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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Poste de coordination à combler

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Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’une personne pour combler un poste de Coordination – Programme Stages d’emploi. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en gestion de projets; Pouvoir travailler avec plusieurs partenaires pour la mise en œuvre du programme; Pouvoir démontrer une capacité de recrutement des...
Wednesday, October 5, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Agriculture et agroalimentaire: de la terre à la table

Pour une troisième année consécutive, le CÉCS tient son forum économique qui se déroulera du 14 au 16 octobre 2016 à l’Hôtel Saskatchewan à Regina. Sous la thématique « Agriculture et...
Wednesday, August 3, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Le retour du Camp jeunes entrepreneurs bien réussi!

Du 11 au 16 juillet dernier se déroulait le Camp jeunes entrepreneurs (CJE) au Carrefour Horizons de Regina. Après une pause de 6 ans, le CÉCS a senti le besoin de ramener le Camp. Le CÉCS a donc...
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Actualité économique

Sébastien Németh (EV)

Une Fransaskoise à la tête de l'école Père Mercure

Julie Lemire, directrice de l’école Père Mercure

Julie Lemire, directrice de l’école Père Mercure

Directrice de l’école Père Mercure
Photo: Conseil des écoles fransaskoises (2015)
NORTH BATTLEFORD - Julie Lemire, ancienne enseignante, prend les rênes de l’école Père Mercure, à North Battleford.

 

C’est un pur produit de l’enseignement en Saskatchewan qui arrive à North Battleford pour cette rentrée. Fransaskoise originaire de la région de Prince Albert, Julie Lemire a été nommée directrice de l’école Père Mercure par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Elle a pris ses fonctions le 26 août, une semaine tout juste avant l’arrivée des inscrits. « Je suis très excitée à l’idée de cette rentrée. Nous sommes là pour les jeunes. Ils sont notre raison d’être. Nous avons un bel établissement, une bonne équipe et tout ce qu’il faut pour travailler dans de bonnes conditions », a-t-elle estimé.

Diplômée de l’Université de Regina, elle a enseigné dans les écoles Archbishop O’Neil et Miller Comprehensive de la capitale provinciale ainsi que dans d’autres établissements scolaires à Debden, Saskatoon, avec un passage au sein de plusieurs écoles d’immersion.

Julie Lemire a même été formatrice en langues officielles à la Gendarmerie royale du Canada et instructeure de français au Centre d’enseignement des langues secondes de l’Université de la Saskatchewan.

Elle termine une affectation de coordonnatrice Arts pratiques appliqués, à la Direction de la réussite et du soutien des élèves du ministère de l’Éducation de la Saskatchewan. Sa nomination à l’école Père Mercure signe donc son retour dans l’enseignement. « Je suis heureuse de revenir dans le secteur scolaire. J’aime travailler avec les jeunes et je suis prête à entreprendre de nouveaux défis à la direction. Je suis ravie de retrouver ma culture et ma langue maternelle », a indiqué Julie Lemire, qui enseignera en primaire, aux côtés de sept autres professeurs.

« Ici en milieu rural, les besoins sont les mêmes que pour les grands établissements. Donc nous avons à temps plein une auxiliaire à l’enseignement spécialisé. Un service d’orthophonie ponctuel sera aussi mis en place par le CÉF plusieurs fois durant l’année », détaille la nouvelle directrice qui attend une cinquantaine d’élèves pour cette année. Une chute importante de la fréquentation s’annonce donc. L’an dernier, Père Mercure avait accueilli 71 enfants. « Il peut y avoir de multiples raisons pour expliquer cette tendance. Les familles déménagent, la conjoncture économique, des choix personnels, etc. L’école avait une douzaine d’élèves à sa création. Nous avons donc bien progressé », a conclu Julie Lemire.

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