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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
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Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Deux postes comblés au CÉCS

Deux postes viennent d’être comblés au CÉCS : Pacifique Bigirimana, nouvelle Conseillère en développement économique et à Paul Léost, nouveau coordonnateur aux Communications et Marketing. Pacifique est originaire du Burundi, pays de l’Afrique orientale, et travaillera dans le bureau de Moose Jaw. Paul est originaire de Gravalbourg, en Saskatchewan, et se retrouve au bureau à Regina. Bienvenue à tous les deux! Cet article Deux postes comblés...

Foire des carrières

Le 18 mai prochain aura lieu la foire des carrières de Regina. Organisée en collaboration avec Open Door Society of Regina, cette foire des carrières vous permettra de partager vos expériences professionnelles et rencontrer divers employeurs potentiels. Il s’agit d’une occasion en or pour réseauter et créer un réseau de contact professionnel, et d’ainsi vous introduire au marché du travail en Saskatchewan. De plus, ce sera l’occasion d’entrer...

Postes à combler pour le RIF-SK

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan est à la recherche de candidats pour combler deux postes au sein du Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK). Annonce-Adj Admin- RIF-SK -2 Annonce-Coord RIF-SK Lieu de travail : Regina, Saskatchewan Entrée en fonction : le plus tôt possible Seules les personnes sélectionnées pour une entrevue seront contactées. Merci de faire parvenir votre curriculum vitae au...
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Actualité économique

Michel Vézina

La guerre : un échec de l’humanité !

Croix et coquelicots

Croix et coquelicots

Crédit : Chris Sansbury_Unsplash

En novembre, on marque de façon spéciale par un ensemble de cérémonies la signature de l’Armistice en 1918 qui a mis fin à la Première Guerre mondiale.  Coquelicot, bleuet et chrysanthème sont des symboles floraux de cet événement.  

Au pays, on commémore plus que le désastre de la Première Guerre mondiale. On se souvient aussi de tous les autres conflits qui ont eu lieu et continuent d’avoir lieu. Plus de 2 300 000 personnes ont servi dans les Forces armées canadiennes tout au long de l’histoire du pays et plus de 118 000 y ont laissé leur vie. 

La guerre varie selon le point de vue qu’on prend : il y a la guerre des généraux qui conduisent leurs troupes au combat ; il y a la guerre telle qu’elle nous est racontée par les historiens, celle des grandes dates et des grands lieux de conflits ; il y a la guerre telle que vue par les politiciens, selon leurs ambitions ou selon leurs positions de défense.

Ce sont tous les points de vue que l’on entend officiellement. On entend très peu les récits de guerre tels que vécus par les soldats. Ma parenté qui y a participé en parle très, très peu, pour ne pas dire pas du tout. Et il y a la guerre des civils : on en entend encore moins parler que celle des soldats.

Une guerre, ce n’est pas uniquement des combats entre des armées. C’est aussi la dévastation laissée par les bombes, la famine, les mouvements de population, les morts qui laissent un vide dans les familles, les camps de concentration, les opposants, les survivants, les rationnements, la machine de construction des armements, les couvre-feux, la peur, la crainte, les discours, la propagande, etc.

Ainsi, la très intéressante série 39-45 en sol canadien rappelle comment ce conflit a été vécu par les Canadiennes et les Canadiens à travers différents volets, comme le travail des femmes dans les usines d’armement, les torpillages dans le golfe du Saint-Laurent, la présence d’Allemands en Gaspésie, les prisonniers de guerre allemands au pays, etc.

La COVID-19 n’a malheureusement pas arrêté les multiples conflits sur la planète et on continue de voir les effets de ceux-ci sur les populations. On semble plus sensibilisé parce que les médias y sont en général omniprésents mais, en même temps, on semble tout aussi démuni à empêcher ou arrêter ces conflits.

On ne peut qu’espérer, comme le chansonnier Raymond Lévesque le chantait : « Quand les hommes vivront d’amour, il n’y aura plus de misère ; et commenceront les beaux jours, mais nous, nous serons morts mon frère » !

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