Le CÉF est fier de célébrer avec les familles le parcours remarquable de ses anciens élèves qui contribuent à façonner le monde.
Nos finissants s'inspirent des expériences vécues dans nos écoles et dans nos communautés. Étudier au CÉF constitue une aventure qui mène à l'ouverture sur le monde, à l'acquisition de compétences prisées sur le marché du travail en Saskatchewan, au Canada et dans le monde.
Devenir un citoyen francophone bilingue, c'est se doter d'un pouvoir d'influence incomparable sur la société, l'économie et le monde d'aujourd'hui. Faites comme nos anciens élèves : outillez-vous pour l'avenir !
SEANNA AUGER
Légende : Seanna Auger est originaire de Gravelbourg où elle a étudié à l’école Mathieu. Elle est aujourd’hui à Saskatchewan Polytechnic.
« Je suis inscrite au programme de comptabilité depuis l'automne à Saskatchewan Polytechnic à Moose Jaw. Je suis des cours de marketing, de droit, en ressources humaines, en mathématiques, en plus de la comptabilité. J'étudie tous les soirs. C'est très exigeant. Je veux ensuite poursuivre mes études à l'Université de Regina. Mon but est de devenir comptable agréée. Je vais réussir. En allant à l'école Mathieu de Gravelbourg, j'ai eu un avantage sur mes collègues de classe parce que mon école secondaire m'a bien préparée aux attentes académiques élevées, même pour des études postsecondaires en anglais. J'étais non seulement habituée à travailler fort, mais les rencontres effectuées et les amitiés développées avec les élèves des autres écoles du CÉF durant les grands rassemblements m'ont aidée à m'intégrer dans mon nouvel établissement d'enseignement avec une population étudiante beaucoup plus grande que ce que j'ai connu à Gravelbourg. »
SEBASTIAN FASIANG
Sebastian Fasiang est en 2e année du programme d'architecture à l'École nationale supérieure d'architecture et de paysage de Lille, en France. Il est un finissant de l'école Monseigneur de Laval à Regina.
« Je suis un passionné de la création et je suis curieux quant à la relation entre les êtres humains et leur habitat. Je m'intéresse à l'environnement dans lequel les humains évoluent, autant en milieu urbain que rural. Ayant grandi au Canada et en Saskatchewan, mon expérience de l'automobile est différente de celle qui est vécue en France. À Regina, on peut stationner facilement dans la rue ou dans un stationnement. En France, les rues sont plus étroites, il y a moins d'espace pour garer les automobiles. La tendance vise plus à sortir l'automobile de la ville, ce qui pose des défis. Comment peut-on s'adapter à un environnement à l'accessibilité plus contraignante ? L'omniprésence des automobiles empêche les citadins de pleinement profiter de la façade des édifices qu'on a tendance ici davantage à restaurer qu'à reconstruire. Il nous faut trouver le juste équilibre. Je suis né en République tchèque, où je n'avais pas eu l'occasion de faire des mathématiques en français. Mes études en français langue première en Saskatchewan m'ont permis non seulement de parfaire mon français, mais aussi d'employer du vocabulaire technique en français, bien que je maîtrise également l'anglais. Honnêtement, si je n'avais pas été à l'école Monseigneur de Laval, je ne me serais jamais retrouvé en France en train d'étudier l'architecture en pensant pouvoir ouvrir un jour mon propre cabinet d'architecture. »