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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones
L'Eau vive
/ Categories: Éducation

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Le Régional – Hamilton-Niagara et Francopresse 

Les délégués lors de la table ronde sur la justice en français.

Les délégués lors de la table ronde sur la justice en français.

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

Ce type de rencontre d’envergure permet aux leaders du secteur de l’éducation de mieux se préparer à parler d’une seule voix afin de défendre les intérêts des francophones. 

Dès la première journée, les congressistes ont eu un avant-goût de ce qui les attendait en termes de formations et d’ateliers. Puisque, pour le milieu scolaire, le démarchage se focalise surtout sur les autorités politiques, c’est par une table ronde regroupant des parlementaires d’hier et d’aujourd’hui que la FNCSF a débuté son congrès.

Yvon Godin, député fédéral de Bathurst (Nouveau-Brunswick), Maria Chaput, sénatrice franco-manitobaine, et Jean-Marc Lalonde, ancien député de Glengarry-Prescott-Russell en Ontario et maire de Rockland de 1976 à 1991, ont soupesé les pour et les contre du démarchage et des mécanismes plus officiels de représentation. 

Une seconde table ronde se tenait en après-midi sur les politiques d’aménagement linguistique et culturel au Canada. Parmi les panélistes, deux étaient originaires de l’Ontario : Denis Vaillancourt, président de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario, et Janine Griffore, sous-ministre adjointe au ministère de l’Éducation. D’autres activités s’adressaient aux élèves conseillers ou touchaient à l’implication de la jeunesse dans la gouvernance scolaire.

La journée suivante, celle désignée comme regroupant les principaux évènements du congrès, a offert quatre ateliers permettant d’explorer plus en profondeur les thèmes abordés la veille. Plusieurs kiosques faisaient également la promotion de services pouvant être utiles aux différents acteurs de l’éducation canadienne, tandis qu’un encan silencieux se tenait non loin de là, avec pour but de récolter des fonds pour la fondation Éduquer en français. 

Le point central de cet après-midi du 17 octobre fut sans nul doute la table ronde sur la justice en français, animée par Denis Labelle, président de l’Association des conseils scolaires des écoles publiques de l’Ontario (ACÉPO). Deux juristes influents y siégeaient : Me Roger Lepage et l’énergique Me Power, ainsi que Geneviève Boudreau, du Programme d’appui aux droits linguistiques (PADL).

Tous trois ont tour à tour partagé leurs expériences sur les difficultés pour tenir un procès en français, dont l’affectation des juges ou encore l’équivalence des infrastructures pour francophones et anglophones. « Nous n’avons pas d’excuse à donner pour utiliser le français au Canada », martèle Me Power, non sans humour, avant de céder la place à une présentation vidéo du PADL. Suite à leur prestation, plusieurs appels à la solidarité entre conseils de la part du public se sont fait entendre. 

Le banquet, en soirée, était le moment le plus attendu de cette journée. Ce fut Marc-André Ouellette, membre du conseil d’administration de la FNCSF et conseiller scolaire en Colombie-Britannique, qui était responsable de l’animation. Avant la remise des prix, les grands gagnants de l’encan silencieux furent dévoilés. Au total, ce sont 1700 $ qui ont été récoltés pour la fondation.

Yolande Dupuis reçoit le Prix du président de la FNCSF, Robert Maddix (à droite), et de Mark Power.

Yolande Dupuis reçoit le Prix du président de la FNCSF, Robert Maddix (à droite), et de Mark Power.

Robert Maddix, président de la FNCSF, a annoncé le nom du grand gagnant du Prix Jean-Robert-Gauthier, qui vient récompenser la contribution remarquable d’un conseiller scolaire à l’essor de l’éducation en français. C’est la Manitobaine Yolande Dupuis qui en fut la récipiendaire cette année : « Je continue à être passionnée. Merci à tous et continuez ce beau travail », dit-elle, émue. 

Considérée comme une « championne de l’éducation en langue française au Canada et dans le monde », le milieu lui est particulièrement reconnaissant de son travail dans l’augmentation du budget scolaire et de sa dévotion sans faille.

Les bourses Paul-Charbonneau ont ensuite été attribuées à trois finissants du secondaire qui se sont démarqués par leur engagement et leurs résultats scolaires. 

Ce sont ainsi, Julie Bérubé pour la région Ouest et Nord, Olivier Smith pour la région Ontario, et Marie-Ève Dufour pour la région Atlantique, qui ont chacun reçu 1000 $.

Ce 25e congrès s’est terminé le samedi 18 octobre au matin, par l’assemblée générale annuelle de la FNCSF suivie d’une réunion des membres du conseil d’administration. Robert Maddix fut de fait réélu par acclamation à la tête de l’organisme pour une autre année.

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