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La francophonie de l’Ouest menacée : «Sauvons Saint-Jean!»

La francophonie de l’Ouest menacée : «Sauvons Saint-Jean!»

L’Association canadienne-française de l’Alberta, soutenue par plusieurs associations, est partie en croisade pour défendre le Campus Saint-Jean dont l'avenir est menacé par d’importantes coupes budgétaires.

16 mai 2020/Auteur: Geoffrey Gaye – (Le Franco)/Nombre de vues (21226)/Commentaires ()/
Le téléenseignement, une forme de théâtre expérientiel pour Colette George

Le téléenseignement, une forme de théâtre expérientiel pour Colette George

Je me sens un peu plus animée durant mes leçons virtuelles. C'est comme si j'étais une comédienne dans une pièce de théâtre.

14 mai 2020/Auteur: Webmestre/Nombre de vues (21658)/Commentaires ()/
Le téléenseignement, une expérience formatrice

Le téléenseignement, une expérience formatrice

J'ai eu le bonheur de vivre l'expérience de l'enseignement à distance il y a une douzaine d'années dans un autre contexte et cette expérience continue d'influencer l'utilisation que je fais de la technologie dans l'enseignement des mathématiques en salle de classe depuis ce temps.

1 mai 2020/Auteur: Webmestre/Nombre de vues (22810)/Commentaires ()/
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Les jeunes de l’école Père Mercure au fait de l’actualité sanitaire

Les jeunes de l’école Père Mercure au fait de l’actualité sanitaire

J’ai proposé à mes élèves un défi, non obligatoire : faire une capsule vidéo pour la salle de classe au sujet de la COVID-19. J’ai reçu 10 vidéos sur 13 élèves !

30 avril 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26292)/Commentaires ()/
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Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ?

Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ?

Le manque de juges, avocats, procureurs et greffiers bilingues en milieu minoritaire est une réalité de longue date. Mais l’immersion, de plus en plus populaire au pays, pourrait constituer une piste de solution.

14 avril 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (28585)/Commentaires ()/
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Les nouvelles écoles fransaskoises absentes du budget provincial

Les nouvelles écoles fransaskoises absentes du budget provincial

La construction de nouvelles écoles fransaskoises devra attendre

Dans son plan de dépenses de plus de 14 milliards de dollars, rien n’est prévu pour la construction des nouvelles écoles tant attendues par les Fransaskois.

9 avril 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (24588)/Commentaires ()/
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Le CÉF adopte le télétravail et le télé-enseignement

Le CÉF adopte le télétravail et le télé-enseignement

Depuis le 20 mars, les écoles fransaskoises sont fermées en raison de la pandémie de la COVID-19. Le personnel du CÉF opte désormais pour le télétravail et le télé-enseignement.

3 avril 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25070)/Commentaires ()/
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École à distance : Les élèves du CÉF ont hâte de se brancher

École à distance : Les élèves du CÉF ont hâte de se brancher

Les élèves du Conseil des écoles fransaskoises pourront suivre leurs cours en ligne dès le 6 avril.

3 avril 2020/Auteur: Sébastien Durand – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (27130)/Commentaires ()/
Le CÉF lance une application pour téléphone intelligent

Le CÉF lance une application pour téléphone intelligent

Le CÉF a dévoilé, le 12 mars 2020 une a,pplication pour téléphone intelligent qui permettra aux familles et aux élèves d'avoir accès en tout temps à l'information dont elles ont besoin.

19 mars 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (23989)/Commentaires ()/
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« Maman, je garde les enfants ! »

« Maman, je garde les enfants ! »

L’Association des parents fransaskois (APF) a offert un atelier sur la garde d’enfants en proposant aux jeunes âgés de 11 à 15 ans la formation Gardiens avertis à Saskatoon le 15 février, à Regina le 22 et à Prince Albert le 29.

12 mars 2020/Auteur: Leslie Garrido Diaz – Initiative de journalisme local – APF/Nombre de vues (21794)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu formera la relève journalistique dès l’automne

Le Collège Mathieu formera la relève journalistique dès l’automne

Les inscriptions pour le programme de journalisme en français du Collège Mathieu sont finalement ouvertes. 

29 février 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local - APF/Nombre de vues (29371)/Commentaires ()/
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Un nouvel examen de certification pour les infirmières

Un nouvel examen de certification pour les infirmières

Plusieurs intervenants francophones espèrent qu’un nouvel examen devienne une alternative à l’examen d’agrément national pour les infirmières qui est, depuis 2015, le seul examen obligatoire pour être certifié infirmière au Canada, exception faite du Québec et du Yukon, mais dont la traduction fait l’objet de critiques.

28 janvier 2020/Auteur: Marc Poirier (Francopresse)/Nombre de vues (24799)/Commentaires ()/
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La bienveillance à l’honneur à l’école Ducharme

La bienveillance à l’honneur à l’école Ducharme

Les 80 élèves de l’école Ducharme de Moose Jaw ont fait preuve de bienveillance au cours des mois de novembre et décembre 2019.

27 janvier 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (22247)/Commentaires ()/
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La réussite des enfants au coeur du congrès des parents fransaskois

La réussite des enfants au coeur du congrès des parents fransaskois

SASKATOON - L’Association des parents fransaskois (APF) a tenu son symposium le 26 octobre autour du thème « Être parent en 2019 ».  L’événement a rassemblé 128 participants.

1 décembre 2019/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (26785)/Commentaires ()/
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Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants

Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants

Survol des activités organisées par les écoles fransaskoises pour souligner le jour du Souvenir.

29 novembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (27579)/Commentaires ()/
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Les sous et dessous des annonces gouvernementales

Les organismes ont-ils une indépendance face au gouvernement?

Auteur: Anonym/26 avril 2016/Catégories: Politique

Marie-Claude Rioux

Marie-Claude Rioux

directrice générale de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse
Alors que la collecte de contributions politiques fait l’objet d’enquêtes et de controverses dans trois provinces (Québec, Ontario et CB), des questions se posent sur la relation de la classe politique avec l’argent. Faisant campagne grâce à des dons privés, les élus retournent-ils dans leur comté avec des fonds publics pour récompenser les donateurs ?

« On est de plus en plus bombardés par des photo-op, admet Marie-Claude Rioux, la directrice générale de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse. Avec les messages virtuels limités à 140 mots, une image vaut mille mots. C’est notre réalité. 

« Mais ça m’est déjà arrivé de refuser de faire partie de la photo. On a tort de le faire si on n’est pas content. Personne n’achète mon silence avec une subvention. Je ne suis pas une marionnette. »

En partant, soutient-elle, il n’y a pas de malaise : « Si on vient me donner un chèque, je l’accepte. Personne ne va me forcer à être dans la photo, à faire l’éloge du gouvernement ou à voter d’une certaine manière. » 

Mélanie Joly déléguera

La ministre Mélanie Joly a annoncé qu’elle permettra aux bureaucrates d’accorder l’approbation finale à 90 % des quelque 8000 subventions annuelles de Patrimoine canadien. S’adressant à des groupes culturels le 13 avril, elle a expliqué vouloir limiter les considérations politiques qui favorisent les projets de régions ayant voté pour le parti au pouvoir. Selon la ministre, les « officiers partisans » ne devraient pas avoir le droit, sauf pour des projets d’envergure, de renverser les décisions des fonctionnaires sur le terrain.

Le professeur d’histoire à l’Université Laurentienne, Joel Belliveau, signale que, même si les demandes d’octrois suivent un processus administratif, les décisions qui engagent des fonds publics relèvent ultimement des élus. 

« Au nom du principe de l’imputabilité ministérielle, il faut que le gouvernement assume ses choix et en fasse l’annonce. C’est toujours la ministre qui est responsable, le gouvernement ne peut pas se cacher derrière la décision des fonctionnaires.» L’annonce médiatisée fournit cependant l’occasion de faire du capital politique.

« Il y a une zone grise, reconnaît le chercheur. Il est acceptable de convoquer une conférence de presse pour diffuser une information que les médias sont libres de reprendre. Mais si on fait la promotion de ça avec des fonds publics, ça devient problématique. On a vu le premier ministre Stephen Harper faire des promotions associées au Parti conservateur avec son Plan d’action économique. C’était très limite. 

« Dans la francophonie canadienne, note Joel Belliveau, on est dans la même logique que quiconque demande des subventions. Quand les élus font des annonces publiques, des fois, les organismes ne sont pas contents. Mais comme on n’a pas beaucoup d’autonomie, on se contente d’un petit pécule. Si on parle trop fort, on risque de la perdre.»

Une dépendance aux subventions

« Les organismes ont-ils une indépendance face au gouvernement? Dans les années 1980, explique-t-il, on a échangé l’autonomie contre des moyens financiers. La seule manière d’en avoir, c’est que le gouvernement n’ait pas de choix que de financer, à partir de garanties constitutionnelles.» 

La relation de pouvoir avec les élus est ainsi en jeu, croit aussi Marie-Claude Rioux, persuadée de l’utilité d’exprimer, au besoin, de l’insatisfaction face aux décisions gouvernementales.

« Est-ce qu’on a une dépendance par rapport à nos bailleurs de fonds ? Et jusqu’à quel point est-elle forte ? Cette dépendance ne doit pas exister. On peut avoir une différence d’opinion. Moi, je dis ce que je pense. 

« Ceux qui veulent acheter notre silence font erreur. Si t’as quelque chose à critiquer, assure la directrice générale, tu vas le faire. On a une responsabilité d’informer les élus de nos besoins. C’est ça, le lobbying. Et souvent, les gouvernements sont ouverts à la critique.»

L’Acadienne rappelle un moment où elle avait vertement critiqué en public le gouvernement québécois pour son opposition devant les tribunaux à l’élargissement des droits en matière d’inscription scolaire au Yukon. « Avec des amis comme vous, avait-elle déclaré au ministre québécois des Affaires intergouvernementales canadiennes, on n’a pas besoin d’ennemis. » 

Le message a porté fruit. La réaction de Jean-Marc Fournier a paru dans La Presse du 11 avril, dans un plaidoyer intitulé Ensemble pour le français. « Élargissons l’espace francophone, a-t-il lancé, en ouvrant la porte des écoles au-delà du minimum constitutionnel. »


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