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Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois

Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois

PRINCE ALBERT - Comme toutes les écoles de Prince Albert, la cloche de l’école Valois a retenti pour la première fois depuis 2 mois.

3 septembre 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (33045)/Commentaires ()/
La Cité universitaire francophone officiellement lancée

La Cité universitaire francophone officiellement lancée

REGINA - La Cité universitaire francophone (CUF) a été inaugurée le 1er septembre 2015 devant un parterre de personnalités issues de la communauté, du monde académique et politique. La nouvelle entité a pour mission de promouvoir l’enseignement en français.


2 septembre 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette (EV)/Nombre de vues (30189)/Commentaires ()/
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La cloche va sonner

La cloche va sonner

C’est l’heure du retour en classe pour des centaines de jeunes Fransaskois. Et cette nouvelle rentrée scolaire apporte encore une fois son lot de débats sur l’éducation francophone dans la province.

27 août 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (23629)/Commentaires ()/
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La rentrée au CÉF: « Malgré les défis, nos services se bonifient »

La rentrée au CÉF: « Malgré les défis, nos services se bonifient »

Rencontre avec Donald Michaud, directeur de l'éducation par intérim

REGINA - Ce 1er septembre, c’est jour de rentrée scolaire pour des centaines de jeunes Fransaskois. Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) va gérer 14 établissements à travers la province. Comme chaque année, les défis sont nombreux. A l’orée de cette journée cruciale, entretien avec Donald Michaud, directeur de l’éducation du CEF.
27 août 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (23722)/Commentaires ()/
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Transport scolaire : l’inquiétude des parents

Transport scolaire : l’inquiétude des parents

REGINA - Depuis le 17 août, le Conseil des écoles fransaskoises a commencé la diffusion d’un communiqué  annonçant des réductions du transport des élèves de Regina et Saskatoon inscrits dans ses écoles. Une mesure qui inquiète certaines familles.

27 août 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette et Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (23826)/Commentaires ()/
Des parents provoquent une Assemblée générale extraordinaire

Des parents provoquent une Assemblée générale extraordinaire

Le Conseil scolaire fransaskois doit convoquer ce mercredi 26 août, une Assemblée générale exceptionnelle (AGE), au Pavillon secondaire des Quatre vents, à Régina.

24 août 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (23475)/Commentaires ()/
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Frédérique Baudemont à la tête de l'Association des parents fransaskois

Frédérique Baudemont à la tête de l'Association des parents fransaskois

Arrivant de Patrimoine Canadien, Frédérique Baudemont remplacera Danielle Raymond à la direction de l’Association des parents fransaskois (APF), à partir du 1er septembre.

20 août 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (30201)/Commentaires ()/
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Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Des élèves produisent une œuvre artistique à partir d’un enjeu social

« Nous espérons que ce projet permettra aux élèves d’imaginer un monde meilleur et de créer un impact dans la province où ils désirent vivre. » -- le comité Treaty4Project

16 juillet 2015/Auteur: Leia Laing et Naomi Fortier-Fréçon (EV)/Nombre de vues (53197)/Commentaires ()/
Progression de l’immersion française malgré les obstacles

Progression de l’immersion française malgré les obstacles

« L’immersion francophone est l’une des expériences éducatives les mieux réussies de l’histoire du Canada ». - Graham Fraser, commissaire aux langues officielles

En cinq ans, la médiane des inscrits à l’école d’immersion dans les provinces est passée de 8,4 à 9,9 %. Malgré la résistance des divisions scolaires et le manque de places disponibles.

15 juillet 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34286)/Commentaires ()/
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L’École canadienne-française honore ses finissants

L’École canadienne-française honore ses finissants

Remise des diplômes 2015

SASKATOON - Le samedi 27 juin c’était la cérémonie de remise des diplômes pour l’année 2014-2015 aux 22 finissants et finissantes de l’École canadienne-française (ECF) du Pavillon Gustave Dubois.

9 juillet 2015/Auteur: Martin Kakra-Kouame (EV)/Nombre de vues (42913)/Commentaires ()/
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Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Notre futur proche et notre futur lointain

La petite école Père Mercure, aux arômes d'esprit de famille et de partage, Josh l’a arpentée, fréquentée pendant treize années, de la pré-maternelle à la douzième.

9 juillet 2015/Auteur: Céline Grenier (EV)/Nombre de vues (41592)/Commentaires ()/
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Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le plaisir et le dépassement de soi

REGINA - Le 24 juin dernier avait lieu le Grand Cabaret de l'école Monseigneur de Laval pavillon élémentaire. C'est plus de 80 élèves, sept enseignants et les artistes de Cirque Nova Circus qui se sont investis dans la 3e édition de ce projet ArtsSmart financé par le Saskatchewan Arts Board.

3 juillet 2015/Auteur: Vanessa Fortin (EV)/Nombre de vues (32978)/Commentaires ()/
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Cercle université-communauté: réflexion autour de la petite enfance fransaskoise

Le 17 juin 2015 se tenait à l’Université de Regina, en collaboration avec l’Association des parents fransaskois, le Cercle université-communauté sur le développement des services fransaskois à la petite enfance.

26 juin 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (24242)/Commentaires ()/
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André Denis est réélu à la présidence du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a réélu par acclamation André Denis à la présidence du CSF et Denis Marchildon à la Vice-présidence, dans le cadre de la séance d’organisation du 24 juin 2015.

 

25 juin 2015/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (32866)/Commentaires ()/
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L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

Suivant la récente décision de la Cour suprême du Canada sur l’école franco-yukonaise, le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique a suspendu l’admission de non ayants droit. Craint-on un effet domino ?

18 juin 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32302)/Commentaires ()/
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Roger Lepage, un champion du don

Roger Lepage, un champion du don

Auteur: Mychèle Fortin/15 décembre 2022/Catégories: Fondation fransaskoise, Société, Portraits et entretiens

Lors de l’assemblée générale annuelle de la Fondation fransaskoise tenue le 9 novembre, Roger Lepage a annoncé son départ de la présidence. Si la nouvelle en a surpris certains, il faut savoir qu’en vertu des statuts et règlements de l’organisme, les membres du conseil d’administration sont obligés de prendre une pause d’un an après deux mandats de trois ans. Entretien avec le chef de file fransaskois qui revient sur son long engagement et l’avenir de la communauté. 

L'Eau vive : Lors de l’annonce de votre départ, vous avez lancé un au revoir. Vous retrouvera-t-on au CA de la Fondation fransaskoise l'an prochain ? 
Roger Lepage : L'année prochaine, je ne sais pas. Mais si la communauté pense que j'ai encore des choses à offrir, je le considérerai sérieusement.

Comment avez-vous démarré votre implication au sein de la Fondation fransaskoise ?
La Fondation m’a approché en 2008. C’était la tombée des marchés financiers et la Fondation avait perdu les trois quarts de ses actifs. Il fallait faire un virage important. On m’a demandé si je voulais siéger au CA et, éventuellement, prendre la présidence. J’ai pensé que j’avais quelque chose à contribuer, et j’ai accepté.

Que représente la Fondation à vos yeux ?
Pour moi, c’est un outil de développement communautaire important. Les bourses d'études secondaires et postsecondaires pour encourager le développement de leaders francophones pour le futur, des subventions à des groupes communautaires pour faire la promotion de la langue et de la culture, ça m’interpelle. 

Je pense qu’une communauté minoritaire ne peut pas vivre seulement de subventions d’un gouvernement fédéral. Il faut mobiliser la communauté, qu’on creuse dans nos poches pour nous aider, nous.

Vous avez fait deux fois deux mandats de trois ans, entrecoupés d’une pause d’un an, et vous êtes devenu président pour la première fois en 2009. Quels étaient les plus grands défis à votre arrivée ? 
Le plus grand défi a été de professionnaliser la Fondation tout en demeurant un organisme géré strictement par des bénévoles. On a donc signé un contrat avec une institution financière pour avoir un professionnel qui gère le dossier de l'argent. 

On voulait s'assurer d’avoir un portfolio très diversifié. Ça rapportait bien, mais on a voulu faire preuve d’une certaine prudence pour être en mesure de donner des bourses à long terme. Nous, comme bénévoles, on serait là pour faire des activités de levée de fonds et avoir des comités pour accorder les bourses et les subventions.  

Deuxièmement, on a trouvé un cabinet comptable qui connaît bien les fondations pour nous faire des suggestions, nous encadrer pour bien faire. Ça a bien marché. 

Dans un troisième temps, on a refait nos statuts et règlements et on a développé plusieurs politiques qui établissent une vision à long terme et qui encadrent les prises de décision. Ça, c’était important.

Avec le recul, de quoi êtes-vous le plus fier ?  
De la confiance que les Fransaskois et les Fransaskoises ont vis-à-vis de la Fondation fransaskoise. On voit qu’elle a réussi à augmenter le capital chaque année, tout en continuant d’accorder des bourses et des subventions.

Comment le capital de la Fondation s’est-il formé au fil des ans ?
Si on récolte 120 000 dollars par an, on essaie d’en donner 60 000 et on ajoute l’autre 60 000 au capital. Cette méthode a porté ses fruits : on est partis de 400 000 dollars en 2008 et, aujourd’hui, on est rendus à 2,5 millions. On aimerait arriver éventuellement à 5 millions. 

C’est le signe que la générosité des Fransaskois est toujours au rendez-vous ?
Ce qui me touche, c’est la patience de la communauté. Elle est prête à nous donner 120 000 dollars en sachant qu’on ne va en distribuer que la moitié. Ça dénote une très grande confiance, c’est ça qui est le plus satisfaisant pour moi. 

De quelle manière cet argent est-il utilisé ?
Nous avons établi une politique de priorités pour l’octroi des subventions communautaires. On priorise les institutions et les projets qui vont avoir un impact à long terme dans la communauté. Par exemple, les garderies francophones qui favorisent non seulement la francisation, mais aussi l’introduction de jeunes parents dans une institution francophone, ce qui les amène à une réflexion sur la prochaine étape : l’école.  

On priorise également des projets complémentaires aux écoles, comme la réfection ou la création d’un terrain de jeux. On encourage aussi les associations à développer leur propre fonds auxiliaire pour faire avancer des projets qui leur tiennent à cœur. 

Et puis, il y a les organismes communautaires. Par exemple, si un centre communautaire doit refaire son toit et n’en a pas les moyens, on peut leur donner, disons 5 000 dollars, ce qui permet à la communauté de s’adresser ensuite au gouvernement fédéral ou provincial en montrant qu’elle a déjà ramassé de l’argent. Beaucoup de partenariats se sont développés comme ça.

Selon vous, à quels défis la communauté fransaskoise et la Fondation seront-elles confrontées à l’avenir ?  
Le plus grand défi est d'avoir des institutions clés pour assurer la relève, en commençant par les écoles. On a la gestion scolaire depuis 1995 et, aujourd’hui, quelque 2 500 élèves fréquentent nos écoles. Mais dans des villes comme Swift Current ou Estevan, on n’en a pas. Notre défi serait de mettre en place des petits programmes de français langue première, et en fin de compte de créer des écoles. 

Pour la Fondation, il faut continuer à communiquer régulièrement avec les individus et les groupes pour qu’ils sentent que la Fondation leur appartient, et qu’ils comprennent qu’ils doivent continuer à recueillir des fonds deux fois par an pour assurer la pérennité de leur groupe, de leur communauté.

Sur le site web de la fondation, on trouve beaucoup d’informations. On voulait une transparence avec la communauté, qu’elle puisse aller voir tous les fonds, les rapports financiers, voir qui a reçu des bourses, des subventions, etc.  

Étant donné que la population fransaskoise est vieillissante, l’immigration africaine francophone contribuera-t-elle à assurer la relève d’après vous ?  
Oui, c’est une relève importante qu’on retrouve dans nos écoles, associations et conseils d’administration. Les bourses d’études postsecondaires aident ces nouveaux arrivants à devenir des leaders francophones. Il faut dire aussi qu’ils sont très généreux, ils donnent selon leurs moyens et c’est ce qui est important.

Un dernier mot ?
Je tiens à dire que la Fondation est très reconnaissante envers ses nombreux bénévoles, à commencer par Sylvie Bergeron, pour leur dévouement et leur travail. J’en suis très fier.


Pour en savoir davantage sur la Fondation fransaskoise, rendez-vous sur le site web fondationfransaskoise.ca.

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Mychèle Fortin

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