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Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

5 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (24082)/Commentaires ()/
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Les 7e années de Mgr de Laval changent d’école

Le Pavillon secondaire des Quatre Vents de l’école Laval (PSQV) à Regina accueillera les élèves de la 7e année à la rentrée 2014.

5 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (22789)/Commentaires ()/
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La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La Saskatchewan pourrait emboîter le pas à l'Ontario et au Nouveau Brunswick

La Politique d’encadrement linguistique et culturel ou PÉLEC est un outil qui pourrait aider à résoudre les problèmes auxquels sont confrontés le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la province en matière de financement et de programmation.

5 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26555)/Commentaires ()/
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Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Des élèves de Saskatoon ont présenté un spectacle musical

Hercule, héros de la mythologie dont les nombreuses aventures l’ont mené de la Méditerranée jusqu’aux enfers, a ajouté une tâche à sa liste déjà longue de 12 travaux : il était en effet de passage à Saskatoon pour quelques jours, du 26 au 28 mai, et a pu profiter d’un beau temps printanier digne du mont Olympe!

5 juin 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (33037)/Commentaires ()/
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Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Leurs raisons et leur impact

Les mesures liées aux compressions budgétaires du Conseil scolaire fransaskois (CSF) entreront en vigueur le 1er septembre 2014 tandis que certains postes ne seront pas renouvelés lorsque les contrats prendront fin au mois de juin. Voici quelques précisions obtenues auprès de monsieur André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois.

2 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27347)/Commentaires ()/
Balises: CEF-finances

Concours d’art oratoire

Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan (CPF-SK) à Saskatoon, le samedi 26 avril 2014.

29 mai 2014/Auteur: Kenneth Bos/Nombre de vues (26679)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur!

Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand nettoyage et cela se vérifie au sein de nos organismes communautaires! L’Association des Parents fransaskois (APF) a organisé plusieurs activités en ce début de printemps pour les familles de Saskatoon et d’autres villes.

29 mai 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27057)/Commentaires ()/
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La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25350)/Commentaires ()/
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Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30417)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (35199)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (18313)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (24626)/Commentaires ()/
Balises: Debden
Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25850)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25416)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique en petite enfance

Aménagement linguistique en petite enfance

L'Ontario prend les devants

La petite enfance est d’une importance capitale pour les francophones et Acadiens des provinces et territoires à majorité anglophone. Et leur avenir pourrait être lié à l’adoption de politiques d’aménagement linguistique (PAL). L’Ontario prend les devants en petite enfance.

22 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (25127)/Commentaires ()/
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Elsie Miclisse à micro ouvert

Auteur: Estelle Bonetto/24 janvier 2022/Catégories: Société, Femmes

Ce 14 janvier, l’animatrice Elsie Miclisse a quitté la barre de l’émission matinale Point du jour de Radio-Canada Saskatchewan pour s’envoler vers d’autres horizons radiophoniques. Après trois ans passés à réveiller, éveiller, informer et divertir les Fransaskois à l’heure où l’aube pointe son nez, l’animatrice bien-aimée revient sur son parcours en Saskatchewan ponctué de philosophie, de philanthropie et d’un cœur communautaire grand ouvert.

Par quel heureux hasard vous êtes-vous retrouvée dans la province des cieux vivants ?

Je veux vivre sans regret et vivre ce qui brûle en moi ! Je suis arrivée le 4 septembre 2017 en Saskatchewan en provenance de Montréal et j’ai commencé à travailler à Radio-Canada le lendemain.

Au Québec, j’avais fait beaucoup d’animation dans des radios communautaires et chrétiennes, à la télé aussi comme chroniqueuse culturelle. J’avais aussi de l’expérience dans l’événementiel et une formation en journalisme, mais j’avais envie de passer à autre chose.

Vous avez connu une ascension fulgurante. Quelles ont été les premières fonctions que vous avez occupées et comment avez-vous réussi à vous tailler une place de choix dans le cœur des Fransaskois ?

Je suis rentrée comme reporter, mais j’ai vite compris que la radio, c’était mieux pour moi. Je suis donc passée à la réalisation associée à l’émission Pour faire un monde puis j’ai commencé à remplacer l’animatrice Doris Labrie lorsqu’elle était en vacances. J’ai beaucoup aimé ça et les gens ont remarqué que j’avais du potentiel ! [rires]

Et, à peine un an après mon arrivée, le 12 septembre 2018 précisément, je suis passée à la barre de l’émission du matin ! Je ne m’attendais pas à avoir le poste, c’était une agréable surprise ! Je crois vraiment que si c’est ta saison, c’est ta saison, et rien ne peut t’arrêter.

Quelle a été votre motivation pour vous lever de si bonne heure tous les matins, et de si bonne humeur qui plus est ?

Ce qui m’intéresse surtout, c’est la relation avec les gens, de les amener à se réconcilier, à mieux se comprendre, à se rapprocher et à regarder la société sous un autre angle.

Quelles ont été vos impressions de la communauté fransaskoise ?

La communauté fransaskoise est une belle communauté qui m’a très bien accueillie. Les gens sont toujours disponibles pour parler et échanger. Je m’intéresse à ce qu’ils font, à leurs activités. J’ai aussi appris à ne jamais rentrer dans les conflits. Ce qui importe, c’est ma relation avec la personne ou le groupe.

En plus de vos fonctions d’animatrice à la radio, vous vous êtes également prêtée au jeu de la maîtresse de cérémonie lors d’événements communautaires. Pouvez-vous nous parler de certains de vos moments forts ?

Il y en a beaucoup ! J’ai notamment adoré faire l’animation du 30e anniversaire de l’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan. J’ai rencontré des gens extraordinaires que je n’avais pas l’habitude de fréquenter.

Il y a aussi eu l’événement bilingue pour la Journée des femmes où on a essayé de me recruter pour faire de la politique ! 

Et puis, bien sûr, le Francothon et les Festivals fransaskois. C’est un privilège de participer à ces événements, la vie nous donne de beaux cadeaux. Le moment présent est tellement important, il faut être capable de faire le don de soi.

Et en ondes, vous souvenez-vous d’avoir eu des frissons ?

J’avais toujours rêvé d’interviewer Michaëlle Jean, l’ancienne gouverneure générale, et j’ai eu la chance de le faire ! Je capotais, j’étais comme une petite fille [rires]. Et même si tout n’est pas parfait, elle a toujours été un beau modèle, elle est d’origine haïtienne comme moi. 

Les moments les plus marquants ont été avec des intervenants de la communauté fransaskoise, comme lors des élections controversées de l’ACF ou celles des conseillers scolaires.

Lorsque le micro est ouvert, qu’est-ce qui compte le plus pour vous ?

L’important pour moi, c’est de donner le micro aux gens d’ici, pour qu’il puisse s’exprimer et faire avancer les causes qui leur sont chères dans la francophonie. Je me demande toujours : "Qu’est-ce que les gens veulent savoir" ? Tu rentres chez les gens, dans leur voiture, leur salon, leur intimité. Il faut se mettre à leur place.

Animer une émission comme celle-ci, ce n’est pas à propos de soi mais de l’autre. C’est d’aider l’autre à voir les choses autrement, et d’avoir une valeur ajoutée dans sa journée, que ce soit à travers la météo, les entrevues nationales et locales pour apporter un brin de soleil dans sa vie.

En quoi consiste la prochaine étape de votre carrière ?

Je demeure à Radio-Canada et je vais à Sudbury pour animer l’émission Le matin du Nord. Ce sera un nouveau défi ! Je connais Ottawa et Toronto, mais pas le Nord de l’Ontario. J’avais aussi besoin de me rapprocher de l’Est pour des raisons familiales

Vous aviez l’habitude de commencer l’émission Point du jour avec une citation inspirante. Avez-vous un dernier mot philosophique à nous livrer ?

Si on ne vaut pas une risée, on ne vaut pas grand-chose ! Dans la vie en général, notre attitude fait toute la différence. Je me vois comme une guerrière, la vie est un grand combat et une bonne attitude nous aide à passer au travers de l’adversité.

Le sourire dans la voix d’Elsie Miclisse au saut du lit de nombreux Fransaskois restera dans les mémoires et, en attendant une nouvelle personne pour la remplacer, c’est Rose Nantel qui prête ses vocalises à l’émission Point du jour.

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Estelle Bonetto

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 - samedi 21 septembre 2024