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La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26426)/Commentaires ()/
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Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

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Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31255)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

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Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (37097)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (18950)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (25384)/Commentaires ()/
Balises: Debden
Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26827)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26247)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique en petite enfance

Aménagement linguistique en petite enfance

L'Ontario prend les devants

La petite enfance est d’une importance capitale pour les francophones et Acadiens des provinces et territoires à majorité anglophone. Et leur avenir pourrait être lié à l’adoption de politiques d’aménagement linguistique (PAL). L’Ontario prend les devants en petite enfance.

22 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (25910)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique et culturel

Aménagement linguistique et culturel

Le Nouveau-Brunswick bonifie la vision éducative

Plusieurs organisations francophones au Nouveau-Brunswick saluent la Politique d’aménagement linguistique et culturel (PALC), lancée officiellement le vendredi 9 mai. Selon des représentants acadiens, il était temps que ce type d’aménagement se développe comme en Ontario.

22 mai 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (26069)/Commentaires ()/
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Le plaisir de jardiner... à l’école

Le plaisir de jardiner... à l’école

Un journaliste dans les tomates

Initiative originale à l’école d’immersion Massey, à Regina, où une vingtaine d’élèves ont appris à planter des tomates.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24152)/Commentaires ()/
Catégories: ReginaÉducation
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Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Mardi 20 mai, six élèves de l’école secondaire Laval de Regina et six accompagnateurs se sont élancés à vélo de l’école Sans-Frontières de Lloydminster (CÉF) pour atteindre Bellegarde, le vendredi 23 mai. Ce parcours cycliste s’inscrit dans le cadre de l’évènement sportif La Grande Traversée (LGT), qui a débuté à Victoria le 12 mai dernier et s’achèvera à Québec le 13 juin prochain.

20 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (40016)/Commentaires ()/
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Dossier spécial Petite enfance 2014

Dossier spécial Petite enfance 2014

Mai, le mois de l’éducation de la petite enfance

Le 14 mai est la Journée d’appréciation des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance. Découvrez notre dossier sur la petite enfance. 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (30270)/Commentaires ()/
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Place de la petite enfance dans notre société

Dossier petite enfance - Mai 2014

Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif premier est de permettre l'accès à un CPE, quel que soit le revenu familial. 

15 mai 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26990)/Commentaires ()/
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L’animation culturelle dans les écoles

On apprenait récemment que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) révisait plusieurs de ses programmes, dans le contexte de la crise financière qu’il traverse actuellement. Un de ces programmes est celui qui concerne l’embauche d’animatrices / animateurs culturels dans les écoles.

15 mai 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (25731)/Commentaires ()/
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Se sucrer le bec pour une bonne cause

Se sucrer le bec pour une bonne cause

Un souper pour moderniser les infrastructures de la Gard’Amis

Le vendredi 9 mai 2014, la communauté francophone de Regina honore le rendez-vous fixé par le Centre éducatif Gard’Amis au Bistro du Carrefour des Plaines. Le souper Cabane à sucre, organisé en collaboration avec l’Association canadienne française de Regina (ACFR), a pour de but de lever des fonds « afin de donner un coup de jeunesse aux infrastructures vieillissantes » de la seule garderie francophone de la ville reine. 

15 mai 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (31817)/Commentaires ()/
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Regina : un projet de refuge pour sans-abri fait débat

Regina : un projet de refuge pour sans-abri fait débat

Auteur: Arnaud Decroix – IJL-Réseau.Presse/7 septembre 2024/Catégories: Communautaire, Regina, Société

Le 19 août, un groupe d’une douzaine de personnes a déposé une pétition auprès de la Ville de Regina afin de dénoncer certains propos jugés discriminatoires tenus lors d’un conseil municipal. En cause : le projet de construction d’un refuge pour sans-abri dont le voisinage ne veut pas.

La pétition compte 121 signatures. Il y est notamment reproché des commentaires entendus lors d’un conseil municipal du mois de juin, tombant dans la catégorie du « Pas dans ma cour » (Not in My Backyard).

Cette attitude, qualifiée de NIMBYisme, consiste à dénoncer l’installation d’une infrastructure dans son voisinage bien que celle-ci réponde à un besoin public.

En l’occurrence, les commentaires, qui visaient à s’opposer à l’achat d’un terrain par la Ville de Regina pour la construction d’un refuge permanent pour sans-abri, relevaient d’habitants et de commerçants inquiets d’une telle implantation dans leur quartier.

« Il s’agit d’une menace à la sécurité et au bien-être tant de mes clients que de mes employés », soutenait un employeur. « On aura un accroissement du nombre de piétons », redoutait un autre intervenant.

« On peut s’attendre à une augmentation du nombre des crimes, du vandalisme et de l’usage de drogues », a renchéri une autre personne lors du conseil municipal. « Les boutiques fermeront et les propriétés perdront de leur valeur », pronostiquait un autre individu inquiet.

Une discrimination ?

Les signataires de la pétition voient dans ces remarques une forme de discrimination et demandent l’interdiction de tout commentaire NYMB lors des futures rencontres municipales consacrées au logement social.

Les instigateurs de cette pétition déposée en août à l’hôtel de ville de Regina dénoncent une pratique discriminatoire. Pour Florence Stratton, qui a coordonné le dépôt de la pétition, « le NIMBYisme est une discrimination à l’encontre des personnes sans-abri ou à faible revenu ».

La militante des droits humains précise que « la nature discriminatoire de ces commentaires est encore plus évidente lorsqu’on regarde qui est concerné par ce mal-logement à Regina ». Dans la capitale, près de 80 % des sans-abri sont d’origine autochtone.

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La militante Catherine Robertson, à l’avant-plan, lors du dépôt de la pétition à l’hôtel de ville de Regina le 19 août 2024 Crédit : Courtoisie de Florence Stratton

En septembre 2021, un grand recensement effectué par des bénévoles avait dénombré 488 itinérants dans la capitale. Moins de la moitié d’entre eux bénéficiaient alors d’une place en refuge.

De son côté, la Ville de Regina indique que, conformément à sa réglementation, les copies de la pétition seront transmises à l’ensemble des membres du conseil municipal. Il leur appartiendra alors de se prononcer, s’ils le souhaitent, sur cette question.

Un refuge, mais où ?

Le 12 juin, le conseil municipal de Regina a finalement rejeté, à une courte majorité, l’acquisition par la Ville du terrain qui devait servir à créer un refuge permanent pour les sans-abri.

Le lieu, situé aux 1420 et 1440 sur la rue Albert, au croisement de l’avenue Dewdney, semblait pourtant idéalement situé entre le centre-ville et le quartier North Central, qui concentre les difficultés.

C’est à la demande de la conseillère municipale Lori Bresciani que ce projet d’achat a finalement été rejeté par 6 des 11 conseillers municipaux.

Bien que consciente de la nécessité d’un tel centre d’hébergement pour sans-abri, c’est précisément l’emplacement choisi qui inquiète la conseillère.

« Il s’agit d’une rue principale et l’une des plus achalandées. Je suis préoccupée à l’idée que l’on y retrouve les plus vulnérables », a-t-elle commenté.

Lori Bresciani répondait ainsi aux préoccupations de nombreux résidents du quartier qui craignent une baisse de la fréquentation des commerces, un risque accru d’usage de drogue et une augmentation de la criminalité.

L’un des opposants au projet d’achat du terrain résume : « Nous ne sommes pas contre la création d’un refuge permanent pour les personnes sans-abri, nous pensons même que c’est une nécessité, mais pas à cet emplacement. »

Christiane Guérette, directrice générale de l’Association des agents immobiliers de la Saskatchewan, note souvent une peur de perte de valeur foncière par le voisinage. Toutefois, « il est difficile de savoir comment un projet, quel qu’il soit, change la valeur d’une propriété », tempère-t-elle.

Un débat ouvert

Face à la frilosité de certains résidents, les projets publics font de plus en plus l’objet de consultations publiques afin d’en accroître l’acceptabilité sociale.

La pétition déposée à l’hôtel de ville de Regina s’appuie notamment sur un avis de la Commission ontarienne des droits de la personne, intitulé Surmonter l’opposition au logement abordable.

Selon la commission, « l’opposition discriminatoire au logement abordable est un excellent exemple du syndrome ‘pas dans ma cour’. Elle est due aux attitudes négatives ou aux stéréotypes envers les personnes qui habitent des logements abordables ou utilisent des refuges ».

La commission redoute même la tenue de certaines réunions publiques. « Ces réunions renforcent la fausse impression que les résidents du quartier ont le droit de choisir leurs voisins et elles enflamment souvent l’opposition du quartier au lieu de la calmer. »

Quelle solution ?

Actuellement, c’est le Nest Health Centre, à proximité du Palais de justice de Regina, qui fait office de centre d’hébergement d’urgence.

Bien qu’en activité depuis maintenant dix-huit mois, son fonctionnement est temporaire. Alors qu’il peut accueillir chaque nuit 55 personnes, le bail actuel prévoit la fermeture définitive des lieux à l’été 2025.

Par ailleurs, depuis la crise sanitaire, les campements de sans-abri se sont multipliés dans la capitale. L’été 2023, un camp de 85 tentes s’était installé pendant une quarantaine de jours dans le parc faisant face à l’hôtel de ville avant d’être démantelé pour des raisons d’hygiène et de sécurité à la fin du mois de juillet.

La création d’un accueil permanent pour les itinérants reste donc toujours à l’étude. La Ville continue de chercher un lieu propice depuis déjà trois ans et le conseil municipal de Regina pourrait, de nouveau, avoir à se positionner sur ce dossier lors de sa prochaine rencontre prévue le 9 octobre.

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Ghita Hanane

Arnaud Decroix – IJL-Réseau.Presse

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 - mardi 24 décembre 2024