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Sans atelier

À la rencontre de l’artiste: une collaboration entre Sans-atelier et l’Eau vive

Cinq ateliers, cinq artistes

Anne F. Jacques

Anne F. Jacques

Atelier d'introduction à l'art sonore avec Anne F. Jacques (à gauche)
Photo: Zoé Fortier (2017)
Le collectif d’artistes Sans-atelier, en collaboration avec l’Eau vive, lance À la rencontre de l’artiste : cinq entretiens avec des artistes francophones professionnels de Saskatoon, publiés mensuellement jusqu’au mois de mai. 

L’histoire du collectif d’artistes Sans-atelier débute en 2011 au deuxième étage de l’édifice Adilman sur la 20e Avenue à Saskatoon. L’édifice n’était pas chauffé, ni éclairé, sinon par la lumière naturelle. Michèle Mackasey y travaillait dans son atelier depuis un an. Pour briser la solitude de son atelier, elle décide de recruter des artistes francophones, dont Zoé Fortier, et plus tard Jean-Sébastien Gauthier. Deux ans plus tard, tous les artistes de l’Adilman sont expulsés pour des rénovations. Le groupe s’installe dans des bureaux sur l’avenue D, tout près de la 20e Avenue. Laura St.Pierre et David Baudemont se joignent à Michèle et Zoé.

Le collectif Sans-atelier voit le jour de façon officielle grâce à David Baudemont, Michèle Mackasey et Zoé Fortier. Le but central du collectif était avant tout de gérer les espaces et de développer un réseau d’artistes et d’écrivains francophones à Saskatoon. Le groupe choisit de ne pas renouveler son bail. À nouveau « sans-atelier », il doit se réinventer.

Le collectif Sans-atelier devient un réseau d’artistes visuels francophones professionnels à Saskatoon. Le collectif cherche, entre autres, à sensibiliser le public aux niveaux provincial et national, face aux réalités et aux enjeux des artistes francophones en Saskatchewan. Pour ce faire, Sans-atelier est membre depuis trois ans de l’Association des groupes en arts visuels francophones, organisme qui appuie le développement d’un secteur artistique professionnel francophone hors Québec.

À la rencontre de l’artiste souhaite faciliter une prise de conscience collective sur la réalité des artistes francophones à travers une immersion dans l’atelier de l’artiste. Cinq artistes ont été choisis pour ce projet dans le but de révéler une diversité de réalités et de pratiques artistiques. Ces artistes sont photographes, peintres, sculpteurs, performeurs. Ils et elles ont tous un rapport différent avec leur travail et avec le milieu des arts. Certains artistes œuvrent surtout au sein des centres d’artistes autogérés, d’autres sont impliqués avec des galeries privées. Chaque pratique est unique, chaque démarche artistique aussi.

Les habitudes créatives des artistes ont longtemps suscité l’intérêt du public. Certains créent tôt le matin ou tard le soir, un verre de scotch à la main ou après un bain glacé. Le mysticisme qui entoure la créativité et le travail de l’artiste dissimule souvent les compromis, la discipline, les routines et les heures investies dans le cadre d’une démarche artistique. À la rencontre de l'artiste vous propose d’entrer dans l'atelier de l'artiste professionnel(le) et d'y découvrir son ouvrier, l'artiste professionnel(le) qui se dédie chaque jour à son expression artistique. Les cinq entretiens seront réalisés par Jean-Philippe Deneault, les photos seront signées Kenton Doupe. 

Ce projet est novateur dans son approche et dans son exécution. Sans-atelier propose une formule questionnaire qui sera répétée chaque mois et soumise intégralement à chaque artiste. En résulteront des échanges avec les artistes surgissant comme autant de variations sur un même thème et faisant ressortir la personnalité de chacun. Un club de lecture sera organisé de façon parallèle pour aborder des textes qui alimenteront une discussion initiée par les cinq artistes sur leur profession. Les rencontres du club de lecture seront ouvertes au public. Suivez la page Facebook de Sans-atelier pour plus d’informations sur les dates de rencontres du club de lecture.

Le projet À la rencontre de l’artiste, un projet collaboratif avec l’Eau vive, est rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil culturel fransaskois, de SaskCulture, de Saskatchewan Lotteries et de Patrimoine canadien.
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