Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre Wednesday, November 4, 2015 24394 OTTAWA - Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre, a indiqué mercredi Statistique Canada, alimentant l'espoir que l'économie du pays puisse commencer à tirer profit de la baisse du dollar canadien.
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Wednesday, October 21, 2015 33372 Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CECS). Un changement destiné à spécifier le rôle et la mission du l’organisme au sein de la communauté.
7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le... Wednesday, October 21, 2015 35508
Subway débarque à Gravelbourg Subway débarque à Gravelbourg GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de... Thursday, October 8, 2015 33406
Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf SASKATOON - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan a organisé une mini-foire de l’emploi à Saskatoon, le... Thursday, October 1, 2015 31337
Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le... Thursday, September 17, 2015 29179
L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu « Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la... Thursday, August 27, 2015 28809
Le CCS attend plus de justice avec les anglophones Le CCS attend plus de justice avec les anglophones REGINA - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan espère que le pouvoir issu des prochaines élections, épaulera... Thursday, August 20, 2015 30031
Friday, June 26, 2015 Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de son assemblée générale annuelle à Winnipeg, à la mi-juin, pour organiser un colloque portant sur la francophonie économique.
Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Thursday, June 18, 2015 Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS).
Dominique Liboiron / Monday, March 10, 2025 / Categories: Chroniques, Aventure et plein air Le sifflet des trains m’appelle à voyager Il y a un rêve qui ne me lâche pas : je veux sauter à bord d’un train et partir en vagabond. Après des recherches, j’ai une bonne idée de ce à quoi m’attendre. Il ne me reste plus qu’à trouver le bon moment pour décoller. Ce rêve d’aventure habite mes pensées depuis mon enfance. Bien sûr, j’ai eu plusieurs autres rêves de voyages, mais celui-ci est spécial en raison de son ancienneté. Souvent, mes rêves d’aventure s’estompent. Par exemple, quand j’enseignais au Japon, il y avait dans ma classe une carte du monde. Je regardais la chaîne d’îles qui part du Japon, qui monte vers la Russie et qui rejoint ensuite les îles Aléoutiennes en Alaska. Selon mes calculs, il m’aurait fallu un an pour retourner au Canada en kayak en passant par l’Alaska pour ensuite descendre la côte de la Colombie-Britannique avant de gagner Vancouver. Comme bien d’autres, l’idée a tranquillement disparu, mais je n’ai jamais pu oublier mon désir de voyage en train. Photo : Dominique Liboiron L’idée de partir en train est souvent une forme de rébellion. D’habitude, ce sont les adolescents qui ne peuvent pas résister à l’attrait de ce mode de voyage. Peut-être que je souffre d’un manque de maturité… Pour le moment, je fais de la recherche. J’ai trouvé des vidéos sur YouTube de gens qui voyagent comme j’ai le goût de le faire. Les meilleures vidéos sont celles d’un vagabond qui s’appelle Stobe The Hobo. Il sait comment monter à bord d’un train en mouvement, partage ses techniques et décrit les méthodes dont il se sert pour ne pas se faire prendre. Sa chaîne YouTube s’intitule Hobestobe et comporte aussi de la musique, car il écrit et joue au piano la trame sonore de ses vidéos. De plus, je lis des livres sur le vécu de vagabonds. Certains contiennent des photos captivantes qui transmettent la liberté totale de ce style de vie sur les rails, partout en Amérique du Nord. J’ai tout ce qu’il me faut pour partir. D’abord, j’ai du linge noir, non seulement parce que les trains sont salissants, mais aussi parce qu’il faut se cacher. Dans mon sac à dos, j’aurai une couverture, une bouteille d’eau et ma caméra pour capturer toute l’expérience. Là, il faut juste que je trouve un mois de vacances. Mais pourquoi j’ai cette idée qui me tracasse depuis mon enfance ? Je crois que c’est la faute de l’émission de télévision The Littlest Hobo. Pour ceux qui ne l’ont pas vue, c’était l’histoire d’un chien qui aide les gens et qui vit des aventures. Le chien était mon héros de jeunesse. Alors que les crédits défilaient à l’écran à la fin de chaque épisode, il y avait une scène du chien à bord d’un train où il voyageait en vagabond. Si j’avais su l’impact de cette scène, j’aurais fermé les yeux. Print 6151 Dominique LiboironGhita Hanane Other posts by Dominique Liboiron Contact author Comments are only visible to subscribers.