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Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Services de mentorats et tutorats

Depuis le début de l’année universitaire, l’Institut français, sous la supervision de Ariadna Sachdeva, Conseillère et coordonnatrice des programmes crédités et des services aux étudiants, a mis en place un programme de mentorat.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26756)/Commentaires ()/
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Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Les écoles fransaskoises connaissent la deuxième plus forte hausse au pays

La tendance nationale des inscriptions dans les écoles francophones est positive. Mais pas dans toutes les provinces, où se profilent d’importants défis pour l’avenir. Le 24e Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) fera le point. 

3 octobre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24051)/Commentaires ()/
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Programmation du Collège Mathieu 2014-15

Programmation du Collège Mathieu 2014-15

L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis Kasongo, s’affirme de plus en plus comme l’un des acteurs majeurs, avec l’Institut français, du dossier du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27179)/Commentaires ()/
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Les choses bougent à l’Institut français

Les choses bougent à l’Institut français

 Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28481)/Commentaires ()/
Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 

2 octobre 2014/Auteur: Marie-Pier Boilard/Nombre de vues (39850)/Commentaires ()/
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne d’aide au financement de projets scolaires par vente d’abonnements au journal l’Eau Vive

2 octobre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26597)/Commentaires ()/
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L’université francophone ontarienne pour 2025?

L’université francophone ontarienne pour 2025?

Gouverne ontarienne, mission canadienne

Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto, promet de franchir une étape clé dans la création d’une université franco-ontarienne. Un projet qui dépasserait les frontières provinciales.

28 septembre 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (23488)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24843)/Commentaires ()/
Balises: Miles Muri
Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

18 septembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26070)/Commentaires ()/
Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Depuis cinq ans, le Conseil des écoles fransaskoises profite du programme national Ordinateurs pour les écoles (OPE). Créé en 1993 par Industrie Canada et les TelecomPioneers, ce programme a permis, à date, de donner plus de 1 100 000 ordinateurs et imprimantes provenant des administrations publiques et du secteur privé. 
18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30048)/Commentaires ()/
Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (29588)/Commentaires ()/

Notre école

Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.

11 septembre 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (28577)/Commentaires ()/
Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29384)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28030)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28449)/Commentaires ()/
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L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

Auteur: Luc Bengono/25 septembre 2014/Catégories: 2014, Politique

On en parlait peu, mais de nombreux Canadiens regardaient du coin de l’œil ce qui se passait en Écosse. Le 18 septembre dernier, le peuple écossais, consulté par référendum, a dit non à l’indépendance et oui au Royaume-Uni.  Quand on dit référendum, le 30 octobre 1995 surgit dans la mémoire collective canadienne et le spectre de l’indépendance du Québec plane. La Presse canadienne du 14 septembre 2014 titrait, dans sa version anglaise : « Les souverainistes Québécois tirent les leçons de l’Écosse ».

Cependant, entre le Québec, le Canada et l’Écosse, il y a l’océan Atlantique et un gouffre historique, géographique et économique qu’il ne faut pas franchir précipitamment. Prudence. Sur le plan historique, au dixième siècle, l’Angleterre a essayé d’assujettir l’Écosse. Au final, après une guerre longue, en 1314, les Écossais ont infligé une défaite cuisante aux Anglais, au cours de la bataille de Bannockburn, au cœur du pays écossais. L’Angleterre fut obligée de reconnaître l’indépendance de l’Écosse.

Néanmoins, au fil du temps, Écossais et Anglais se découvrent et s’apprécient. D’ailleurs, ils parlent la même langue. Ils finissent par s’aimer. Grâce au jeu des mariages entre familles royales, au XVIIe siècle, les royaumes d’Angleterre et d’Écosse se réunissent. En 1603, Jacques VI Stuart d’Écosse devient roi d’Angleterre sous le nom de Jacques 1er. Il existe donc des liens affectifs et historiques étroits entre Anglais et Écossais.

Sur le plan géographique, le territoire écossais, 77 080 km carrés,  représente 30% du Royaume-Uni et sa population, 5 millions d’habitants, constitue 8% de ce petit ensemble qui comprend l’Angleterre, l’Irlande du Nord, le pays de Galles et l’Écosse. Si l’Écosse était devenue indépendante, la géographie du Royaume-Uni aurait considérablement changé.

Cependant, l’enjeu majeur du référendum du 18 septembre était économique. L’Écosse est riche. Depuis les années 1970, des gisements considérables de pétrole ont été découverts dans les eaux écossaises en mer du Nord, soit 60% des réservent européennes en hydrocarbures. Depuis plusieurs années, ce territoire a bénéficié d’investissements massifs dans l’éducation et les nouvelles technologies.

Tout le monde connaît la Silicon Valley aux États-Unis, mais beaucoup ignorent la Silicon Glen, située entre Glasgow et Édimbourg. Plusieurs centaines de compagnies spécialisées dans les hautes technologies se sont installées dans cette niche et elles produisent plus de 70% des périphériques d’ordinateurs vendus en Europe. Par ailleurs, 70% du poisson consommé en Angleterre vient d’Écosse.

La richesse moyenne d’un Écossais est supérieure à celle d’un Anglais, d’un Français, d’un Italien et même d’un Japonais. Édimbourg, la capitale, est la première place financière en Europe pour la gestion des fonds de pension. Si le « oui » l’avait emporté le 18 septembre, l’Écosse aurait pu devenir en quelques années le 10e pays le plus riche au monde. Alors pourquoi les Écossais ont-ils dit non à l’indépendance?

Un écrivain Écossais célèbre, Walter Scott, disait que « les Écossais sont patriotes de cœur, mais unionistes de raison ». Du coup, de nombreux observateurs pensent que les Écossais ont fait le choix de la raison. Pas si sûr... Si l’Écosse est un pays riche, l’essentiel de sa richesse vient des échanges commerciaux avec le Royaume-Uni, près de 100 milliards de dollars, suivi de loin par l’Union européenne. Or, c’est un secret de polichinelle que le Royaume-Uni aurait fait payer cher aux Écossais leur divorce. Avant le vote, la reine Elizabeth a appelé les Écossais à réfléchir attentivement à leur avenir... À titre d’exemple, les indépendantistes souhaitaient conserver la livre sterling, la puissante monnaie anglaise. Ils avaient déjà essuyé le refus catégorique de Londres.

De même, l’Union européenne voit d’un mauvais œil ces micro-États qui aspirent à leur indépendance sur le continent. Les partisans du « oui » en Écosse avaient exprimé leur intention de rester dans l’Union européenne. Là aussi, des voix avaient averti qu’en cas de victoire du « oui », les Écossais devraient reprendre à zéro le long et fastidieux processus d’adhésion à l’Union.

Une Écosse indépendante aurait pu être riche, mais le chemin pour y arriver aurait été long et semé de sérieuses embûches. Il y avait de quoi avoir peur. Tant mieux. Un autre écrivain, français celui-là, François Mauriac, disait que « la peur est le commencement de la sagesse 

 

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Luc Bengono

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 - samedi 21 septembre 2024