Fonds l'Eau vive banniere Nouveau système d'abonnement
Close
Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

Un quatrième économusée inauguré en Saskatchewan

5328

Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
6276
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
7759
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
7022
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
6992

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

RSS
12345678910Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Bravo Bénévoles 2018

La soirée gala du prix « Bravo Bénévoles 2018 » s’approche! Nous célébrons les bénévoles de la communauté fransaskoise!!! Inscrivez-vous pour l’événement, qui aura lieu à l’hôtel Radisson de Saskatoon le samedi 20 octobre, 2018. Pour plus de renseignements ou pour s’inscrire, svp contacter Paul Léost au 306.566.600, poste 107 / 306.533.3443 ou par courriel : Paul.Leost@cecs-sk.ca. L’article Bravo Bénévoles 2018 est apparu en premier sur CÉCS.
Friday, September 14, 2018/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Workshop Prince Albert – Jay Fuller

Inscrivez-vous pour un workshop présenté par Jay Fuller le mercredi 26 septembre à Saskatoon! Pour plus de détails, veuillez consulter l’affiche. L’article Workshop Prince Albert – Jay Fuller est apparu en premier sur CÉCS.
Friday, September 14, 2018/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler au CÉCS : Chargé de projets

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un chargé de projets. Pour voir l’offre d’emploi pour ce poste, ainsi que les détails pour soumettre une candidature. Date limite pour postuler : 31 août 2018. Offre d’emploi : Chargé de projets L’article Poste à combler au CÉCS : Chargé de projets est apparu en premier sur CÉCS.
Wednesday, August 8, 2018/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
First89101113151617Last

Actualité économique

Michel Dubé

Lettre du président de la SCFPA: Déménagement à l’Académie Rivier

Académie Rivier à Prince Albert

Académie Rivier à Prince Albert

Photo : Google Street View
J’aimerais remercier l’Eau vive au sujet de l’article publié concernant le déménagement possible de l’École Valois et de la Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) à l’ancienne Académie Rivier [ndlr: un article de Frédéric Dupré publié dans l’édition du 28 mars 2019].

Il est vrai que l’intégration de l’école Valois et de la SCFPA dans « cet immense édifice pourrait bien annoncer un développement majeur pour le Centre scolaire-communautaire de Prince Albert ».

Malgré le fait que l’édifice des Sœurs de la Présentation de Marie ait été construit dans les années 1960, sauf la piscine (années 1980), il s’agit d’une occasion de créer, au-delà du concept de centre scolaire communautaire, un pôle d’attraction et de développement unique en Saskatchewan et dans l’Ouest canadien.

Grâce à la qualité et à la quantité de ces espaces, et avec les bonnes ressources humaines et financières, nous avons la possibilité d’établir un lieu de vie, de développement, de formation, de recherche, d’intégration et d’harmonie interculturelles sans précédent dans la communauté.

L’acquisition de Rivier représenterait pour la communauté fransaskoise la plus grande infrastructure depuis un siècle, sinon de son histoire

Dans toute l’histoire de la communauté fransaskoise, seule Gravelbourg peut se vanter d’avoir (eu) des infrastructures aussi importantes en termes de taille et d’impact sur le développement de notre communauté, avec le Collège Mathieu, le « Couvent », la co-cathédrale et l’évêché catholique, par exemple.

Voilà, diraient certains, qu’en 2019, après plusieurs années de réduction de services, de présence et de résultats permanents dans le développement de la francophonie de Prince Albert et de la région nord, une occasion spéciale se présente pour investir dans un nouveau pôle de développement , d’assurer une fransaskoisie vibrante et innovatrice sur l’ensemble du territoire de la Saskatchewan, de la région de Gravelbourg, en passant par le Centre (Régina et Saskatoon) jusqu’à la région de Prince Albert au nord !

185 000 pieds carrés !

Une piscine de haute qualité, un amphithéâtre de haut calibre de 550 places, une cuisine industrielle, des cafétérias, des salles de rencontres,  bibliothèques, salles de conférences, bureaux, gymnase, laboratoires, appartements, un terrain magnifique, centralisé, accessible et plus sécurisé.

De quoi à se laisser rêver même au-delà des beaux jours de la communauté francophone de Prince Albert où les organismes provinciaux tenaient leurs assemblées générales annuelles et offraient des services permanents sur place. Où se tenaient des grands rassemblements provinciaux tels la Fête fransaskoise, les Congrès de l’ACFC et de la Commission culturelle, et des ralliements jeunesse, entre autres. D’où provenaient de nombreux leaders fransaskois : les Gaudet, Lemire, Archambault, Pagé, Papen, Blain, Masson, Bisson, Marchildon, Bilodeau et j’en passe, sans compter l’immense contribution des congrégations religieuses et de leurs dirigeants et dirigeantes !

Quelle vision ?

Mais quelle vision pourrait-on mettre en place à partir de ce bâtiment immense ? Une vision de formation préscolaire jusqu’au postsecondaire, de développement d’économie sociale, d’expertise en affaires, en relations interculturelles, de précurseur de projets touristiques internationaux grâce à l’adhésion de Prince Albert au Réseau des villes francophones et francophiles des Amériques, de regroupement régional autour du terroir et de la culture, de services de santé bilingues, d’accueil et intégration des nouveaux arrivants, et de la contribution historique des francophones, etc.

Comment bénéficier de cette occasion spéciale pour l’ensemble de la population francophone et francophile de la Saskatchewan et atteindre une vision innovatrice à long terme ? Les principaux partenaires de cette acquisition devront d’abord reconnaître le potentiel de ce développement durable, et ensuite s’entendre sur les moyens nécessaires pour démarrer cette réflexion en vue d’une vision claire, progressive et flexible dans le temps.

Plus que les administrateurs nécessaires, il faudra assurer la participation de visionnaires dès le début du projet, chercher l’implication de l’ensemble du réseau associatif fransaskois et national, et de partenaires spécifiques.

Il y a deux buts à rejoindre dans cette démarche : éviter un fardeau financier insupportable et assurer un développement intégral de la citoyenneté francophone d’ici et d’ailleurs.

Les partenariats potentiels existent. Les risques aussi ! La communauté fransaskoise a toujours su prendre des risques et réussir des projets innovateurs.  Qu’avons-nous à perdre d’essayer d’atteindre une vision d’avenir à la taille de l’édifice ? Rien ! Donnons-nous maintenant les moyens et avançons si ce « legs » se présente !

Michel Dubé,
président de la Société canadienne-française de Prince Albert

Print
31400

Michel DubéMichel Dubé

Other posts by Michel Dubé
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy Statement© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top