Skip Navigation
Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28457)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26990)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27533)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30532)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25390)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (22756)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26681)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25743)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27906)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Doug Bell/Nombre de vues (20738)/Commentaires ()/

Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement

Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des  motifs encore flous, lors  d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et  le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel  à un conciliateur puisque  les négociations qu’ils  ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.

21 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (21769)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

14 août 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25213)/Commentaires ()/

CSF : Une injonction plaidée dans des conditions défavorables

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.

14 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23229)/Commentaires ()/
Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois retourne devant les tribunaux

Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (23693)/Commentaires ()/
Droits ancestraux des autochtones

Droits ancestraux des autochtones

L’obligation de consulter est immédiate

La Cour suprême du Canada vient alourdir le fardeau des gouvernements et des entreprises dans l’exploitation des ressources sur les terres ancestrales. Le jugement du 26 juin pourrait impacter un grand nombre de négociations, partout au pays.

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24363)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
Première2324252628303132Dernière
Le savoir pour lutter contre la COVID-19

Le savoir pour lutter contre la COVID-19

Auteur: Estelle Bonetto/15 novembre 2020/Catégories: 2020, Société, Santé

Jérome Leis

Jérome Leis

Photo : Courtoisie
Le 3 novembre dernier, la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina, en partenariat avec l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) et l’Université de la Saskatchewan, a présenté une table ronde virtuelle sur la pandémie. Un panel de trois experts qui tombe à point, à l’heure où le monde est aux prises avec une deuxième vague virulente et angoissante qui fait les manchettes.

Animée par la docteure Anne Leis, professeure et directrice du département de santé publique et d’épidémiologie à l’Université de la Saskatchewan, la table ronde réunissait trois éminents spécialistes qui ont brossé un portrait complet de la vie covidienne, de la prévention aux modes de transmission en passant par le développement d’un vaccin.

Se tenir dans sa bulle

« Nos bulles sont beaucoup plus grandes et nombreuses que nous le pensions. En général, notre bulle principale est celle de la maison, mais il y a aussi celle du travail, des activités sportives, de l’école, etc. Il faut donc multiplier les niveaux de protection pour se mettre à l’abri d’une transmission », a souligné la docteure Hortense Nsoh Tabien, médecin de santé publique.

L’équipement de protection individuelle, tel que les masques, constitue selon elle « notre dernière ligne de défense qu’il faut combiner à toutes les autres mesures, notamment le lavage des mains, la distanciation et le respect des bulles pour obtenir une protection plus complète et sécuritaire ».

La question du port du masque localisé à Regina, Saskatoon et Prince Albert peut porter à confusion, reconnaît la docteure. « Cela dépend des lois, des règlements en place au niveau municipal et provincial. Dans le cas de ces trois villes, le nombre de cas de transmission communautaire risquait de devenir incontrôlable et il fallait donc agir dans ces communautés. Les protocoles et les connaissances évoluent rapidement, d’où l’importance de s’ajuster rapidement », a-t-elle explicité.

À la croisée des connaissances

« Les modes de transmission sont très bien établis », a souligné quant à lui Jérôme Leis, médecin spécialiste en maladies infectieuses. Ce sont les sécrétions respiratoires dispersées dans l’air qui causent l’infection, par exemple quand on tousse, éternue, parle fort ou chante. « Les gouttelettes ne voyagent pas très loin, elles atterrissent à un ou deux mètres en situation de contact étroit », complète le chef de la prévention et du contrôle des infections au Centre des sciences de la santé Sunnybrook à Toronto.

La contamination par les mains est aussi très fréquente, observe l’expert. « On touche sa bouche 10 à 20 fois par heure, il est donc très facile de propager le virus par contact direct avec les mains. Le virus peut aussi survivre jusqu’à 72 heures dans l’environnement, ainsi que sur les surfaces. »

Et on en sait aujourd’hui davantage sur la transmission aérogène, c’est-à-dire lorsque les gouttelettes infectent des gens à distance comme dans le cas de la tuberculose. « On peut penser à des lieux où il y a une absence de ventilation », note ici Jérôme Leis.

Aussi est-il primordial d’étudier nos habitudes, « car ce sont les comportements humains qui déterminent la propagation du virus », relève le docteur qui distingue trois types d’activités. Il y a les feux rouges à éliminer complètement, comme les voyages ou les rassemblements ; les feux jaunes que l’on ne peut pas éviter mais qu’on peut atténuer, comme le magasinage, l’école, le travail ou la pratique de sports ; les feux verts qui peuvent se pratiquer en toute sécurité comme le télétravail, les vidéoconférences, la course à pied en extérieur, le vélo, etc.

Un vaccin à vitesse grand V

Élodie Pastural

Élodie Pastural

Élodie Pastural est gestionnaire de projet et de la propriété intellectuelle à VIDO-InterVac.
Photo : Courtoisie
« Le vaccin est une invention humaine qui prend énormément de temps à développer. En moyenne, il faut environ 12 ans et plus de 2 milliards de dollars de la phase de découverte jusqu’à la commercialisation d’un vaccin, a tenu à rappeler la chercheuse Élodie Pastural, docteure en immunologie et gestionnaire en développement des vaccins à VIDO-InterVac à Saskatoon. Ça, c’était avant la COVID. Maintenant, tout est accéléré, c’est un vrai défi ! »

La docteure a défendu les avantages de la vaccination qui sera selon elle cruciale pour protéger les personnes les plus vulnérables de la société. « Les bénéfices des vaccins sont largement plus grands que les effets secondaires qui sont largement documentés », avance-t-elle. En outre, cette dernière souligne que leur développement est hautement contrôlé par les autorités sanitaires pour en assurer l’innocuité et l’efficacité.

Des essais cliniques sont en cours, dont un prochainement à l’hôpital royal de Saskatoon. « On parle donc maintenant d’essais au sein de la population générale, ce qui est très prometteur », note Élodie Pastural.

Toutefois, comme pour la grippe, il existe différentes souches de coronavirus et il faudra peut-être revacciner les gens tous les ans, prévient l’experte. « Pour l’instant, le vaccin que mon laboratoire est en train de développer nécessite deux injections et nous étudions de près la durée de l’immunité pour offrir une protection maximale. » 

Enfin, pour éviter une double pandémie en janvier de la grippe saisonnière et du coronavirus, « il est essentiel de se faire vacciner contre la grippe », recommande la chercheuse.

Imprimer

Nombre de vues (13017)/Commentaires (0)

Estelle Bonetto

Estelle Bonetto

Autres messages par Estelle Bonetto
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - vendredi 17 mai 2024