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Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28448)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26984)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27523)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30516)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25385)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (22745)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26675)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25736)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27897)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Doug Bell/Nombre de vues (20727)/Commentaires ()/

Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement

Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des  motifs encore flous, lors  d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et  le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel  à un conciliateur puisque  les négociations qu’ils  ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.

21 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (21760)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

14 août 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25205)/Commentaires ()/

CSF : Une injonction plaidée dans des conditions défavorables

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.

14 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23223)/Commentaires ()/
Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Les parents déplorent la nouvelle cause juridique du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois retourne devant les tribunaux

Mises à pied, démission du directeur, réductions de programmes et coupure du budget de 4,4 millions $. Suivant l’échec de pourparlers, le gouvernement a décrété le 12 juin un audit des finances du Conseil scolaire fransaskois. Le 26 juin, le CSF lançait une nouvelle poursuite

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (23683)/Commentaires ()/
Droits ancestraux des autochtones

Droits ancestraux des autochtones

L’obligation de consulter est immédiate

La Cour suprême du Canada vient alourdir le fardeau des gouvernements et des entreprises dans l’exploitation des ressources sur les terres ancestrales. Le jugement du 26 juin pourrait impacter un grand nombre de négociations, partout au pays.

10 juillet 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24354)/Commentaires ()/
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L'engagement de Françoise Sigur-Cloutier pour les droits des femmes

Auteur: Frédéric Dupré/15 mars 2019/Catégories: 2019, Société, Femmes

Françoise Sigur-Cloutier

Françoise Sigur-Cloutier

Photo : Frédéric Dupré (2019)
Plusieurs on eut l’occasion de connaître Madame Sigur-Cloutier à titre de présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) ; rôle qu’elle a occupé pendant deux mandats (2012-2018). Toutefois, son engagement féministe et pour le développement de la francophonie s’étend sur plusieurs décennies.

Madame Sigur-Cloutier explique ainsi pourquoi elle a commencé son travail pour la francophonie en Alberta au début des années 1970 : « Mon engagement part d’un besoin personnel. Je voulais que mes jeunes enfants aient un environnement francophone. Je suis partie du constat qu’il manquait cet environnement. Alors j’ai mis l’épaule à la roue. »

C’est aussi à Calgary qu’elle va mettre sur pied un groupe de femmes (Réseau femme). En plus de répondre à un besoin de support pour les femmes francophones de Calgary, ce groupe répondait aussi à un besoin personnel. « J’avais vécu toutes sortes de violences dans mon couple et, à ce moment-là, le mouvement féministe commençait à s’organiser. Je n’avais aucun système de support et j’ai réalisé que je n’étais pas toute seule. » explique-t-elle.

Son engagement auprès du mouvement féministe a pris fin au début des années 2000. « Les gouvernements, les uns après les autres, ont tous mis des bâtons dans les roues du mouvement des femmes. Les groupes perdaient leur financement, les femmes perdaient leur job. D’après moi, c’est le résultat que les gouvernements voulaient. On est encore très loin de l’équité salariale et de la parité. » Elle se console en se disant qu’aujourd’hui les femmes ne se laissent plus faire devant la misogynie de certains hommes. Mais, la misogynie existe toujours. Son passage à la présidence de l’ACF l’a confirmé.

Misogynie à l’Assemblée communautaire fransaskoise

« J’ai vécu une forme de misogynie lors de ma présidence à l’ACF, c’était subtil, je pense que les individus qui ont fait cela n’en étaient même pas conscients. La façon dont réagissent les hommes lorsqu’une femme parle c’est différent que lorsque c’est un homme. On donne toujours plus le bénéfice du doute à un homme qu’à une femme. J’ai senti cela tout au long de mon mandat. »

« La misogyne, c’est aussi le silence. Le silence autour de la table lorsque quelqu’un faisait des attaques contre moi, c’était aussi très dur. Il a fallu que l’on forme un bloc de femmes avec les députées pour se donner une certaine force pour répondre à ces attaques contre ma personne et faire avancer les dossiers. »

Le point marquant de sa présidence demeure la proposition de modifier les critères du droit vote pour les élections de l’ACF. « Nous savions qu’il y avait eu des irrégularités lors des élections de 2014. On devait prévenir afin que cela ne se reproduise pas. L’obtention de la résidence permanente pour avoir le droit de vote, c’était la seule façon de faire une vérification précise de l’identité et du lieu de résidence des électeurs. De plus, ça donne le temps aux nouveaux arrivants de connaitre le pays, notre communauté, et de s’engager dans la politique communautaire de manière éclairée. »

Certains l’ont accusé de discrimination raciale et ils ont même perturbé l’assemblée des membres du 24 juin 2017 à Prince Albert.  « Tout le monde avait peur de prendre des coups, des coups dans le cœur, à notre intelligence, à nos valeurs, à notre fransaskoisie. Je me suis sentie bien seule à ce moment-là. Tout le monde avait peur. »

À la vieille de quitter la province pour retrouver les siens à Calgary, Madame Sigur-Cloutier, espère que les femmes continueront à se renforcer entre elles plus particulièrement les femmes nouvellement arrivées au pays. Elle croit aussi qu’il y a des efforts à déployer pour soutenir les aînés de notre communauté. « On ne peut pas se permettre de perdre un seul joueur dans notre communauté. »

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Frédéric Dupré

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 - mercredi 15 mai 2024