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Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
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L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
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Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
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Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ)

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Conseiller/Conseillère en développement économique (CDÉ).   DÉTAILS The post Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ) appeared first on CÉCS.

Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO

Ouest canadien, le 30 novembre 2020 – Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (CDEA, SDECB, CDEM et CÉCS) sont heureux de lancer conjointement le second appel de propositions au FDÉFO pour des projets qui vont débuter le 1er avril 2021. Communiqué de presse FDEFO The post Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO appeared first on CÉCS.
Monday, November 30, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Communiqué FDEFO : 21 septembre 2020

Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (Conseil de développement économique de l’Alberta – CDEA,  Société de développement économique de la Colombie-Britannique – SDECB,  Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba – CDEM et Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan – CÉCS) sont heureux d’annoncer les projets qui ont été retenus pour recevoir un...
Monday, September 21, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Anonym
/ Categories: 2018, Francophonie, Politique

La vision du nouveau commissaire aux langues officielles

Raymond Théberge veut une présence constante des langues officielles sur la place publique

Raymond Théberge, le nouveau commissaire aux langues  officielles

Raymond Théberge, le nouveau commissaire aux langues officielles

Photo : CLO
Entré en fonction le 29 janvier, le 7e commissaire aux langues officielles du Canada, Raymond Théberge, se retrousse les manches. L’ancien recteur de l’Université de Moncton se donne comme objectif que « la dualité linguistique et les langues officielles soient toujours présentes sur la place publique et aussi vibrantes que par le passé ». L’outil qu’il va privilégier : la modernisation de la Loi.

Certains termes de la Loi sur les langues officielles devraient être clarifiés, note-t-il. « Par exemple, ce n’est pas clair quelles sont les “mesures positives” dans la Partie VII pour assurer l’épanouissement des communautés linguistiques en situation minoritaire. C’est ce genre de mot qu’il faut préciser pour mieux concrétiser l’engagement du gouvernement envers les minorités. »

Le nouveau commissaire reconnaît qu’il est surveillé de près par des militants francophones qui lui ont reproché certains commentaires ambigus sur le bilinguisme à la Cour suprême lors de son passage au Sénat, en novembre dernier. « Tout commissaire est sous haute surveillance, ce n’est pas mauvais dans le sens qu’on va suivre comment on agit, quels gestes on va poser pour s’assurer qu’on fait notre travail correctement. Le mandat du commissaire est clairement défini : on doit s’assurer de la mise en œuvre de la Loi, qui a un côté protection et un côté promotion. Je sais à quoi je m’engage. »

Pour dissiper toute équivoque, Raymond Théberge réaffirme que « les langues officielles sont une valeur fondamentale du Canada et de l’identité canadienne. Peu importe ce qui se passe, il faut toujours s’assurer que la dualité linguistique demeure un fondement de la société canadienne. »

Quant à la nomination de juges au plus haut tribunal, il estime qu’il faudra légiférer. La politique formelle du gouvernement libéral depuis 2015 ne serait pas suffisante. « C’est une convention qui dépend du bon vouloir du premier ministre. Dans le dernier processus de nomination, on parlait beaucoup à savoir si on voulait un juge autochtone. Si on avait une loi, ceux qui aspirent à la Cour suprême devraient maitriser les deux langues officielles. Là-dessus, on doit poser un geste important. »

« J’ai passé toute ma vie dans les langues officielles »

Le titulaire d’un doctorat en linguistique, de l’Université McGill, explique ce qui l’a motivé à poser sa candidature au poste de commissaire. « J’ai passé toute ma vie, d’une façon ou d’une autre, dans les langues officielles. Même dans mon rôle de fonctionnaire, c’était toujours dans l’éducation en langue française, toujours dans les minorités linguistiques. »

Lorsque le poste de commissaire a été affiché, Raymond Théberge s’est questionné sur la teneur de son éventuelle contribution, pour avoir un effet à long terme sur les langues officielles. « C’est une réflexion qui a mûri sur une certaine période. [Quand le poste a été affiché en 2016], je n’étais pas prêt. Mais à mesure que le processus s’est allongé, je me suis dit : là, je suis prêt. »

Le natif de Sainte-Anne-des-Chênes au Manitoba entend mesurer la réussite de son mandat sur la façon d’innover « pour s’assurer non seulement qu’on respecte la Loi, mais qu’on bonifie le bilinguisme au sein de l’appareil fédéral. J’ai l’impression qu’on est en mode de croisière. »

Pour lui, la modernisation de la Loi pour améliorer les communications et le service au public demeure prioritaire. Une première consultation aurait déjà été faite par le Commissariat et une deuxième est prévue pour 2018. « On aura une position formelle sur la modernisation à l’automne. »

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