre-Émile Claveau

Trois Fransaskois à Expo-science 2017

Roxanne Masson

Roxanne Masson

Roxanne Masson présente son projet sur l'évaporation de l'eau à l’exposition scientifique.

Photo: Pierre-Émile Claveau (2017)

L’Université de Regina accueillait le concours scientifique national Expo-Sciences du 14 au 20 mai dernier. 500 jeunes scientifiques canadiens de la septième à la douzième année y ont présenté le fruit de leur travail.

Les jeunes participants se sont attaqués à divers sujets et problèmes scientifiques tels que l’effet de la visualisation d’un athlète, les raisons des chutes des personnes âgées ainsi que les personnes qui sont le plus susceptibles de consommer de la marijuana. Malgré leur jeune âge, le raisonnement et les résultats sont surprenants.

L’Expo-Sciences est le point culminant du travail accompli par les étudiants et souligne leurs efforts pour trouver des solutions à des préoccupations locales, nationales et internationales grâce à leur projet scientifique. Mais l’objectif premier est de développer un intérêt pour l’enseignement de la science dans les écoles canadiennes. De plus, le responsable des affaires francophones de Sciences jeunesse Canada, Dominic Tremblay, souhaite également que les jeunes établissent leur propre démarche.

« Certainement, c’est développer l’intérêt pour l’enseignement des sciences, mais également la découverte des sciences par enquête. C’est-à-dire que les étudiants se posent leurs propres question scientifiques et font un travail par diverses méthodes pour y répondre » explique-t-il.

Les connaissances fransaskoises

Trois étudiants fransaskois ont pris part à la cinquante-sixième édition du concours scientifique, parmi lesquels on retrouve Roxanne Masson, élève de onzième année à l’école Monseigneur de Laval à Regina. L’étudiante s’est  demandée pourquoi on a recouvert un réservoir de balles de plastique noires lors d’une sécheresse à Los Angeles en 2015. En recouvrant le bassin d’eau, la ville californienne a voulu bloquer les rayons ultra-violets du soleil, ce qui limite également la prolifération d’algues néfastes et de réactions chimiques. Donc, Roxanne a vérifié l’effet des couleurs des balles sur la rapidité de l’évaporation de l’eau. 

« On a toujours des problèmes avec le réchauffement de la planète puisque beaucoup d’eau s’évapore. Si on peut trouver une solution afin préserver l’eau ça va aider bien du monde. »  dit-elle pour expliquer son choix de projet. 

Malgré une certaine marge d’erreur causée par la température, l’adolescente arrive à la conclusion que ce sont  les balles blanches qui bloquent le mieux les rayons UV du soleil.

Pour sa part, Emallie Morin-Barich, également de l’école Monseigneur de Laval , s’est penchée sur les effets des détergents économiques sur nos écosystèmes. Sachant que les eaux grises sortent directement de nos maisons sans être filtrées par un système d’égout, elle a vérifié comment ces détergents réagissent dans un système aquatique comparé à un détergent traditionnel.

Le troisiéme  représentant fransaskois est Émile Thibault, de l’École canadienne-française de Saskatoon. L’étudiant a construit un robot à vitesse pour explorer la physique du ping-pong. Le jeune scientifique a fait des tests de rotation pour mettre en relation le différentiel entre la vitesse et les rotations. Ensuite, il a fait des tests de distance entre la vitesse du robot et la distance parcourue. La prochaine étape de son projet sera d'analyser la vitesse à laquelle la balle est frappée par un joueur professionnel et de reproduire cette vitesse avec le robot pour pouvoir appliquer plus facilement les résultats à la vraie vie.

Une édition innovatrice

Contrairement aux années précédentes, l’édition 2017 comprenait de nombreux projets dont des enjeux sont mis en valeur comme l’énergie, l’environnement et la santé. D’ailleurs, Dominic Tremblay se réjouit de l’intérêt des innovations pour des sujets chauds.

« Cette année est intéressante puisque qu’on voit beaucoup d’intérêt pour l’environnement dont les énergies vertes. » ajoute le Franco-Ontarien.

Au final, plus de 400 travaux de 500 jeunes scientifiques d’un océan à l’autre ont été présentés au grand public lors de l’exposition à Regina. Ils ont certainement fait réfléchir de nombreuses personnes sur des enjeux canadiens.   

Print
27431

Pierre-Émile ClaveauPierre-Émile Claveau

Other posts by Pierre-Émile Claveau
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top