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Formation sur la diversification des sources de financement Formation sur la diversification des sources de financement

Formation sur la diversification des sources de financement

Un expert partage son expertise avec les associations fransaskoises

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Maurice Chiasson était à Regina du 16 au 18 avril dernier, à l’initiative de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), de l’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan (AJEFS) et du Collège Mathieu, pour donner des pistes de guérison aux organismes fransaksois.

À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

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PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage...
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Explorer la filière alimentaire à Saskatoon Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

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Depuis plus de six mois, une collaboration étroite s’est développée entre le Conseil de la coopération de la...
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Journée dialogue organisée par le CCS Journée dialogue organisée par le CCS

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Dans le cadre de son processus de planification stratégique 2015-2020, le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a...
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Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan Projet d'implantation d'ÉCONOMUSÉES en Saskatchewan

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Deux conseillers en développement économique du Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) se sont rendus au...
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Première foire de l'emploi 2015 du CCS à Saskatoon Première foire de l'emploi 2015 du CCS à Saskatoon

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C’est le jeudi 19 février dernier qu'avait lieu la première foire de l'emploi de 2015 du Conseil de la coopération de...
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Une visite à Over the Hill Orchards

LUMSDEN - L’aventure d'Over the Hill Orchards a commencé il y a quinze ans, et il est assez extraordinaire de constater d’entrée de jeu la diversité des fruits qui poussent aux vergers. On y trouve des pommes, des raisins, des pêches, des cerises, des baies de Saskatoon, et j’en passe! Les vergers ont leur certification biologique depuis 3 ans. 
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Pour des cultures francophones des Amériques épanouies
Eya Ben Nejm – Francopresse

Pour des cultures francophones des Amériques épanouies

La Louisiane a accueilli du 22 au 27 mai 50 francophones d’une dizaine de pays du continent pour l’Université d’été sur la francophonie des Amériques. Cette 6e édition du rassemblement s’est déroulée pour la première fois à l’extérieur du Canada. Au menu des discussions : « pérennité et développements de la francophonie des Amériques ».

« C’était vraiment un bon moment de rassemblement entre beaucoup de personnes différentes, mais qui se rejoignent en une seule chose qui est la langue », rapporte Pamela Pascal, monitrice de français langue première à Toronto.

« [Je suis surprise] qu’il y ait autant de diversité dans les communautés d’Amérique latine qui sont francophones. Il y a des pays que je n’aurais pas soupçonnés où ils parlaient aussi bien français », poursuit-elle, citant l’exemple du Costa Rica où l’apprentissage du français est obligatoire.

Assumer son accent

Après avoir vécu en France, Pamela Pascal s’est installée au Canada. Pendant la semaine d’ateliers à l’Université d’été, elle a voulu transmettre son amour de la langue et faire découvrir toutes ses variantes.

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Pamela Pascal devant un tableau qui affiche ce que des élèves ont pu voir dans les écoles de la Louisiane dans les années 1900. Crédit : Courtoisie

« Ce n’est pas vrai que le bon français, c’est celui de la France. Mais il y a une bonne structure de la langue et il y a aussi les diversités de la littérature. Je cherche à partager aussi toutes les œuvres qui sont en français qui nous permettent d’approfondir nos connaissances », déclare-t-elle.

Pour Justin LeBlanc, directeur du développement économique et du tourisme pour la Ville régionale de Cap-Acadie, au Nouveau-Brunswick, participer l’Université d’été permet de nouer des liens.

« Quelle belle opportunité d’apprendre davantage, non seulement sur la francophonie en entier, mais plus précisément sur le français cajun qu’on connaît un peu, mais pas beaucoup en Acadie. »

Tout comme Pamela Pascal, il croit en l’importance de ne pas porter de jugement sur les accents francophones. « Il faut accepter qu’il n’y a pas nécessairement un français qui est meilleur que l’autre et une fois qu’on sera capable de faire ça, je pense que les gens seront moins hésitants et moins gênés d’exprimer leur francophonie », défend-il.

Des histoires marquantes

Pamela Pascal a été marquée par l’histoire des francophones de la Louisiane. « Les francophones n’avaient pas le droit de parler français dans les écoles. Il fallait qu’ils écrivent sur les tableaux et sur leurs ardoises “I don’t speak french” cent fois parce que c’était interdit », relate-t-elle.

Pour Justin LeBlanc, c’est le sens de l’initiative pour préserver la langue qui est marquant. « Le chanteur [louisianais] Jourdan Thibodeaux nous a parlé de l’importance de parler le français et d’apprendre le français. Ce n’est vraiment pas évident ici aux États-Unis. Je l’ai trouvé vraiment courageux, c’était vraiment touchant. »

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Justin LeBlanc, directeur du développement économique et du tourisme pour la Ville régionale de Cap-Acadie, au Nouveau-Brunswick Crédit : Courtoisie

« J’ai ressenti un attachement encore plus fort, renchérit Pamela Pascal, ça m’a permis d’être plus militante pour la survie de la langue française. »

S’ouvrir sur le monde

« Ça a vraiment ouvert mon esprit, puis mes yeux, de voir la francophonie à l’extérieur des endroits qu’on connaît, comme le Québec, l’Acadie », ajoute Justin LeBlanc qui se dit encore étonné d’avoir appris qu’il y avait des communautés francophones au sud du Chili.

« Les gens doivent plus s’ouvrir sur le monde et sur nos différences », conclut Pamela Pascal.

 

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