Fonds l'Eau vive banniere
Close
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

1522

Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
3044
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
4111
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
3887
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
4056

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
12345678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Préparation des demandes de financement

Le samedi 17 mars, le CÉCS présentera un atelier sur la préparation des demandes de financement. Veuillez vous inscrire avec @JeanDeDieu.Ndayahundwa@cecs-sk.ca. L’atelier se passera de 9h à 13h au Carrefour Horizon, 1440 9e Avenue N, Regina.   Venez en grand nombre! L’article Préparation des demandes de financement est apparu en premier sur CÉCS.
Thursday, February 15, 2018/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Formation « Diversité en milieu de travail »

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) offre une formation qui vise à augmenter les compétences interculturelles chez les employeur.euse.s et les employé.e.s, afin de tirer profit des bienfaits de la diversité en milieu du travail. 7 février 2018 Formation : 13h30 à 16h30 Hôtel Ramada Plaza de Regina (1818 avenue Victoria) Salle Maple Pour confirmer votre présence, svp envoyez un courriel à paul.leost@cecs-sk.ca et...

Muni pour passer au vert / Get Green, Get Empowered

Le forum économique « Muni pour passer au vert / Get Green, Get Empowered » se tiendra le 10 mars prochain, au Duck Lake Interpretive Centre à Duck Lake. Il offrira des présentations et informations pertinentes et pratiques sur l’économie verte. Vous avez jusqu’au 2 mars pour vous inscrire à l’événement! Pour plus de détails, svp cliquez sur le lien suivant pour voir l’annonce officielle. COMMUNIQUÉ DE PRESSE L’article Muni pour passer au...
RSS
First1011121315171819Last

Actualité économique

Retrouvailles au Collège Mathieu

Séverin Gaudet

Séverin Gaudet


Photo : Gracieuseté
Séverin Gaudet

Le Collège Mathieu est une histoire de famille chez les Archambault, la branche maternelle de la famille de Séverin. Né à Victoria de parents fransaskois, il suit les traces de ses oncles en rejoignant l’institution en 1971 et obtient son diplôme en 1974.

Ses études à Gravelbourg lui permettent de retrouver ses racines et sa fierté francophone. Plus tard, Séverin s’engage dans la communauté, notamment en tant que membre fondateur du Conseil jeunesse francophone de la Colombie-Britannique, ou bien en faisant du bénévolat et de l’activisme francophones.

Séverin connait la valeur d’une éducation en français et le constate avec ses propres enfants. Il faut dire que, durant sa jeunesse, aucune éducation francophone n’était possible à l’Ouest du Collège Mathieu.

« On n’avait pas le choix, on était assimilés à la fin de la 12e année. »

Grâce à l’établissement, plus besoin d’envoyer les jeunes à plusieurs centaines de kilomètres pour recevoir une éducation en français. Les chefs de file de toute une époque sont ainsi passés par le Collège Mathieu.

« On ne peut pas avoir de communauté francophone dynamique sans éducation en français. »

« La bataille n’est pas encore gagnée. On est toujours en lutte pour ne pas perdre nos acquis et les améliorer. »


Laurent Sirois

Laurent Sirois


Photo : Gracieuseté
Laurent Sirois

Originaire de Zenon Park, Laurent se fait convaincre par son cousin de rejoindre le Collège Mathieu au début des années 1970 avec la promesse suivante : « Ils ont accepté des filles ! » Arrivé en 11e année, le jeune élève découvre alors « la grande ville » et la musique francophone, fier de pouvoir poursuivre ses études en français.

« C’est des années merveilleuses. »

« Dans ce temps-là, il n’y avait pas de radio ni de télé française. »


Marielle Sirois

Marielle Sirois


Photo : Gracieuseté
Marielle Sirois

Marielle Sirois, née Morin, est native de Gravelbourg. Elle fait partie des onze premières filles à avoir été acceptées en 1970 au Collège Mathieu. Elle, qui a élevé ses enfants en français et se réjouit de voir que ses petits-enfants perpétuent la langue, croit sincèrement en l’importance du français à la maison et à l’école.

« C’est important de garder notre langue maternelle. »


Louise Huneault

Louise Huneault


Photo : Gracieuseté
Louise Huneault

Louise est entrée au Collège Mathieu en 1970-1971, la première année où l’institution acceptait les filles. Établie à Sudbury depuis 33 ans, elle a fait le déplacement à Gravelbourg pour les retrouvailles de 45 ans avec d’autres finissants. Au milieu de ses amis d’enfance, les souvenirs reviennent et, avec eux, de belles émotions.

« On a passé de beaux moments ensemble. C’est vraiment un esprit d’équipe que j’ai retrouvé à l’université, en milieu professionnel et dans la communauté. »

Pour Louise, une institution francophone comme le Collège Mathieu est sans égale : c’est l’assurance d’étudier et de vivre le milieu scolaire dans sa propre langue et dans sa culture.

« L’école d’immersion a sa place, mais ce n’est pas la même chose. »

Print
27502

Conseil des écoles fransaskoisesConseil des écoles fransaskoises

Other posts by Conseil des écoles fransaskoises
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top