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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008
Sébastien Németh

La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit désormais l’avenir avec optimisme. Lors de son assemblée générale annuelle tenue dimanche, l’organisme a annoncé viser un objectif de 5 millions de dollars.

 

La crise bancaire et financière de l’automne 2008 et ses conséquences sur toute l’économie mondiale ressemblent aujourd’hui à un mauvais souvenir pour la Fondation fransaskoise. Sept ans après, l’organisme de bienfaisance semble sur de bons rails. C’est ce qui ressort de son AGA tenue en marge du Rendez-vous fransaskois. « Nous avions perdu des milliers de dollars à cause de la chute des marchés boursiers et d’une perte de confiance de la communauté. Nous étions repartis avec un fonds de 280 000 $. Il dépasse aujourd’hui 1,2 million », explique la présidente du Conseil d’administration Claire Bélanger-Parker, qui vient d’arriver au terme de son mandat. Par rapport à l’an dernier, le capital a donc augmenté de plus de 100 000$.

 

Après le choc de la crise, la FF avait dû se réinventer pour survivre. « Il y a eu des erreurs dans le passé, probablement par manque de compétence. Mon prédécesseur maître Roger Lepage avait une vision. Il a fait appel à des gens d’expérience, qui connaissaient bien le secteur bancaire par exemple. Des critères très stricts ont été instaurés pour savoir dans quels secteurs investir. L’emprunt pour investir a été interdit. Aujourd’hui, les gens se sont réengagés, les institutions nous ont suivi », indique Claire Belanger-Parker. 

 

La bonne santé financière de l’organisme saute désormais aux yeux. Cette dernière année, la Fondation a enregistré cinq nouveaux fonds auxiliaires et en compte désormais une trentaine. Elle a pu attribuer 25 000$ de bourse d’études à une trentaine d’étudiants. Une enveloppe similaire a été versée à onze projets communautaires différents. Et la FF peut maintenant afficher une solide ambition. « Désormais, nous visons la barre des 5 millions. Nous sommes une équipe bénévole, mais si ce niveau est atteint, les recettes d’intérêts permettront d’avoir une équipe sur le terrain et nous pourrons investir beaucoup plus dans la communauté. Les investissements d’aujourd’hui permettront de bâtir pour demain », explique Claire Bélanger-Parker.

 

Première pierre pour atteindre l’objectif : la campagne d’automne lancée en fin de semaine, qui vise à recueillir 40 000$. L’an dernier, l’opération avait reçu plus de 67 000$ en dons. « La Fondation est là pour soutenir la communauté. Pour avoir le plus grand impact au niveau de la Fondation, ça prend des sous et un effort au niveau de la communauté pour investir dans cette Fondation », a précisé Michel Dubé, le vice-président de la Fondation au lancement de la campagne. 

 

La Fondation a d’ailleurs amélioré sa communication en créant son compte Facebook, son profil Twitter. Mais elle doit encore « continuer dans cette voie, selon Claire Bélanger-Parker. J’aimerais travailler avec tous les groupes qui possèdent un fonds, pour qu’ils fassent tous des activités de levées de fonds que ce soit un 5 à 7, une soirée dansante, un tournoi de curling, un souper-théâtre ou tout autre événement qui encourage la participation, la promotion et les dons. » Elle cite ainsi le cas du fonds Suzette Boutin-Fafard, créé par Bernard Fafard en mémoire de son épouse décédée l’an dernier à l’âge de 33 ans et destiné à soutenir les écoles fransaskoises. « Il dépasse les 15 000$. C’est souvent ce type de fonds qui fonctionne le mieux. Ils font en sorte qu’il y a un engagement personnel, émotionnel et éveillent le goût de donner », conclut Claire Bélanger-Parker.

 

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