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Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Depuis cinq ans, le Conseil des écoles fransaskoises profite du programme national Ordinateurs pour les écoles (OPE). Créé en 1993 par Industrie Canada et les TelecomPioneers, ce programme a permis, à date, de donner plus de 1 100 000 ordinateurs et imprimantes provenant des administrations publiques et du secteur privé. 
18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30535)/Commentaires ()/
Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (30103)/Commentaires ()/

Notre école

Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.

11 septembre 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (29293)/Commentaires ()/
Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30143)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28728)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29147)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (32091)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26987)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24304)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28107)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26999)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29379)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22151)/Commentaires ()/

Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement

Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des  motifs encore flous, lors  d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et  le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel  à un conciliateur puisque  les négociations qu’ils  ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.

21 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (22600)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

14 août 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26652)/Commentaires ()/
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Glisser sur l’hiver

Glisser sur l’hiver

Auteur: Leanne Tremblay/28 janvier 2023/Catégories: Sport

Les hivers saskatchewanais sont connus pour leur sévérité, poussant une partie de la population à rester à l’intérieur jusqu’à l’arrivée du printemps. Néanmoins, beaucoup de résidents profitent au contraire de la saison blanche pour monter sur des skis. Plusieurs Fransaskois témoignent de leur passion.

Pour certains, les avantages du ski du fond ne font aucun doute : « C’est un des sports dans lesquels on bouge tout le corps en entier, ce qui est très bon pour la santé physique », lance André Bourque, coach de ski de fond à Regina.

La motivation de ce dernier s’est transmise à sa fille Lorence, aujourd’hui compétitrice affiliée au Club de ski de Regina : « Le ski de fond est aussi bon pour la santé mentale puisque tu prends le temps d’aller et de passer du temps dans la nature », ajoute-t-elle.

Un sport familial

Au départ, Laura Chabot, enseignante en éducation physique à Regina, faisait du ski de fond pour remplacer sa source d’exercice préférée. « J’aime courir, mais pas pendant l’hiver », rit la Fransaskoise, consciente des températures hivernales.

Pour la mère de famille, le ski est plus qu’une simple activité de plein air : « C’est un loisir à faire en famille, dit-elle. Lorsque les enfants étaient bébés, je skiais avec eux sur mon dos pendant qu’ils faisaient une sieste. Maintenant, mon plus petit est en maternelle et se fatigue avant nous. J’attache une corde autour de ma taille et de la sienne et, quand il en a besoin, je le traîne derrière moi ! »

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Une piste éclairée par des bougies lors d’un événement de ski au parc provincial Moose Mountain, au sud-est de Regina Crédit : Leanne Tremblay

Plus au nord, Bill Jeffrey, membre du Club de ski Nordic de Prince Albert, espère skier quelque 1 500 kilomètres par an. Un hiver, le passionné dit avoir parcouru 2 300 kilomètres en ski, soit un peu moins de la distance entre Regina et Toronto.

Le dévouement du Saskatchewanais à ce sport de glisse lui a même valu un voyage en Norvège en tant que guide pour des skieurs aveugles norvégiens lors de la Coupe du monde paralympique. « Si on me demande quel sport est le plus resplendissant, je répondrais le ski de fond », assure-t-il sans hésiter.

L’effet de la pandémie

Sylvie, enseignante retraitée, apprécie aussi les avantages du ski de fond. « Ça permet de garder ton corps en mouvement en hiver. C’est une activité accessible à tous les gens parce qu’il n’y a pas beaucoup d’impact sur le corps. »  

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Carte montrant les clubs de ski de fond en Saskatchewan Crédit : Site web Cross Country Saskatchewan

Présentement à Regina, Sylvie recommande les sentiers du parc provincial de la vallée Echo, non loin de la ville. « Ça me rappelle un peu le Québec avec tous les arbres. On voit aussi des animaux, comme des chevreuils ou des porcs-épics. »

Récemment, la Réginoise a remarqué un changement en parcourant les sentiers. « Avec la COVID, je pense qu’il y a eu un regain d’activité dehors. On voit énormément plus de jeunes, de familles. Tout a été ralenti, tout le monde travaillait de la maison et les enfants n’ont pas eu d’activités organisées, alors ils font plus de choses en famille et entre amis. Dehors, on est moins à risque », observe-t-elle.

Deux clubs de ski de fond ont aussi constaté une augmentation du nombre d’adeptes sur leurs sentiers. « La pandémie a causé une résurgence, rapporte Brian Robinson, président du Club de ski cross-country de Lloydminster. Avant la pandémie, on avait une trentaine de membres et aujourd’hui on en a environ 120. »

Le club de Prince Albert connaît un phénomène semblable : « Il y a six ou sept ans, notre adhésion était d’environ 180 membres. Aujourd’hui, on est à environ 500 membres. On a récemment organisé un événement de ski pendant la pleine lune : 91 skieurs y ont assisté ! », se félicite Bill Jeffrey, membre du comité exécutif du club.

Comment devenir skieur de fond

Les clubs de ski sont une ressource incontournable pour s’adonner au ski de fond. Gérés par des bénévoles, les clubs entretiennent les sentiers, donnent des leçons de ski, offrent de la location d’équipement et animent des événements.

En outre, plusieurs magasins de plein air dans la province se spécialisent en équipement de ski de fond. Sunshine and Ski, à Regina, est par exemple toujours prêt à orienter les nouvelles recrues.

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André et Lorence Bourque, compétiteurs de ski de fond à Regina Crédit : André Bourque

Brian Sampson, propriétaire du magasin, reconnaît que « l’achat d’équipement en ski peut coûter cher », soit environ 400 dollars par personne. Aussi suggère-t-il « de louer avant d’acheter » pour plus de sécurité, surtout si l’on n’est pas certain d’aimer le sport. « Vous pouvez aussi trouver du vieil équipement en ligne et nous pouvons le réparer », ponctue le gérant.

À ce propos, l’événement Ski Swap est tout indiqué pour les amateurs qui souhaitent préserver leur porte-monnaie. Réunis une fois par an à Regina, des skieurs y vendent leur équipement usagé. À noter que plusieurs groupes Facebook font de même.  

Pour plus de renseignements sur le ski de fond, rendez-vous sur le site Cross Country Saskatchewan.

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Leanne Tremblay

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