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Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
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La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
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Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

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Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
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Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

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Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

73e AGA virtuelle du CÉCS

Nous vous invitons à participer à la 73e AGA du CÉCS le mardi 15 septembre à 19h (heure de la SK). Cette année, à cause de la situation COVID-19, la réunion se tiendra en ligne via une conférence Zoom. Inscriptions : Manon Guy manon.guy@cecs-sk.ca 306.566.6000, poste 104 Date limite pour les inscriptions : 13 septembre 2020 The post 73e AGA virtuelle du CÉCS appeared first on CÉCS.
Wednesday, August 26, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

73e AGA virtuelle du CÉCS

Nous vous invitons à participer à la 73e AGA du CÉCS le mardi 15 septembre à 19h (heure de la SK). Cette année, à cause de la situation COVID-19, la réunion se tiendra en ligne via une conférence Zoom. Inscriptions : Manon Guy manon.guy@cecs-sk.ca 306.566.6000, poste 104 Date limite pour les inscriptions : 13 septembre 2020 The post 73e AGA virtuelle du CÉCS appeared first on CÉCS.
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Communiqué : DÉO investit 2,1 millions de dollars dans les entreprises

La Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DÉO) vient d’annoncer l’investissement de 2,1 millions de dollars pour appuyer l’aide et la relance des entreprises et communautés francophones dans l’ensemble de l’Ouest canadien. COMMUNIQUÉ 14 juillet 2020 The post Communiqué : DÉO investit 2,1 millions de dollars dans les entreprises appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Anonym
/ Categories: Politique

Netflix: Mélanie Joly est-elle encore crédible ?

Mélanie Joly

Mélanie Joly

Suivant l’annonce de la Politique créative du Canada, Mélanie Joly a subi un barrage de critiques au Québec.

Depuis le lancement de la nouvelle Politique créative du Canada, le 28 septembre, le ciel est tombé sur la tête de Mélanie Joly. La ministre du Patrimoine a été critiquée pour une entente de 500 millions $ avec le producteur et diffuseur Netflix. L’industrie de la production télévisuelle accuse Ottawa de céder au géant américain une part de sa souveraineté culturelle.

La réaction a été la plus virulente au Québec. La ministre a été dénoncée en éditorial, ridiculisée par les chroniqueurs, caricaturée sans pitié et persifflée à l’émission Tout le monde en parle. Mais quelle a été la réaction en milieu minoritaire? Prudente.

La place des médias traditionnels

François Bergeron est le directeur du journal L’Express, de Toronto. Il croit qu’on est en train de faucher la base. « Je suis scandalisé que Mélanie Joly et Justin Trudeau, qui ne doivent pas avoir de grosses habitudes de lecture, semblent considérer les médias traditionnels comme des modèles non viables. D’où viennent ces reportages et ces nouvelles partagés sur leurs médias sociaux si ce n’est des médias traditionnels? »

L’éditorialiste ne s’attend pas à des miracles sur le contenu francophone à venir de Netflix. « Je pense que le 100 millions $ par année pour le contenu canadien étaient prévus et ne sont pas un cadeau de Mélanie et Justin. »

La Fédération culturelle canadienne-française entend continuer à travailler avec la ministre, assure le président Martin Théberge. « Il est vrai qu’elle est critiquée par plusieurs, nous en sommes conscients. Du côté de l'entente avec Netflix, il n'y a aucune garantie de production francophone. Il y a certainement des enjeux qui inquiètent et qui interpellent plusieurs joueurs, pas seulement la ministre. »

L’urgence de s’adapter

Courtier en assurances pour la production de films en Amérique du Nord, Claude Forest estime que le fédéral tente de positionner les créateurs au sein des transformations, au lieu de les combattre.

« Netflix est un des grands studios émergeants, qui investit plus que Hollywood. Amazon fait la même chose, explique le consultant de Vancouver Nord. Ce sont des monstres internationaux qui s’emparent des médias traditionnels et de leurs auditoires.

« C’est un présage, signale l’agent de Hub Entertainment. On voit un secteur qui est profitable et on embarque pour se l’approprier. Ceux qui se débrouillent le mieux vont s’adapter. »

Selon lui, l’industrie converge vers une intégration des technologies et de la communauté audio-visuelle. « La technologie a tout bouleversé, le contenu numérisé est facile à transmettre. Tout est centré sur le pouvoir du contenu. »

Claude Forest note que l’on peut maintenant regarder un film dans le métro sur un portable, continuer à le visionner sur un téléphone en débarquant et le terminer sur un grand écran à la maison.

L’agonie de la chenille

« Qu’est-ce qu’on va faire? D’une part, on veut que notre matériel soit sur Netflix et d’un autre côté on veut rester dans un certain modèle et préserver nos acquis. C’est l’agonie de la chenille. »

La Fédération culturelle compte sur Mélanie Joly pour investir des énergies « à la recherche et à la mise en place de solutions pertinentes et bénéfiques pour tous grâce au dialogue qui est en place, affirme Martin Théberge. Elle est notre ministre et nous demandons de travailler avec elle pour améliorer le sort du secteur culturel. »

D’après le président, les nouveaux investissements au Fonds des médias du Canada et dans une nouvelle stratégie d’exportation sont prometteurs. « La révision des lois est aussi une bonne nouvelle, mais le temps presse. »

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