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Festival fransaskois 2024
La cloche va sonner

La cloche va sonner

C’est l’heure du retour en classe pour des centaines de jeunes Fransaskois. Et cette nouvelle rentrée scolaire apporte encore une fois son lot de débats sur l’éducation francophone dans la province.

27 août 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (22051)/Commentaires ()/
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La rentrée au CÉF: « Malgré les défis, nos services se bonifient »

La rentrée au CÉF: « Malgré les défis, nos services se bonifient »

Rencontre avec Donald Michaud, directeur de l'éducation par intérim

REGINA - Ce 1er septembre, c’est jour de rentrée scolaire pour des centaines de jeunes Fransaskois. Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) va gérer 14 établissements à travers la province. Comme chaque année, les défis sont nombreux. A l’orée de cette journée cruciale, entretien avec Donald Michaud, directeur de l’éducation du CEF.
27 août 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (22657)/Commentaires ()/
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Transport scolaire : l’inquiétude des parents

Transport scolaire : l’inquiétude des parents

REGINA - Depuis le 17 août, le Conseil des écoles fransaskoises a commencé la diffusion d’un communiqué  annonçant des réductions du transport des élèves de Regina et Saskatoon inscrits dans ses écoles. Une mesure qui inquiète certaines familles.

27 août 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette et Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (22301)/Commentaires ()/
Des parents provoquent une Assemblée générale extraordinaire

Des parents provoquent une Assemblée générale extraordinaire

Le Conseil scolaire fransaskois doit convoquer ce mercredi 26 août, une Assemblée générale exceptionnelle (AGE), au Pavillon secondaire des Quatre vents, à Régina.

24 août 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22247)/Commentaires ()/
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Frédérique Baudemont à la tête de l'Association des parents fransaskois

Frédérique Baudemont à la tête de l'Association des parents fransaskois

Arrivant de Patrimoine Canadien, Frédérique Baudemont remplacera Danielle Raymond à la direction de l’Association des parents fransaskois (APF), à partir du 1er septembre.

20 août 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (28762)/Commentaires ()/
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Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Treaty4Project : The Next Generation Project / La prochaine génération

Des élèves produisent une œuvre artistique à partir d’un enjeu social

« Nous espérons que ce projet permettra aux élèves d’imaginer un monde meilleur et de créer un impact dans la province où ils désirent vivre. » -- le comité Treaty4Project

16 juillet 2015/Auteur: Leia Laing et Naomi Fortier-Fréçon (EV)/Nombre de vues (47384)/Commentaires ()/
Progression de l’immersion française malgré les obstacles

Progression de l’immersion française malgré les obstacles

« L’immersion francophone est l’une des expériences éducatives les mieux réussies de l’histoire du Canada ». - Graham Fraser, commissaire aux langues officielles

En cinq ans, la médiane des inscrits à l’école d’immersion dans les provinces est passée de 8,4 à 9,9 %. Malgré la résistance des divisions scolaires et le manque de places disponibles.

15 juillet 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31895)/Commentaires ()/
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L’École canadienne-française honore ses finissants

L’École canadienne-française honore ses finissants

Remise des diplômes 2015

SASKATOON - Le samedi 27 juin c’était la cérémonie de remise des diplômes pour l’année 2014-2015 aux 22 finissants et finissantes de l’École canadienne-française (ECF) du Pavillon Gustave Dubois.

9 juillet 2015/Auteur: Martin Kakra-Kouame (EV)/Nombre de vues (41405)/Commentaires ()/
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Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure

Notre futur proche et notre futur lointain

La petite école Père Mercure, aux arômes d'esprit de famille et de partage, Josh l’a arpentée, fréquentée pendant treize années, de la pré-maternelle à la douzième.

9 juillet 2015/Auteur: Céline Grenier (EV)/Nombre de vues (37112)/Commentaires ()/
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Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le Grand cabaret à Mgr de Laval

Le plaisir et le dépassement de soi

REGINA - Le 24 juin dernier avait lieu le Grand Cabaret de l'école Monseigneur de Laval pavillon élémentaire. C'est plus de 80 élèves, sept enseignants et les artistes de Cirque Nova Circus qui se sont investis dans la 3e édition de ce projet ArtsSmart financé par le Saskatchewan Arts Board.

3 juillet 2015/Auteur: Vanessa Fortin (EV)/Nombre de vues (30986)/Commentaires ()/
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Cercle université-communauté: réflexion autour de la petite enfance fransaskoise

Le 17 juin 2015 se tenait à l’Université de Regina, en collaboration avec l’Association des parents fransaskois, le Cercle université-communauté sur le développement des services fransaskois à la petite enfance.

26 juin 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (22883)/Commentaires ()/
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André Denis est réélu à la présidence du CSF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a réélu par acclamation André Denis à la présidence du CSF et Denis Marchildon à la Vice-présidence, dans le cadre de la séance d’organisation du 24 juin 2015.

 

25 juin 2015/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (30932)/Commentaires ()/
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L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

L’admission des non ayants-droit dans les écoles francophones

Suivant la récente décision de la Cour suprême du Canada sur l’école franco-yukonaise, le Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique a suspendu l’admission de non ayants droit. Craint-on un effet domino ?

18 juin 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30355)/Commentaires ()/
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Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Une activité intégrante organisée par l’AJF

SASKATOON - Un choc des titans a eu lieu au Pavillon Gustave Dubois le mardi 9 juin : un match de basket-ball opposant les élèves actuels et les anciens élèves de l’École canadienne-française (ÉCF). 

18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (33478)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

“Je n‘ai pas de contrôle sur les affaires politiques, alors concentrons-nous sur ce qui est important pour vos enfants!” - Miles Muri

NORTH BATTLEFORD - Miles Muri a accepté de relever le défi d’assurer la direction de deux petites écoles du nord de la province, distantes d’une centaine de kilomètres : l’école Père Mercure de North Battleford et l’école Sans frontière de Lloydminster. 
18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (25361)/Commentaires ()/
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Rendez-vous avec Laurier Gareau

La passion du théâtre et de la langue française

Auteur: Marie Galophe/30 mars 2017/Catégories: 2017, Regina, Arts et culture, Théâtre

Kaël Horth et Laurier Gareau dans La grande révolution électrique

Kaël Horth et Laurier Gareau dans La grande révolution électrique

Photo: Guy Michaud (2017)
REGINA - Autant dire que rencontrer Laurier Gareau ne va pas de soi : il y a l’homme, imposant, l’œuvre multiple, disséminée, mais surtout cette mémoire vivante de la francophonie de la Saskatchewan qui rend le rendez-vous passionnant tout en en ébauchant d’autres à venir. Ainsi, en commençant à parler de La grande révolution électrique, présentée du 16 au 19 mars au théâtre Oskana, à Regina, on en vient tout naturellement à se demander : « et après ? »

Quelle a été la réception de La grande révolution électrique par le public ?
Le public qui est venu a beaucoup aimé la pièce sauf que nous, on a été déçus du faible public. On a déjà eu des meilleurs publics au théâtre Oskana. Le public qui est venu voir la pièce a beaucoup ri. La pièce est basée sur une nouvelle de Ken Mitchell, un auteur très connu du côté anglophone de la Saskatchewan, et jeudi soir [lors de la première ], il est venu voir la pièce avec sa famille. Lui ne parle pas un mot de français. Donc, il devait se fier aux surtitres et il a adoré le spectacle. Ce qu’il disait à la fin, c’est qu’il avait ri tout le temps, que c’était très très drôle. C’est ça qui nous encourage beaucoup, de voir cette réaction, de voir le public qui embarque.

Combien d’entrées avez-vous faites ?
C’est probablement entre 110 et 120 personnes qui sont venues sur les quatre soirs. On a déjà eu jusqu’à 200 personnes donc c’est une baisse assez remarquable. On a vu la même chose avec les deux comédies qui ont été faites au mois de janvier : Tremblay et Barbeau. [Voir Eau vive du 2 février 2017 ] On tente des nouvelles choses au niveau de la promotion: on a pris une demi-page d’annoncedans le Prairie Dog. On espère de cette façon-là trouver de nouveaux publics. Il va falloir aussi trouver de nouvelles façons de convaincre les étudiants de l’université de venir voir des spectacles ici parce qu’il y a beaucoup d’étudiants qui sont en train d’apprendre le français. Les surtitres pourraient les aider à comprendre l’intrigue de la pièce.

 Il y a aussi quelque chose d’universel dans la pièce, propre à séduire toutes les audiences : le ravissement qu’opère la fiction. Le personnage de Pierre Jacquot est prêt à tout pour continuer à écouter ses fictions radiophoniques préférées.
C’est une des raisons pour lesquelles je suis  tombé en amour avec le texte de Ken Mitchell. C’est toute cette notion que le monde est en train de tomber autour de nous mais on a encore ce luxe-là, écouter la radio dans notre foyer. 

Comment on embarque autant de bénévoles dans ce genre de projet ?
C’est pas facile! Justement, pour la prochaine pièce, La trahison [présentée en juillet 2017 dans le cadre du Fringe Festival, à Regina], on cherche encore un deuxième acteur. C’est beaucoup de travail, mais une fois que les gens s’embarquent, surtout avec une grosse distribution, on réussit à bâtir un sens d’équipe et tout le monde a l’objectif de s’entraider. Ça devient une petite famille, après 6 ou 7 semaines de répétition. C’est là où souvent on a des gens qui sont prêts à revenir. 

Le texte de la pièce est savoureux. À un moment, le personnage de Pierre Jacquot dit à son petit-fils : « Moi, les aventures, j’les vis dans cette boîte-ci! », tout en désignant sa fameuse radio. Pour Laurier Gareau, quel est le terrain de l’aventure aujourd’hui ?
Pour moi, l’aventure, c’est un jour à la fois. Là, maintenant, je suis à la retraite, je fais du bénévolat à l’école Monseigneur de Laval où j’enseigne quatre jours par semaine des cours de théâtre pour des jeunes de la 7ième à la 9ième année. J’ai pris aussi la présidence des Éditions de la nouvelle plume cette année. Alors, pour moi, c’est de voir jusqu’à quel point on peut pousser l’édition francophone  en Saskatchewan. C’est aussi toujours une aventure de maintenir une troupe de théâtre vivante parce qu’on le fait avec de très petits moyens. Notre budget annuel, pour le théâtre Oskana, c’est autour de 23 000 dollars. Ce n'est vraiment pas à la hauteur  du budget de La Troupe du Jour, mais on se donne comme mandat de produire des spectacles d’aussi grande qualité que ceux que  produit La Troupe.. Ça, c’est une autre de mes aventures! 

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Marie Galophe

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 - vendredi 28 juin 2024