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AGA 2024 de la CPF
Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Des élèves produisent une œuvre artistique à partir d’un enjeu social

« Nous espérons que ce projet permettra aux élèves d’imaginer un monde meilleur et de créer un impact dans la province où ils désirent vivre. » -- le comité Treaty4Project

16 juillet 2015/Auteur: Leia Laing et Naomi Fortier-Fréçon (EV)/Nombre de vues (49046)/Commentaires ()/
Progression de l’immersion française malgré les obstacles

Progression de l’immersion française malgré les obstacles

« L’immersion francophone est l’une des expériences éducatives les mieux réussies de l’histoire du Canada ». - Graham Fraser, commissaire aux langues officielles

En cinq ans, la médiane des inscrits à l’école d’immersion dans les provinces est passée de 8,4 à 9,9 %. Malgré la résistance des divisions scolaires et le manque de places disponibles.

15 juillet 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32689)/Commentaires ()/
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L’École canadienne-française honore ses finissants

L’École canadienne-française honore ses finissants

Remise des diplômes 2015

SASKATOON - Le samedi 27 juin c’était la cérémonie de remise des diplômes pour l’année 2014-2015 aux 22 finissants et finissantes de l’École canadienne-française (ECF) du Pavillon Gustave Dubois.

9 juillet 2015/Auteur: Martin Kakra-Kouame (EV)/Nombre de vues (42053)/Commentaires ()/
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Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Notre futur proche et notre futur lointain

La petite école Père Mercure, aux arômes d'esprit de famille et de partage, Josh l’a arpentée, fréquentée pendant treize années, de la pré-maternelle à la douzième.

9 juillet 2015/Auteur: Céline Grenier (EV)/Nombre de vues (38205)/Commentaires ()/
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Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le plaisir et le dépassement de soi

REGINA - Le 24 juin dernier avait lieu le Grand Cabaret de l'école Monseigneur de Laval pavillon élémentaire. C'est plus de 80 élèves, sept enseignants et les artistes de Cirque Nova Circus qui se sont investis dans la 3e édition de ce projet ArtsSmart financé par le Saskatchewan Arts Board.

3 juillet 2015/Auteur: Vanessa Fortin (EV)/Nombre de vues (31713)/Commentaires ()/
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Cercle université-communauté: réflexion autour de la petite enfance fransaskoise

Le 17 juin 2015 se tenait à l’Université de Regina, en collaboration avec l’Association des parents fransaskois, le Cercle université-communauté sur le développement des services fransaskois à la petite enfance.

26 juin 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (23413)/Commentaires ()/
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André Denis est réélu à la présidence du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a réélu par acclamation André Denis à la présidence du CSF et Denis Marchildon à la Vice-présidence, dans le cadre de la séance d’organisation du 24 juin 2015.

 

25 juin 2015/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31626)/Commentaires ()/
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L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

Suivant la récente décision de la Cour suprême du Canada sur l’école franco-yukonaise, le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique a suspendu l’admission de non ayants droit. Craint-on un effet domino ?

18 juin 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31294)/Commentaires ()/
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Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Une activité intégrante organisée par l’AJF

SASKATOON - Un choc des titans a eu lieu au Pavillon Gustave Dubois le mardi 9 juin : un match de basket-ball opposant les élèves actuels et les anciens élèves de l’École canadienne-française (ÉCF). 

18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (34257)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

“Je n‘ai pas de contrôle sur les affaires politiques, alors concentrons-nous sur ce qui est important pour vos enfants!” - Miles Muri

NORTH BATTLEFORD - Miles Muri a accepté de relever le défi d’assurer la direction de deux petites écoles du nord de la province, distantes d’une centaine de kilomètres : l’école Père Mercure de North Battleford et l’école Sans frontière de Lloydminster. 
18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (25877)/Commentaires ()/
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De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans

TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser. 

16 juin 2015/Auteur: La Presse canadienne/Nombre de vues (19122)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Le blogue chanté du Dr Horrible

Le blogue chanté du Dr Horrible

Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois

SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire c’est aussi le temps de présenter une nouvelle pièce de théâtre : ils ont ainsi interprété Le blogue chanté du Docteur Horrible les 2 et 3 juin derniers.

11 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (31004)/Commentaires ()/
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Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Le jeune Fransaskois Alexis Warren a remporté le prix Provinces de l'Ouest et Territoires, dans la catégorie classe francophone, lors de la grande finale internationale de la Dictée P.G.L.
28 mai 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (27601)/Commentaires ()/
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Fête des finissants à l'école Valois

Fête des finissants à l'école Valois

Une soirée placée sous le signe de l'émotion

PRINCE ALBERT - Le 22 mai dernier, l’École Valois s’est parée de ses plus belles couleurs pour la fameuse fête des finissants.
28 mai 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (29887)/Commentaires ()/
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Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Le Collège Mathieu est heureux d’avoir tenu la collation des grades pour souligner les accomplissements et l’engagement réalisés par les finissantes de la cohorte 2015.

28 mai 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (34122)/Commentaires ()/
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Réseau Santé : Frédérique Baudemont quitte la barre

Réseau Santé : Frédérique Baudemont quitte la barre

Auteur: Lucas Pilleri/19 mars 2023/Catégories: Organisme, RSFS - Réseau santé en français en Saskatchewan

Directrice générale du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) depuis septembre 2017, Frédérique Baudemont quittera ses fonctions le 31 août. Impliquée dans la communauté fransaskoise depuis plus de trente ans, la femme dévouée à l’avancement du fait français compte désormais mettre son expérience à profit d’une autre manière.

Pourquoi quittez-vous le RSFS ?

Ce n’est pas une décision soudaine, j’y pense depuis un an ou deux. J’ai passé la soixantaine et j’ai envie de ralentir un peu le rythme. À un poste de direction générale, on travaille sur tous les dossiers, on est impliqué partout et à un moment donné on n’a plus nécessairement la même énergie.

Que ferez-vous après votre départ ?

J’ai l’intention de continuer mes activités à travers une petite entreprise de consultation. C’est comme ça que je vois les prochaines années. Avec l’intention de ne pas travailler douze mois par année ! Mon but est de travailler à un rythme que je choisis.

Vous continuerez donc de mettre à profit votre expérience ?

J’ai plus de 30 ans d’expérience dans la communauté francophone, j’ai travaillé dans différents secteurs, beaucoup comme coordonnatrice d’activités, j’ai un champ de compétences acquises au cours des années que je peux partager autrement.

Votre départ est-il un coup dur pour le RSFS ?

C’est toujours le défi dans la communauté : les gens ne sont pas toujours faciles à remplacer. Et ça prend quelques mois pour s’approprier les dossiers. J’aiderai au maximum à ce niveau-là. Je ne veux pas partir du jour au lendemain et dire que c’est fini. Appuyer le Réseau pendant la transition avec la nouvelle direction, ça va être ma priorité numéro un.

Resterez-vous impliquée au niveau de la communauté ?

J’ai toujours eu des activités bénévoles en même temps qu’être employée du milieu communautaire. Je n’ai pas l’intention d’arrêter. La communauté fransaskoise, c’est une deuxième famille. Je ne décrocherai pas !

Que retenez-vous de ces cinq années passées à la tête du RSFS ?

Une des choses que j’ai particulièrement aimées, c’est l’approche collaborative. Le Réseau n’est pas un fournisseur de services de santé, mais on travaille avec tous les partenaires pour avoir davantage de services en français : le système de santé majoritaire, les gouvernements, les universités qui forment des futurs professionnels de la santé, les professionnels de la santé et la communauté. J’aime ça ! J’aime l’approche du travail en synergie.

Quelle collaboration existe-t-il entre le RSFS et les autres organismes fransaskois ?

On s’est rapprochés de plusieurs organismes pour offrir des ressources dans certains domaines. Par exemple, pour tout ce qui touche à la petite enfance, on travaille de plus près avec l’APF [Association des parents fransaskois] et le SAIF-SK [Service d’accueil et d’inclusion francophone].

On a signé à l’automne une entente pour former leurs employés à devenir accompagnateurs de santé. L’idée est d’accompagner les patients pour contourner la barrière de la langue : assurer la traduction dans les cabinets et accompagner les patients avant et après les rendez-vous.

Au niveau du dossier de l’immigration, on a créé le Comité santé-immigration l’année dernière, composé des organismes qui interviennent à des niveaux différents de l’immigration, comme la CAFS [Communauté des Africains francophones], le SAIF et le CÉCS [Conseil économique et coopératif]. Ça nous a permis d’identifier des formations qui seraient utiles aux intervenants pour les nouveaux arrivants qui ont des préoccupations au niveau de la santé.

Êtes-vous confiante pour l’avenir des services de santé en français dans la province ?

Ces dernières années, le Réseau travaille de beaucoup plus près avec l’Autorité de santé provinciale et le ministère de la Santé.

On a rencontré très récemment le nouveau PDG de l’Autorité de santé et on a senti qu’il y avait une volonté de continuer de travailler avec nous pour sensibiliser le système de santé à l’offre active de services de santé en français.

En ce moment, l’Autorité de santé travaille à identifier la capacité bilingue de ses employés pour voir où on pourrait offrir des services en français. C’est un beau progrès. Malheureusement, la COVID a ralenti les choses, mais on sent qu’il y a une volonté de travailler dans cette direction. Je suis optimiste pour l’avenir.

Selon vous, quel sera le principal défi à relever pour l’avenir des services de santé en français ?

Le défi principal, c’est qu’on n’a pas de loi sur les langues officielles, donc pas d’obligation en santé. Ça reste un mandat provincial, donc on avance à petits pas. C’est difficile d’avoir une approche globale sur le dossier de la santé sans loi. Et on n’est pas près d’en avoir une !

On espère toujours un changement à la Loi sur les langues officielles : on voudrait qu’il y ait des clauses linguistiques dans les ententes fédéral-provincial au niveau des transferts de fonds, mais je ne pense pas qu’on y arrive.

En quoi le manque de services de santé en français est-il dommageable d’après vous ?

Ce n’est pas évident à vivre. Je pense par exemple à la clientèle des aînés, car on a une population vieillissante, et on se rend compte que pour les gens qui ont vécu en anglais pendant bien des années c’est la langue maternelle qui revient quand ils vieillissent et ont des problèmes de démence.

Je pense aussi à la clientèle des nouveaux arrivants. Les gens arrivent parfois avec des traumatismes pas évidents et en plus le système de santé est complètement différent. Même si on parle anglais, on ne peut pas toujours expliquer de la même façon son problème qu’en français.

Un dernier mot ?

Travailler au Réseau a été une belle expérience. Je suis assez contente de finir ma carrière de salariée avec le Réseau. C’est vraiment un organisme reconnu pour son professionnalisme et son approche collaborative. Et on a une belle équipe.

 

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Lucas Pilleri

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 - samedi 28 septembre 2024