Grève Postes Canada accès PDF
Close
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

4232

Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
5125
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
6556
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
5960
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
5720

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
12345678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Découvrons nos communautés avec Canada 150!

Vendredi le 25 novembre dernier avait lieu l’annonce officielle des projets du 150e par l’Honorable Ralph Goodale. En effet, le projet «Découvrons nos communautés avec le Canada 150» du CÉCS a été sélectionné parmi les projets communautaires financés du Canada 150. Tout au long de l’année 2017, le CÉCS s’engage à collaborer avec les communautés dans le but de créer 150 nouvelles géocaches bilingues partout à travers la...
Monday, November 28, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Forum économique 2016: revoyez quelques présentations

Vous avez été nombreux à participer à notre forum économique, l’Agriculture et l’agroalimentaire: de la terre à la table, en octobre dernier. Nous avons eu la chance d’avoir des conférenciers spécialisés qui se sont entretenus sur des sujets diversifiés s’adressant à tous. Vous avez maintenant la possibilité de revoir quelques présentations de ce Forum. Merci à tous les participants! 
Wednesday, November 23, 2016/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Le CÉCS à Destination Canada

Destination Canada, c’est bientôt, et pour une première fois, le CÉCS participera à Destination Canada! En effet, Robert Therrien, directeur général, ainsi que Clément Dion de Zenon Park, membre du conseil d’administration, seront à Paris et Bruxelles du 15 au 19 novembre prochain afin d’assister à un des plus gros salons francophones de l’emploi. Destination Canada est un salon de l’emploi présenté par l’Ambassade du Canada en France avec le...
RSS
First1516171820222324Last

Actualité économique

Anonym
/ Categories: 2018, Francophonie, Politique

La vision du nouveau commissaire aux langues officielles

Raymond Théberge veut une présence constante des langues officielles sur la place publique

Raymond Théberge, le nouveau commissaire aux langues  officielles

Raymond Théberge, le nouveau commissaire aux langues officielles

Photo : CLO
Entré en fonction le 29 janvier, le 7e commissaire aux langues officielles du Canada, Raymond Théberge, se retrousse les manches. L’ancien recteur de l’Université de Moncton se donne comme objectif que « la dualité linguistique et les langues officielles soient toujours présentes sur la place publique et aussi vibrantes que par le passé ». L’outil qu’il va privilégier : la modernisation de la Loi.

Certains termes de la Loi sur les langues officielles devraient être clarifiés, note-t-il. « Par exemple, ce n’est pas clair quelles sont les “mesures positives” dans la Partie VII pour assurer l’épanouissement des communautés linguistiques en situation minoritaire. C’est ce genre de mot qu’il faut préciser pour mieux concrétiser l’engagement du gouvernement envers les minorités. »

Le nouveau commissaire reconnaît qu’il est surveillé de près par des militants francophones qui lui ont reproché certains commentaires ambigus sur le bilinguisme à la Cour suprême lors de son passage au Sénat, en novembre dernier. « Tout commissaire est sous haute surveillance, ce n’est pas mauvais dans le sens qu’on va suivre comment on agit, quels gestes on va poser pour s’assurer qu’on fait notre travail correctement. Le mandat du commissaire est clairement défini : on doit s’assurer de la mise en œuvre de la Loi, qui a un côté protection et un côté promotion. Je sais à quoi je m’engage. »

Pour dissiper toute équivoque, Raymond Théberge réaffirme que « les langues officielles sont une valeur fondamentale du Canada et de l’identité canadienne. Peu importe ce qui se passe, il faut toujours s’assurer que la dualité linguistique demeure un fondement de la société canadienne. »

Quant à la nomination de juges au plus haut tribunal, il estime qu’il faudra légiférer. La politique formelle du gouvernement libéral depuis 2015 ne serait pas suffisante. « C’est une convention qui dépend du bon vouloir du premier ministre. Dans le dernier processus de nomination, on parlait beaucoup à savoir si on voulait un juge autochtone. Si on avait une loi, ceux qui aspirent à la Cour suprême devraient maitriser les deux langues officielles. Là-dessus, on doit poser un geste important. »

« J’ai passé toute ma vie dans les langues officielles »

Le titulaire d’un doctorat en linguistique, de l’Université McGill, explique ce qui l’a motivé à poser sa candidature au poste de commissaire. « J’ai passé toute ma vie, d’une façon ou d’une autre, dans les langues officielles. Même dans mon rôle de fonctionnaire, c’était toujours dans l’éducation en langue française, toujours dans les minorités linguistiques. »

Lorsque le poste de commissaire a été affiché, Raymond Théberge s’est questionné sur la teneur de son éventuelle contribution, pour avoir un effet à long terme sur les langues officielles. « C’est une réflexion qui a mûri sur une certaine période. [Quand le poste a été affiché en 2016], je n’étais pas prêt. Mais à mesure que le processus s’est allongé, je me suis dit : là, je suis prêt. »

Le natif de Sainte-Anne-des-Chênes au Manitoba entend mesurer la réussite de son mandat sur la façon d’innover « pour s’assurer non seulement qu’on respecte la Loi, mais qu’on bonifie le bilinguisme au sein de l’appareil fédéral. J’ai l’impression qu’on est en mode de croisière. »

Pour lui, la modernisation de la Loi pour améliorer les communications et le service au public demeure prioritaire. Une première consultation aurait déjà été faite par le Commissariat et une deuxième est prévue pour 2018. « On aura une position formelle sur la modernisation à l’automne. »

Print
34241
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top