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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25648)/Commentaires ()/
Balises: Miles Muri
Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

18 septembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27084)/Commentaires ()/
Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Depuis cinq ans, le Conseil des écoles fransaskoises profite du programme national Ordinateurs pour les écoles (OPE). Créé en 1993 par Industrie Canada et les TelecomPioneers, ce programme a permis, à date, de donner plus de 1 100 000 ordinateurs et imprimantes provenant des administrations publiques et du secteur privé. 
18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30776)/Commentaires ()/
Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (30425)/Commentaires ()/

Notre école

Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.

11 septembre 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (29646)/Commentaires ()/
Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30462)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29007)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29493)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (32349)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27330)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24644)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28413)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27282)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29765)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22450)/Commentaires ()/
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La Saskatchewan vibre au rythme de la Légende de Calamity Jane

La Saskatchewan vibre au rythme de la Légende de Calamity Jane

Auteur: Verno Katshite Nyembo/11 mars 2024/Catégories: Arts et culture, Musique

Le groupe de musique La Légende de Calamity Jane, porté par les sœurs Michelle et Annette Campagne ainsi que le guitariste André Lavergne, a effectué une tournée dans six villes de la province du 18 au 25 février avec l’appui du Conseil culturel fransaskois. L’occasion de transporter le public dans un univers majestueux et captivant, imprégné de l’esprit pionnier de l’Ouest canadien. Les sœurs Campagne reviennent sur leur tournée provinciale pour L’Eau vive.

Comment est née La Légende de Calamity Jane ?

Michelle : Ça remonte à 2017, quand on se trouvait en France et que j’accompagnais Annette dans son spectacle. On avait fait un festival country et le répertoire était plutôt rock. On a vu comment c’était vraiment naturel pour nous de faire ces chansons-là. Et puis j’ai dit à Annette qu’on allait faire un groupe country, parce que l’auditoire avait beaucoup aimé ça, et qu’on s’appellerait Calamity Jane.

Comment définiriez-vous le style de musique de votre groupe ?

Annette : C'est du country alternatif. Ce n’est pas de la country pure dans le sens qu’on parle d’alcool, d’auto, etc. C’est vraiment à la façon de nos harmonies, parce que moi et Michelle chantons depuis très longtemps et les harmonisations font partie de ce qu’on fait. Ça chevauche un peu de l'americana aussi, mais c’est du country alternatif.

Fortes de vos succès et de vos multiples tournées, vous êtes devenues de véritables ambassadrices de la francophonie saskatchewanaise. Comment appréhendez-vous ce rôle ?

Annette : On est bien contentes de représenter la Saskatchewan. On a de longues racines ici. On a grandi à peine à 50 km des États-Unis, pas loin du Montana, dans la culture de cowboy. Pour nous, représenter les Fransaskois a pris une nouvelle envergure, car on célèbre aussi nos racines un peu plus cowboy.

Vous vous épanouissez également chacune de votre côté. Comment faites-vous pour concilier carrière solo et aventure en groupe ?  

Annette : On partage nos projets et nos efforts personnels. Moi, j’ai des projets personnels très différents. Je fais aussi de la direction artistique pour des spectacles. Je partage mon énergie entre trois choses, mais ça semble bien marcher. Ça nous garde occupées et on apprend toujours.

Michelle : Nous avons une équipe qui nous épaule, on a des gérants au Québec. Et puis, le fait qu’on soit trois à gérer le groupe avec André Lavergne, on se partage la tâche et ça nous donne des opportunités quand on a des contrats personnels.

Qu’est-ce qui vous a motivées à vous lancer dans cette tournée provinciale composée de six dates dans six villes différentes ?

Annette : C’est le Conseil culturel fransaskois qui gère cette tournée pour nous. On les a approchés pour savoir s’ils seraient intéressés à nous prendre en main pour la tournée et ils ont tout de suite dit oui. C’est un grand privilège. On avait très hâte d’entreprendre une tournée, surtout rurale, car pour moi la Saskatchewan est d’abord une communauté rurale et ça va bien avec notre style de musique.

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Calamity Jane à Saint-Louis Crédits : Marie-Lou Bernatchez Le groupe La légende de Calamity Jane était de passage à Saint-Louis le 22 février.

Est-ce que tous les concerts de la tournée étaient identiques ?

Michelle : C’est le même répertoire pratiquement, mais c’est sûr que chaque spectacle est différent dépendamment de son auditoire. C’est un spectacle qu’on a conçu avec des chansons du premier album. On a aussi de nouvelles chansons qu’on va enregistrer au mois de mai de cette année. C’est la première fois qu’on joue ces nouvelles chansons et on va faire aussi des chansons de l’époque de Folle Avoine.

Pourquoi avoir voulu associer une chorale au concert de Regina ?

Annette : J’ai dirigé une chorale gospel pendant dix ans à Regina. La chorale était vraiment pour moi un projet qui me tenait beaucoup à cœur. Je me suis dit pourquoi ne pas inviter la chorale gospel de Regina pour venir chanter avec nous au spectacle. Deux de nos sœurs, Solange et Suzanne, ainsi que mon mari Dave, font partie de cette chorale. C’est juste un grand spectacle d’amour.

Quels sont vos projets après la tournée ?

Michelle : On va prendre quelques mois pour finir l’écriture de notre prochain disque. On est chanceux, parce qu’avec cette tournée on va avoir quatre nouvelles chansons présentées dans notre spectacle. On va pouvoir écrire et bonifier le prochain spectacle et au mois de mai on va se rencontrer dans le studio à Québec chez André Lavergne. On va se retrouver au mois de mai avec d’autres musiciens et tout un nouveau répertoire. On a très hâte !

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Ghita Hanane

Verno Katshite Nyembo

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 - mercredi 25 décembre 2024