Close
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

3368

Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
4117
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
5700
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
4978
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
5123

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
124678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ)

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Conseiller/Conseillère en développement économique (CDÉ).   DÉTAILS The post Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ) appeared first on CÉCS.

Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO

Ouest canadien, le 30 novembre 2020 – Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (CDEA, SDECB, CDEM et CÉCS) sont heureux de lancer conjointement le second appel de propositions au FDÉFO pour des projets qui vont débuter le 1er avril 2021. Communiqué de presse FDEFO The post Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO appeared first on CÉCS.
Monday, November 30, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Communiqué FDEFO : 21 septembre 2020

Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (Conseil de développement économique de l’Alberta – CDEA,  Société de développement économique de la Colombie-Britannique – SDECB,  Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba – CDEM et Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan – CÉCS) sont heureux d’annoncer les projets qui ont été retenus pour recevoir un...
Monday, September 21, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
124678910Last

Actualité économique

Fédération des aînés fransaskois

Les aînés à l’ère de l’intelligence artificielle.

Après avoir absorbé la technologie et s’être résolu à vivre avec les ordinateurs, les logiciels de toutes sortes, les tablettes numériques et les téléphones cellulaires, voilà qu’arrive maintenant le concept d’intelligence artificielle.

On doit l’expression d’intelligence artificielle à John McCarthy, un informaticien américain à qui on doit, avec Fernando Corbato, la technique du temps partagé permettant à plusieurs utilisateurs d’employer simultanément un même ordinateur.

Un des créateurs de l’intelligence artificielle (IA en français et AI en anglais), Marvin Lee Minsky, la définit comme « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains, car elles demandent des processus mentaux de haut niveau. » On veut imiter le comportement humain, plus particulièrement dans la perception visuelle, auditive ou d’autres capteurs.

Le point de départ de l’intelligence artificielle remonte dans les années 1950 alors qu’Alan Turing, mathématicien et cryptologue britannique, se demande si une marche peut « penser ».

Déjà, aujourd’hui, on peut voir à l’horizon des applications de l’intelligence artificielle qui seront dans nos vies d’ici peu. Ils viendront aussi rapidement qu’évolue la recherche. Le véhicule autonome, sans conducteur, est une de ces réalisations qui est testée en ce moment. Avec le retrait des services de transport public dans les zones rurales, un petit autobus autonome pourrait probablement faire partie de la solution. Ou encore, un véhicule autonome pourrait peut-être résoudre certaines problématiques de déplacement pour les aînés qui ne peuvent plus conduire.

Les universités de Sherbrooke (Canada), Montpellier (France) et de Singapour travaillent actuellement sur des concepts d’habitation intelligente. À Sherbrooke, ils développent un projet appelé DomUS. Ainsi, dans les maisons ou logements habités par des aînés, un réseau informatisé, incluant toutes sortes de capteurs, pourrait veiller sur la santé et la sécurité des occupants.

Je voyais récemment la démonstration d’un réfrigérateur dit « intelligent » dont la fenêtre de la porte principale peut signaler que vous devrez bientôt acheter du lait ou que vous n’avez plus de fromage en tranches. Et ce réfrigérateur pourrait même, relié à l’épicerie du coin, faire la commande de ce qui vous manque, sans que vous ayez à intervenir autrement qu’à payer.

Évidemment des questions d’éthique se posent. Socialement, voulons-nous, à ce point-ci, vivre dans une cage dorée ? L’intelligence artificielle ouvre néanmoins une voie qui pourrait être intéressante pour le bien-être des aînés qui sont de plus en plus nombreux.

Print
27300

Fédération des aînés fransaskoisFédération des aînés fransaskois

Other posts by Fédération des aînés fransaskois
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top