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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Découvrons nos communautés avec Canada 150!

Vendredi le 25 novembre dernier avait lieu l’annonce officielle des projets du 150e par l’Honorable Ralph Goodale. En effet, le projet «Découvrons nos communautés avec le Canada 150» du CÉCS a été sélectionné parmi les projets communautaires financés du Canada 150. Tout au long de l’année 2017, le CÉCS s’engage à collaborer avec les communautés dans le but de créer 150 nouvelles géocaches bilingues partout à travers la...
Monday, November 28, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Forum économique 2016: revoyez quelques présentations

Vous avez été nombreux à participer à notre forum économique, l’Agriculture et l’agroalimentaire: de la terre à la table, en octobre dernier. Nous avons eu la chance d’avoir des conférenciers spécialisés qui se sont entretenus sur des sujets diversifiés s’adressant à tous. Vous avez maintenant la possibilité de revoir quelques présentations de ce Forum. Merci à tous les participants! 
Wednesday, November 23, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Le CÉCS à Destination Canada

Destination Canada, c’est bientôt, et pour une première fois, le CÉCS participera à Destination Canada! En effet, Robert Therrien, directeur général, ainsi que Clément Dion de Zenon Park, membre du conseil d’administration, seront à Paris et Bruxelles du 15 au 19 novembre prochain afin d’assister à un des plus gros salons francophones de l’emploi. Destination Canada est un salon de l’emploi présenté par l’Ambassade du Canada en France avec le...
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Actualité économique

Les cartes postales, un excellent moyen de partager ses aventures
Dominique Liboiron

Les cartes postales, un excellent moyen de partager ses aventures

On ne m’accusera jamais d’être un mordu de technologie moderne. Je n’ai pas de téléphone intelligent, mon camion date de 1995 et j’envoie encore des cartes postales. J’aime également en recevoir et je les collectionne. Selon moi, les cartes postales ont toujours leur place.

Ma collection grandit d’année en année. Je reçois surtout des cartes du Canada, des États-Unis et d’Europe. Les gens que je connais visitent le plus souvent ces pays-là, comme la plupart des touristes.

Selon l’Organisation mondiale du tourisme, les dix pays les plus visités sont la France, suivie par l’Espagne et les États-Unis. L’Italie, la Turquie, le Mexique et le Royaume-Uni se succèdent. L’Allemagne, la Grèce et l’Autriche bouclent la liste.

Cette liste correspond à une tendance que je remarque dans ma collection. À date, je n’ai pas reçu beaucoup de cartes postales d’Afrique, surtout parce qu’il y a moins de touristes qu’en Europe ou aux États-Unis.

J’avoue que les cartes postales connaissent une baisse de popularité, mais elles ont été très à la mode. De plus, elles n’ont pas toujours eu le même format. Celles que nous connaissons aujourd’hui sont le résultat d’une évolution.

Les cartes postales remontent à 1840. À l’époque, les cartes étaient peintes à la main. Dans les années qui ont suivi, les gens s’envoyaient des photos sur lesquelles ils écrivaient à l’endos ou ils écrivaient aussi tout simplement sur une carte blanche, le message étant plus important que l’image.

Il faudra attendre 1861 pour la production de cartes postales en masse. Elles sont devenues un moyen simple pour les soldats d’envoyer des messages à leurs proches, surtout en Europe à partir de la guerre de 1870. Aux États-Unis, les cartes postales de l’époque portaient même des annonces publicitaires.

Les cartes telles que nous les connaissons de nos jours, c’est-à-dire embellies d’une image et vendues aux touristes, existaient dans les années 1870, mais elles n’étaient pas populaires. Elles le deviendront vers 1889 et 1890 lorsque des cartes ornées d’images de la tour Eiffel, nouvellement construite, font fureur.

Un autre événement historique a contribué à leur popularité. Lors de l’Exposition universelle de 1893 à Chicago, il se vendait une série de cartes postales officielles. Ces souvenirs de l’exposition, qui a reçu 27 millions de visiteurs de partout dans le monde, ont beaucoup aidé à répandre l’idée d’envoyer des cartes postales.

Les grandes années des cartes postales s’étendent de la fin du 19e siècle jusqu’à la Première Guerre mondiale. Ensuite, la montée du téléphone a nui aux ventes. À présent, l’internet et les réseaux sociaux contribuent au déclin des cartes postales.

Malgré tout, je pense que les cartes postales conservent leur cachet. Compte tenu de l’effort qu’elles demandent, soit de choisir une carte et d’y inscrire un message personnalisé, elles donnent au destinataire un plus grand bonheur.

Avec cette joie en tête, j’ai donc une faveur à vous demander. Si vous y pensez, envoyez-moi une carte postale de vos vacances d’été !

Envoyez votre carte postale à l’adresse ci-dessous :

Dominique Liboiron

CP 121

Maple Creek, SK

S0N 1N0

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