Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Mini-foire de l'emploi du CCS à Saskatoon Thursday, October 1, 2015 26908 SASKATOON - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan a organisé une mini-foire de l’emploi à Saskatoon, le 24 septembre dernier. En recherche d’employés, l’entreprise Maple Leaf Consumer Foods a rencontré des candidats à l’embauche.
Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Foires de l'emploi et ateliers sont au programme Thursday, September 17, 2015 24768 Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le marché du travail et optimiser la recherche d’emploi.
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Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... Friday, June 26, 2015 19750
Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la... Thursday, June 18, 2015 30437
Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... Thursday, June 18, 2015 26552
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... Thursday, June 18, 2015 32785
Tuesday, June 16, 2015 La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer pertinents
Tourisme francophone en milieu minoritaire Friday, June 12, 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Paul Mengoumou (Francopresse) / Thursday, January 15, 2015 / Categories: 2015, Économie, Francophonie Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne Un nouveau champ d'action pour la francophonie internationale? Jean Léger, directeur général du RDÉE Canada et Michaëlle Jean, secrétaire générale de l’OIF, lors du Sommet de Dakar en 2014. Jean Léger, directeur général du RDÉE Canada et Michaëlle Jean, secrétaire générale de l’OIF, lors du Sommet de Dakar. (courtoisie REDÉE Canada) En ce début de janvier 2015, la nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) d’institution culturelle et politique qu’elle est en un organisme plus ambitieux soucieux du bien-être des centaines de millions de francophones qui peuplent ses pays membres. La charte de Dakar, intitulée Stratégie économique pour la Francophonie, adoptée lors du XVe Sommet de la Francophonie dans la capitale sénégalaise en novembre dernier ajoutait au nombre de responsabilités de l’institution le renforcement de l’espace économique francophone face aux défis du monde actuel et aux déséquilibres du système économique et financier. En clair, l’OIF a choisi de à sa tête, quelqu’un qui vient d’un pays du Nord pour la première fois de son existence afin de mettre en musique cette partition axée sur le développement économique. Jean Léger est de cet avis. Le directeur général du Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada, exulte : « Maintenant, l’OIF va avoir à mettre en œuvre cette stratégie, et Michaëlle Jean aura la responsabilité de le faire. Et pour le Canada, elle va devoir s’assurer que les éléments économiques de la Francophonie de l’extérieur du Québec soient prises en compte ». Jean Léger milite donc pour la création d’un « réseau des réseaux » avec d’un côté l’ensemble des organismes de développement économique des communautés francophones et acadienne et de l’autre, plusieurs pays francophones du sud et africains notamment. Il était à Dakar en novembre dernier, au sein de la délégation canadienne, afin de s’assurer que cette idée puisse germer. « Notre mandat est de mettre en lien des réseaux étrangers avec notre réseau dont les membres se trouvent dans toutes les provinces et territoires dans le but d’échanger sur les pratiques et les perspectives de relations commerciales et d’affaires, » explique-t-il. Il existe même déjà une première action concertée avec certains pays. « On va bâtir des passerelles avec l’Afrique francophone qui revêt un potentiel démographique très important. Or, qui dit explosion démographique, dit explosion des besoins économiques. Donc, des communautés franco-canadiennes peuvent jouer un rôle dans l’apport du développement de ces pays ». L’un des secteurs à s’intéresser pourrait être la construction, avance Jean Léger. « Et beaucoup de nos communautés francophones, ici, sont dans des milieux ruraux où les ressources naturelles sont la base économique; c’est un des secteurs où l’on pourrait travailler ensemble ». C’est dans cette perspective que le Sénégal a ouvert dernièrement un bureau des affaires économique à Ottawa. Et le chef de ce bureau, Zaccaria Coulibaly, n’y va pas par quatre chemins. « Ce que nous voulons, dit-il, c’est le partenariat. On ne veut pas d’argent. On a des ambitions, des intérêts et en fonction de ça, on peut cheminer ensemble ». Depuis son arrivée, le jeune diplomate et agent d’affaires a déjà sillonné le Canada d’Est en Ouest pour prêcher la bonne parole économique. « Mieux encore si c’est en français, » s’est-il risqué en blaguant. « Le Canada, poursuit-il, est en train de découvrir le potentiel africain : le secteur minier. Mais, nos ambitions sont de produire ce qu’on mange. Nous voulons une énergie abondante pour la santé, l’éducation, les infrastructures. On veut relier le monde rural au monde urbain ». Il termine par un soupir. « Le discours canadien est beau. Mais, il faut ouvrir les frontières aux échanges. Et le problème de la Francophonie est à ce niveau ; il existe une réticence au niveau économique ». Michaëlle Jean viendra-t-elle à bout de ce mur de réticence ? Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest Le CCS aide Walmart à recruter Print 23904 Tags: Michaëlle JeanOIF Paul Mengoumou (Francopresse)Francopresse Other posts by Paul Mengoumou (Francopresse) Contact author Related articles Trois femmes immigrantes aux destins inouïs Comments are only visible to subscribers.