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Léger ralentissement de l’inflation en décembre Léger ralentissement de l’inflation en décembre

Léger ralentissement de l’inflation en décembre

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FRANCOPRESSE – Malgré un maintien des prix élevés au Canada, l’Indice des prix à la consommation (IPC) est passé de 6,8 % à 6,3 % entre novembre et décembre 2022, selon les dernières données publiées par Statistique Canada ce 17 janvier. Un recul justifié par une baisse des prix de la plupart des produits d’épicerie et d’essence.

Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

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FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés....
Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans

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À travers une exposition exclusive présentée dans le cadre de son du 75e anniversaire, toute l’histoire du Conseil économique...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Marc Miller : « La cible de 10 % d’immigrants francophones, c’est beaucoup demander à mon ministère. »
Inès Lombardo – Francopresse

Marc Miller : « La cible de 10 % d’immigrants francophones, c’est beaucoup demander à mon ministère. »

Alors que la Semaine nationale de l’immigration francophone s’est achevée le 9 novembre, les cibles fédérales ne sont pas, pour le ministre Marc Miller, la solution à tous les maux.

L’immigration n’est pas l’unique solution pour rétablir le poids démographique des francophones hors Québec, a affirmé le ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada Marc Miller devant le Comité permanent des langues officielles du Sénat le 4 novembre.

S’il pense que la cible de 6 % d’immigrants francophones pour 2024 sera « largement atteinte, à moins d’un revirement majeur », le porte-parole avance que l’immigration n’est pas la « solution à tout ».

Le gouvernement fédéral a récemment annoncé des cibles progressives afin d’atteindre 10 % d’immigration francophone à l’extérieur du Québec en 2027.

Mais un tel objectif, « c’est beaucoup demander à mon ministère, mais aussi aux communautés qui ne sont pas nécessairement habituées à voir de nouveaux arrivants, surtout dans un petit village », souligne le ministre.

Et d’ajouter : « Ça peut poser des problèmes d’intégration et de migration vers les grands centres. »

Le responsable appelle ainsi au pragmatisme : « Il faut regarder ce qui est réalisable. En politique, le pire est d’entretenir le faux espoir », fait-il valoir.

Un meilleur accompagnement

Pour Marc Miller, une autre solution serait d’assurer une meilleure intégration des immigrants déjà présents avec l’assurance d’obtenir des services en français, en éducation et en santé.

Des gains qui ne pourront se faire sans un engagement des provinces en la matière. Engagement « souvent mitigé » selon le ministre.

« Ça dépend de la mouture politique. La collaboration dépend de la province en question », reconnaît-il.

Marc Miller plaide aussi pour un processus d’accompagnement des immigrants, condition nécessaire à leur rétention : « C’est très important, sinon on manque notre coup. »

L’accompagnement commencerait « par les maires ou les organisations qui les entourent », maintient le ministre. « Il faut un engagement politique de tous les partis, peu importe à quel palier. »

Le postsecondaire pointé du doigt

Le ministre a également souligné « le manque flagrant de responsabilité des provinces » quant à la gestion du nombre de permis d’étude délivrés aux étudiants étrangers, plafonné en début d’année par le gouvernement fédéral.

En comité, le ministre Miller a accusé « beaucoup d’institutions » postsecondaires d’avoir privilégié « la quantité sur la qualité » pour faire plus d’argent.

Il a répondu avec vigueur sur la question des étudiants étrangers : « La modernisation de la Loi sur les langues officielles ne donnait pas un passe-droit à toutes les institutions francophones d’aller se payer n’importe qui, n’importe comment avec les vannes ouvertes, simplement par prétexte qu’ils ont à cœur le fait français. »

« Je tends la main à ces institutions pour qu’on assume notre responsabilité de bien accueillir ces jeunes adultes dans des communautés qui leur sont nouvelles, quitte à pouvoir les accompagner dans la résidence permanente par la suite. »

Et d’ajouter : « Je n’ai jamais demandé aux institutions de facturer quatre fois le prix qu’un étudiant canadien pourrait payer dans les universités. Il y a eu un manque de responsabilité flagrant à certains égards. Le gouvernement fédéral se devait d’agir », a-t-il insisté.

Le ministre a annoncé cet été le lancement du Programme pilote pour les étudiants dans les communautés francophones en situation minoritaire (PPECFSM), qui soustraira des étudiants internationaux francophones du plafond imposé pour le nombre d’étudiants étrangers, non francophones.

Il s’agit d’une autre manière, selon lui, d’augmenter le nombre d’immigrants francophones, en privilégiant l’accès à la résidence permanente pour ces étudiants. « Car ils ont un début d’intégration au pays », a-t-il justifié.

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