Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Thursday, March 6, 2014 23892 Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants?
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les francophones pris entre les colonnes Thursday, February 27, 2014 35459 Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... Sunday, February 23, 2014 26659
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 39271
Bertrand Simb Simb / Thursday, January 18, 2024 / Categories: FFS - Fédération des francophones de Saskatoon, Société, Multiculturalisme La diversité au menu de Saskcuisine Afin de refléter le visage multiculturel de la ville des ponts, la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS) lance cette année un projet centré sur la diversité culinaire. C’est Maguelone Goudoux, coordonnatrice culturelle pour l’organisme, qui chapeaute le projet Saskcuisine. En quoi consiste cette nouvelle activité Saskcuisine ? Saskcuisine est un projet fédérateur autour du thème de la cuisine. La francophonie, c’est 88 pays membres dans le monde entier, et en tant que fédération on a voulu représenter cette diversité culturelle autour d’un événement innovateur et fédérateur. Le but est de faire découvrir un pays ou une région à travers un atelier culinaire. Comment cette idée vous est-elle venue ? Le projet est né d’une volonté de rassembler notre communauté.Le but est de faire découvrir un pays ou une région à travers un atelier culinaire. L’idée est d’impliquer la communauté au sein d’ateliers culinaires afin de permettre à chacun d’apprendre à connaître d’autres cultures francophones. Concrètement, quelle forme cette activité prendra-t-elle ? Il y aura chaque mois un atelier culinaire doté d’un thème précis. Ce thème tournera autour d’une région qui sera mise en avant. L’atelier sera prévu en après-midi, au cours duquel deux à trois personnes viendront avec une recette, et apprendront à huit ou dix autres personnes à cuisiner un plat. Et en soirée, il y aura un repas communautaire gratuit organisé, qui accueillera non seulement ceux qui ont cuisiné mais aussi tout membre de la communauté désireux de venir déguster la spécialité du mois. Un calendrier est-il déjà élaboré pour la tenue des ateliers ? Notre programmation court sur six mois. Le premier atelier sera en février avec la célébration du Mois de l’histoire de Noirs. Le thème sera Célébrons l’histoire des Noirs à travers la cuisine. Ce sera probablement la cuisine camerounaise, mais on confirmera le plus tôt possible. Le mois de mars, quant à lui, accueillera le ramadan et mettra en avant tout ce qui tourne autour à travers la cuisine algérienne. Existe-t-il des critères de sélection pour participer ? Non, il n’y a pas de critères de sélection. Nous avons lancé un appel et des membres des différentes communautés culturelles francophones nous contactent et expriment leur intérêt à vouloir mettre en avant leur culture culinaire. Tout ce que nous demandons, c’est de présenter une recette, et on s’occupe du reste. C’est un événement 100 % gratuit tant au niveau des cuisiniers que des dégustateurs. Où ces ateliers se tiendront-ils ? Nous y travaillons encore. Cependant, nous solliciterons une cuisine aux normes professionnelles qui offre tout le nécessaire en termes de matériel et d’espace, ainsi qu’un cadre d’accueil pour le repas communautaire. Il y a des gens désireux d’apprendre et de découvrir des mets venus d’ailleurs Cette nouvelle initiative suscite-t-elle déjà la curiosité de la communauté ? Oui, nous avons déjà des membres de différentes communautés qui nous ont contactés pour animer des ateliers et partager leur culture culinaire. D’autre part, il y a des gens désireux d’apprendre et de découvrir des mets venus d’ailleurs. L’intérêt est vraiment présent. Un dernier mot ? Nous invitons les gens à ne pas hésiter à prendre part. Le but n’est pas de devenir des chefs étoilés ou déployer des compétences extraordinaires, mais de partager un moment ensemble et d’en apprendre sur les autres. Print 4129 Bertrand Simb SimbGhita Hanane Other posts by Bertrand Simb Simb Contact author Comments are only visible to subscribers.