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Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Pour la première fois, une équipe francophone  a atteint la finale du championnat provincial de basketball HOOPLA en catégorie 2A. 

1 avril 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (34985)/Commentaires ()/

Situation inquiétante au Conseil scolaire fransaskois

Lettre signée par 5 parents et envoyée aux élus du Conseil scolaire fransaskois le 18 mars 2015

Nous voulons aujourd’hui attirer votre attention sur 3 éléments qui nous préoccupent. Premièrement à la veille d'une succession, à la tête du Conseil des écoles (CÉF), nous (parents et sympathisants) souhaiterions attirer votre attention sur une des requêtes qui avait été formulée par un regroupement de parents; laquelle requête  avait été accompagnée d'une pétition à l'appuie, soient 35 signatures. En guise de rappel, ces derniers réclamaient du sang neuf à la tête du CÉF : 

31 mars 2015/Auteur: Jean-Marie Allard (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (22312)/Commentaires ()/
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Le Grand  Quiz, un jack pot pour la communauté ?

Le Grand Quiz, un jack pot pour la communauté ?

Réflexion d'un lectrice sur la formule du Grand Quiz qui a remplacé la Grande dictée.

26 mars 2015/Auteur: Céline Magnon (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (29349)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz
Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF

Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF

En marge de son congrès annuel, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) a honoré diverses personnes lors de son banquet.

21 mars 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (44466)/Commentaires ()/
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La finale du Grand Quiz 2015: un succès!

La finale du Grand Quiz 2015: un succès!

C'est dans la chaleureuse ambiance d'une fin de semaine ensoleillée, le samedi 14 mars dernier, que le Collège Mathieu, en partenariat avec Radio-Canada Saskatchewan, a fêté les Rendez-vous de la Francophonie d'une façon innovatrice. 

18 mars 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (30528)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz

La petite histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan

L’histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan ne date pas d’hier. Déjà en 1918, le Collège Mathieu de Gravelbourg offrait un programme d’études classiques.

17 mars 2015/Auteur: Michèle Fortin(EV)/Nombre de vues (28448)/Commentaires ()/
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La Cité universitaire francophone et le postsecondaire fransaskois

Un peu tôt pour sabrer le champagne

Même si l’ACF se montre très enthousiaste, il faudra attendre un peu pour sabrer le champagne dans le dossier de la Cité universitaire francophone.

17 mars 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26817)/Commentaires ()/

Les Amis de l’Institut français se prononcent: l’ACF mise sur des acquis fragiles

Les Amis de l’Institut français expriment leur profonde déception et désaccord avec la façon dont l’Université de Regina s’est acquittée de ses responsabilités à l’endroit de l’éducation universitaire de langue française. 

17 mars 2015/Auteur: Michel Dubé (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (26285)/Commentaires ()/
Balises: CUF
Un atelier d'Edith Jolicoeur: brancher la fransaskoisie

Un atelier d'Edith Jolicoeur: brancher la fransaskoisie

Facebook, Instagram, LinkedIn, Pinterest; il existe tellement de plateformes qu’il est parfois difficile de suivre le rythme. 

11 mars 2015/Auteur: Maggy Bougie (EV)/Nombre de vues (34631)/Commentaires ()/
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 Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Un projet novateur à Debden et Prince Albert

PRINCE ALBERT - La commission scolaire Saskatchewan Rivers Public School Division, située à Prince Albert, accueille un tout premier projet GénieArts sur son territoire. Les écoles Vickers Public School et Debden School sont les hôtes de cette initiative rassembleuse.

11 mars 2015/Auteur: René Beauparlant (EV)/Nombre de vues (32900)/Commentaires ()/
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Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Les parents et leurs enfants du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) La Passerelle de Saskatoon se sont réunis le vendredi 6 mars dernier afin de participer à un atelier sur l’éveil à la lecture chez les jeunes enfants. Le lendemain une formation était offerte aux intervenants en petite enfance.

11 mars 2015/Auteur: Danielle Raymond (EV)/Nombre de vues (26825)/Commentaires ()/
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Une étape importante pour le postsecondaire francophone en Saskatchewan

SASKATOON - C’est surtout le dossier du postsecondaire qui a retenu l’attention de l’Assemblée des députés communautaires (ADC) de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) lors de sa rencontre à Saskatoon les 6, 7 et 8 mars 2015.

10 mars 2015/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30011)/Commentaires ()/
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5 mars 2015/Auteur: Frédéric Dupré (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (26309)/Commentaires ()/
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Visite au Carrefour Horizons

Visite au Carrefour Horizons

Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de l’Université de Regina sont venus faire la tournée des organismes fransaskois, logés au Carrefour Horizons de Regina

5 mars 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (27422)/Commentaires ()/
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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

5 mars 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (34832)/Commentaires ()/
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Première1920212224262728Dernière

Résot'âges: L’isolement du confinement n’est pas une fatalité

Auteur: Sébastien Durand- Initiative de journalisme local – APF – Ouest/4 avril 2020/Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, Société, Santé, Vitalité 55+ SK

Pour briser l’isolement, la consultante Francine Proulx-Kenzle a proposé, le 2 avril, une conférence en ligne dans le cadre de l’initiative Résot’âges. Pari réussi avec 35 personnes connectées pour écouter les conseils de cette formatrice en santé mentale. Pour madame Kenzle, passer du déni à l’acceptation de ce nouveau mode de vie demande une bonne dose de compassion, de moment présent et de résilience.

À une époque où il est plus que jamais question de télétravail ou de télé-enseignement, l’outil technologique est devenu un support presque incontournable pour rompre la solitude et maintenir une vie sociale.

Projet mené par la Cité universitaire francophone de Regina en collaboration avec la Fédération des aînés fransaskois (FAF), Résot’âges a pour but de nouer des liens intergénérationnels sur des sujets variés. La discussion a eu lieu via la plateforme Zoom, attirant un auditoire issu de plusieurs provinces au pays.

Native du Québec, Francine Proulx-Kenzle a grandi en Saskatchewan et travaille à la Cité universitaire francophone où ses travaux l’ont conduite à s’intéresser au mieux-être des organismes, entreprises, communautés et individus. Le télétravail faisant déjà partie de son quotidien avant la pandémie, il était naturel pour elle de partager son expérience et ses astuces pour gérer ce « deuil collectif dû à la perte de notre vie normale », selon ses propres termes.

Un deuil collectif

Reprenant le modèle de Kübler-Ross, la formatrice décline le deuil vécu par la société en cinq étapes : déni, colère, marchandage, dépression et acceptation. Elle illustre la phase de déni par cette façon de penser : « Cette pandémie, c’est pas si grave, ça va durer une semaine […] et après, tout sera de retour à la normale. »

Le déni laisse ensuite place à la colère. Toutes les générations peuvent être concernées, les jeunes seront frustrés de ne pas voir leurs amis tandis que les parents devront faire face à la perte d’un emploi et les aînés rejetteront les nouvelles contraintes de distanciation.

Le marchandage, c’est accepter de céder à la contrainte dans l’espoir d’un aménagement de peine en retour. Francine Proulx-Kenzle illustre son propos ainsi : « Si je travaille de la maison pendant deux semaines et que je reste en isolement, tout va se remettre en place. »

Augmentation du stress, impact sur la santé mentale… Et c’est la dépression qui guette. Par exemple, un employé pourra finir par s’épuiser et baisser les bras s’il sent que ses efforts ne sont pas reconnus à leur juste valeur, à cause de la distance.

Si le processus n’est pas nécessairement linéaire, l’acceptation reste cependant l’objectif ultime dans la mesure où l’individu se sera adapté à son nouvel environnement et y puisera même les ressources pour aller de l’avant.

Changer, c’est accepter

« L’acceptation émerge en étirant sa zone de tolérance au changement. » C’est ainsi que la formatrice résume sa méthodologie pour accepter. Il faut s’ouvrir à de nouvelles façons de faire les choses et cela passe par un aménagement de son quotidien.

En prenant le cas du télétravail, on prendra soin de désigner un espace de travail à la maison qui soit différent des espaces de vie, pour bien séparer vies personnelle et professionnelle. Il peut être judicieux aussi de se définir une nouvelle routine.

Plusieurs participants y sont allés de leurs propres conseils. Soraya Ellert recommande par exemple de « se garder occupé continuellement avec différentes choses ». Paul Demers, quant à lui, s’est fait un horaire et « commence le matin par du yoga et de la méditation ».

En outre, il a été recommandé de faire preuve de flexibilité et d’empathie envers soi et les autres. De belles initiatives communautaires ont vu le jour, comme à Ponteix où les aînés utilisent des cartons de couleur à leur fenêtre pour indiquer comment ils se sentent.

Même dans les familles on assiste à un resserrement des liens. C’est le cas pour Patricia Choppinet où petits-enfants et grands-parents profitent du confinement pour « raconter [leurs] histoires et les enregistrer ou les écrire ».

Gérer son stress

Compassion, moment présent et résilience seraient les trois ingrédients pour réduire son stress et son isolement selon la consultante. La compassion, c’est « prendre soin de soi, avant de prendre soin des autres ». Compassion et bienveillance prennent un sens tout particulier dans la situation actuelle.

Éric Lefol, directeur général de la Fédération des aînés fransaskois, avouera avec beaucoup d’enthousiasme qu’il « aime bien la société telle qu’elle est en ce moment, où les gens sont très respectueux les uns des autres ».

Francine Proulx-Kenzle cite aussi le philosophe Viktor Frankl : « Entre le stimulus et la réponse, il y a un espace. Dans cet espace se trouve notre pouvoir de choisir notre réponse, et dans notre réponse se trouvent notre croissance et notre liberté. » Vivre le moment présent c’est prendre une grande inspiration, méditer et contrôler ses émotions afin de faire les meilleurs choix.

Enfin, la résilience consiste à passer à travers les épreuves. La conférencière parlera même de faculté à « transformer la douleur de l’isolement et du stress en quelque chose qui nous fait grandir en tant qu’individu et communauté ». La communauté francophone s’organise pour surmonter cette nouvelle épreuve que constitue la COVID-19.

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Sébastien Durand

Sébastien Durand- Initiative de journalisme local – APF – Ouest

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