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Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28463)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26993)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27536)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30537)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25396)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (22759)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26685)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25752)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27909)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Doug Bell/Nombre de vues (20745)/Commentaires ()/

Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement

Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des  motifs encore flous, lors  d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et  le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel  à un conciliateur puisque  les négociations qu’ils  ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.

21 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (21773)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

14 août 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25220)/Commentaires ()/

CSF : Une injonction plaidée dans des conditions défavorables

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.

14 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23237)/Commentaires ()/
Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois retourne devant les tribunaux

Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (23695)/Commentaires ()/
Droits ancestraux des autochtones

Droits ancestraux des autochtones

L’obligation de consulter est immédiate

La Cour suprême du Canada vient alourdir le fardeau des gouvernements et des entreprises dans l’exploitation des ressources sur les terres ancestrales. Le jugement du 26 juin pourrait impacter un grand nombre de négociations, partout au pays.

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24369)/Commentaires ()/
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L’AJEFS fête ses 30 ans

Auteur: Michel Vézina/19 octobre 2019/Catégories: 2019, Organisme, AJEFS - Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan, Juridique, AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan

Le samedi 5 octobre 2018, le Bistro du Carrefour des plaines a vibré aux célébrations du 30e anniversaire de l’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan (AJEFS). Outre le banquet, plusieurs discours et quelques présentations, l’événement proposait un panel captivant sur trois décennies d’accès à la justice en français dans la province.

Une soixantaine de personnes étaient présentes pour célébrer les 30 ans de l’organisme. Tout en profitant du cocktail et du banquet préparé par le chef Marc Drolet et servi par les jeunes du Pavillon secondaire des Quatre-Vents de l’école Monseigneur de Laval, les convives ont pu échanger des commentaires, retrouver des amis de longue date et faire de nouvelles connaissances. Les discussions étaient parsemées de réflexions sur l’AJEFS.

Selon l’avocat Roger Lepage, l’un des fondateurs de l’AJEFS, l’organisme constitue « un espace psychologique francophone dans la province ». Pour lui, pas de doute, « c’était légitime d’exister en 1988. Quand le système juridique appuie ta communauté, ça donne une légitimité qu’on n’avait pas avant.  Avec l’AJEFS, on a créé cet espace juridique qui légitime notre existence dans l’Ouest canadien. »

Quant à lui, Denis Simard, président de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), a rappelé que « des juristes ont fait partie de nos organisations à divers titres : ils étaient les piliers, la conscience, et ils ont été au combat pour la défense de nos droits. »

Un atout fransaskois

Fort de son Centre Info-Justice, l’AJEFS recèle d’une mine d’or d’informations. Ronald Labrecque, directeur général de l’ACF, a souligné à cet égard que « l’AJEFS organise un débat juridique très apprécié dans les écoles qui l’attendent chaque année… » Sans oublier les projets développés en collaboration avec l’ACF comme la visite au pénitencier de Prince Albert.

Les membres de la communauté présents n’ont pas manqué de souligner l’apport de l’organisme. Selon Louis-Arthur Leblanc, de Zenon Park, l’AJEFS « nous rappelle nos droits et qu’il est donc d’autant plus important d’avoir des juristes ». Pour Lisette Marchildon, l’association constitue « un atout pour la communauté » en donnant accès à des services juridiques.

Maître Sophie Ferré, présidente de l’AJEFS, était enchantée du déroulement de la soirée et en a profité pour remercier toutes les personnes impliquées dans l’organisation de l’événement. La représentante s’est réjouie du travail accompli par l’AJEFS, son impact au niveau du système juridique de la province et son travail de sensibilisation auprès de la communauté quant à l’obtention et l’utilisation de services juridiques en français.

Rétrospective

Dès 16 h 30, la maîtresse de cérémonie, Elsie Miclisse, de Radio-Canada, a interpellé la foule et le panel a pu démarrer. Tout d’abord, maître Roger Lepage a donné un aperçu de l’histoire des droits linguistiques, précisant quelques repères historiques. Le sociologue Wilfrid Denis a ensuite creusé le sujet des droits scolaires et l’angle du compromis politique : d’après lui, on ne parle pas de droits fondamentaux, mais plutôt d’accords à force de négociations.

Pour sa part, l’honorable Charlène Richmond, juge à la Cour du Banc de la Reine de la Saskatchewan, a parlé du droit de la famille et de la Loi C-78 centrés sur le bien-être de l’enfant. L’honorable Georgina Jackson, juge de la Cour d’appel de la Saskatchewan, a abordé le bijuridisme francophone en Saskatchewan, indiquant que les avocats devraient utiliser davantage la jurisprudence du Québec dans leurs plaidoiries touchant à la francophonie.

Une période de questions a suivi, portant sur la notion du compromis politique, la cause scolaire en Colombie-Britannique, les ressources humaines disponibles dans les tribunaux en Saskatchewan, l’effet des changements de la Loi C-78 et les besoins en personnel bilingue dans les tribunaux de la province.

Un avenir prometteur ?

L’avocat Roger Lepage voit de plus en plus de francophones dans son bureau du personnel anglophone. Un signe encourageant pour l’avenir de la justice en français : « Il y a de plus en plus de juges qui parlent français, observe-t-il. On a nos écoles fransaskoises, et on a aussi toutes les écoles d’immersion… Les gens voient qu’il y a un avantage à avoir les deux langues », témoigne-t-il.

Enfin, un hommage posthume a été rendu à maître Marcel Simonot, décédé récemment. Ce dernier avait été l’un des fondateurs de l’AJEFS et en était devenu un fervent promoteur. Une minute de silence a été observée en son souvenir.

Une vidéo préparée pour les 30 ans de l’AJEFS est disponible sur le site de l’AJEFS à saskinfojustice.ca.

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Michel Vézina

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 - samedi 18 mai 2024