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Festival Cinergie 2024

Témoignages d'anciens élèves du CÉF

Amélie Boutin - École canadienne-française

« L’école canadienne-française (ÉCF) m’a permis de vivre tellement de belles expériences. J’ai pu prendre part à un tournoi de débat national à Vancouver; j’ai pu participer à un échange étudiant à Lévis au Québec. Mon engagement au sein du Collectif des étudiants, à titre de présidente, m’a appris à travailler en équipe avec mes camarades de classe et les enseignants. Nos relations avec nos enseignants étaient très enrichissantes parce qu’ils nous accordaient toujours le temps nécessaire à notre réussite. J’ai pu développer mes habiletés en leadership et construire des amitiés pour la vie. Je suis une francophone bilingue comblée et très attachée à la Fransaskoisie. »

Darcy Mbilizi ­- École Monseigneur de Laval

« C’était un peu dur au début de m’intégrer à l’école avec les nouvelles personnes, un nouveau milieu. Mais au cours des années, tout s’est bien passé avec l’aide des enseignants et des amis qui m’ont bien accueilli. C’était une belle expérience. J’ai des amis qui sont dans des écoles d’immersion, Je ne trouve pas qu’ils ont assez de français. Notre école est 100 % francophone. On parle français toute la journée et tu peux apprendre l’anglais. »

Seanna Auger -­ École Mathieu de Gravelbourg

« En allant à l'école Mathieu de Gravelbourg. j'ai eu un avantage sur mes collègues de classe parce que mon école secondaire m'a bien préparée aux attentes académiques élevées, même pour des études postsecondaires en anglais, J'étais non seulement habituée à travailler fort, mais les rencontres effectuées et les amitiés développées avec les élèves des autres écoles du CÉF durant les grands rassemblements m'ont aidée à m'intégrer dans mon nouvel établissement d'enseignement avec une population étudiante beaucoup plus grande que ce que j'ai connu à Gravelbourg. »

Sebastian Fasiang -­ École Monseigneur de Laval

« Je suis né en République tchèque, où je n'avais pas eu l'occasion de faire des mathématiques en français. Mes études en français langue première en Saskatchewan m'ont permis non seulement de parfaire mon français, mais aussi d'employer du vocabulaire technique en français, bien que je maîtrise également l'anglais. Honnêtement. Si je n'avais pas été à l'école Monseigneur de Laval, je ne me serais jamais retrouvé en France en train d'étudier l'architecture en pensant pouvoir ouvrir un jour mon propre cabinet d'architecture. »

Evan Pelchat ­- École Notre-Dame-des-Vertus

« Jeune, je n’avais vraiment pas en tête le projet de devenir enseignant. En 12e année, je m’intéressais à poursuivre mes études en français, mais je ne savais pas que j’allais le faire en Saskatchewan. Plusieurs membres de ma famille œuvrent dans le secteur de l’éducation et j’ai eu de bonnes expériences auprès de mes enseignants du Conseil des écoles fransaskoises qui m’ont vraiment encouragé à explorer cette voie. Je me suis inscrit à l’Université de Regina au baccalauréat en éducation quelques semaines avant la date limite et c’est en entamant mes études que j’ai découvert que cela m’intéressait vraiment. »

Sydney Goldstone ­- École Monseigneur de Laval

« J’ai commencé en prématernelle à l’école Monseigneur de Laval et j’ai terminé ma 12e année en 2016. J’ai été finissante avec 24 personnes que je connaissais depuis des années. Mes enseignants et la communauté m’ont inspirée. Mes professeurs de sciences sociales, de mathématiques et de sciences à l’époque étaient vraiment doués pour nous faire apprécier les matières. Une ancienne élève de l’école Monseigneur de Laval, devenue professeure à l’Université d’Ottawa, était venue nous parler en classe d’un programme qui permettait d’étudier à l’Université d’Ottawa, tout en devenant page à la Chambre des communes. J’avais l’avantage d’être complètement bilingue. Étudier le droit à Ottawa représentait un défi séduisant. »

Les Perreaux ­- École de Bellegarde

« Aujourd’hui, je suis correspondant du Globe and Mail à Montréal et j’ai trois enfants. Mon plus vieux a dix ans et corrige mes erreurs d’accords en français régulièrement. Il parle même anglais avec un très léger accent français. Dans mon esprit, c’est assez incroyable. Quand je regarde mon parcours scolaire et le compare à celui des jeunes de l’école de Bellegarde aujourd’hui, je ne peux faire autrement que d’admirer leur fierté d’être francophones. Je me dis que le système scolaire a vraiment sauvé les Fransaskois. »

Raissa Murwanashyaka ­- École Monseigneur de Laval

« Je suis arrivée ici en 8e année. J’ai pu persévérer comme francophone minoritaire et m’identifier à la francophonie qui est chère à mon cœur. J’ai pu continuer de partager mon expérience même avec les membres de la communauté anglophone qui s’intéressent toujours à la francophonie. Aller à l’école en français nous aide à partager cet amour de la langue. »

Alexandre Michaud - ­École Valois

« L’école Valois, c’est un très bon choix que mes parents ont fait. Ça m’a permis d'aimer l’école, de pousser plus loin mes études, d’avoir les meilleures notes pour les plus grandes écoles. La proximité des profs avec les étudiants, ça augmente nos performances. Ils vérifient toujours pour voir si on fait bien. J’ai aimé apprendre les mathématiques. Sans mon professeur de français, je n’aurais pas eu le niveau de français que j’ai présentement. Ils étaient passionnés. »

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En évoquant le projet de Loi sur les langues officielles, toujours en cours d’adoption au Parlement, Ginette Petitpas Taylor souligne l’engagement du fédéral à s’assurer que, à l’échelle provinciale, les communautés de langues officielles en situation minoritaire « reçoivent les services et droits nécessaires pour continuer à vivre et à travailler dans leur langue maternelle ».  

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