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Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

18 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25388)/Commentaires ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
13 juillet 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33410)/Commentaires ()/
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Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents

Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux élections et demander du changement.
12 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31331)/Commentaires ()/
Balises: Bernard Roy
L’école francophone et les Néo-Canadiens

L’école francophone et les Néo-Canadiens

De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue française vogue imperceptiblement vers des eaux troubles et des ciels obscurs.

7 juillet 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (30438)/Commentaires ()/
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Exposition d’arts de l’École Ducharme

Exposition d’arts de l’École Ducharme

Les artistes en herbe font belle impression

« Wow! » semble avoir été l’exclamation la plus utilisée lorsque la galerie d’art organisée par le conseil de l’École Ducharme a ouvert ses portes en soirée le 20 juin dernier.

4 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32290)/Commentaires ()/
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Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

La période électorale du Conseil scolaire fransaskois (CSF) approche à grands pas. Nous sommes les électeurs. Nous sommes des payeurs de taxes (les contribuables).  Nous demandons une éducation de qualité pour nos enfants. Nous demandons l’excellence au niveau du français dans nos espaces scolaires. Nous voulons une gestion responsable de nos écoles.

30 juin 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24513)/Commentaires ()/
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Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Même si notre enfant semble être déterminé à ne pas manger les « choses vertes » qui osent envahir son assiette, rien n’est perdu. Voici quelques trucs et astuces pour aider votre enfant dans sa découverte alimentaire.

 

30 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39276)/Commentaires ()/
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Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Rencontre avec le président du Conseil scolaire fransaskois

Alpha Barry estime que le temps est désormais à la reconstruction pour le CSF dont la situation ne fait pas l’unanimité actuellement.
16 juin 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33229)/Commentaires ()/
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Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Entre autonomie, discipline et motivation

PRINCE ALBERT - Vivre son secondaire comme étant le seul élève de la classe peut sembler être un défi pour bien des élèves. Cependant, pour Bao Tuong An Chau, la situation ne lui a pas semblé incongrue. Il a su s’en accommoder et même s’en satisfaire pleinement.

 

16 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (24408)/Commentaires ()/
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C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

Il y avait beaucoup de gros sourires le 9 mai 2016 à l’École de Bellegarde pendant les récréations, grâce au nouveau meuble de jeu qui a été installé la semaine précédente par des parents bénévoles.
2 juin 2016/Auteur: Aimée Poirier (ACFB)/Nombre de vues (25632)/Commentaires ()/
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De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

Le jeudi 19 mai dernier le Collège Mathieu a inauguré ses nouveaux espaces du campus de Saskatoon.

2 juin 2016/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (31678)/Commentaires ()/
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Ranger, un plaisir partagé ?

Ranger, un plaisir partagé ?

Demander à un enfant de ranger sa chambre peut devenir un jeu

Amener son enfant à devenir grand soulève toujours son lot de soucis pour les parents ; particulièrement pour les parents qui travaillent et qui pensent ne pas avoir assez de temps à leur consacrer. 

2 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39644)/Commentaires ()/
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Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Découvrir la puissance du groupe

ZENON Park - Les élèves étaient très fiers de voir les images qu’ils avaient soumises aux artistes dans la mosaïque. Cette murale est le produit de leur imagination, de leur culture, de leur vécu.
19 mai 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35847)/Commentaires ()/
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Les élèves de Debden découvrent la Ville de Québec

Les élèves de Debden découvrent la Ville de Québec

DEBDEN - En septembre 2014, nous avons commencé à planifier notre voyage éducatif à Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté, notre division scolaire et nos enseignantes, nous avons commencé les levées de fonds. 
27 avril 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34389)/Commentaires ()/
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Ma culture, où est-elle sur le campus?

Ma culture, où est-elle sur le campus?

Conférence à la Cité universitaire francophone

REGINA - Conférence portant  sur l'identité, l'intégration et le bien-être de la jeunesse fransaskoise et métisse dans un environnement universitaire.
21 avril 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30963)/Commentaires ()/
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Le mauvais genre de l’histoire

Le mauvais genre de l’histoire

Auteur: CHRONIQUE Francopresse Julie Gillet/3 novembre 2022/Catégories: Société, Femmes

Julie Gillet est directrice du Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick.

Octobre est le Mois de l’histoire des femmes au Canada. L’occasion de faire le point sur la place des femmes dans les manuels scolaires et les imaginaires collectifs. Et de constater les progrès qu’il reste à faire.

Je me souviens des pages cornées de mes manuels d’histoire à l’école, toutes flétries par les hordes de mains adolescentes avant moi. Au fil des chapitres se succédaient les portraits des « grands » hommes, leurs découvertes scientifiques, leurs réalisations politiques et leurs faits d’armes.

Parfois, au détour d’une illustration, une femme derrière son métier à tapisserie ou au bras d’un puissant. Très rarement, la biographie d’une reine ou d’une mécène. Pas beaucoup de modèles auxquels m’identifier à l’époque, encore moins de cadre théorique visant à m’interroger sur les logiques de domination mises en œuvre.

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Emily Murphy, leader de l’affaire « personne » en 1928 qui a permis aux femmes canadiennes d’être considérées comme des personnes par le droit canadien. Crédit : Mélanie Tremblay / Francopresse

Vous me direz que c’était les années 1990, que bien du chemin a été parcouru depuis pour donner plus de visibilité aux femmes. Eh bien, pas tant que ça.

Une étude menée en Ontario sur les manuels scolaires publiés dans les années 2000 a révélé que des femmes ne sont mentionnées que dans 5 % des textes, et qu’elles n’apparaissent que dans 16 % des images. De plus, celles-ci sont quasiment toutes blanches et appartiennent presque toujours aux plus hautes classes socioéconomiques.

C’est peu dire que l’histoire enseignée dans nos écoles ne présente qu’une image très partielle de la réalité, occultant par ailleurs complètement les groupes minorisés et les multiples discriminations vécues par ces derniers, tout comme leurs contributions inestimables à la société.

Une approche patriarcale de l’histoire

De tout temps, les femmes ont travaillé dans l’agriculture, l’artisanat, le commerce, l’industrie, les services. Elles ont été savantes, philosophes, écrivaines, artistes. Elles ont activement participé aux mouvements sociaux et révolutionnaires. Elles ont gouverné des pays. De riches et puissantes communautés religieuses féminines ont joué un rôle important sur les plans politique, économique, social et culturel.

L’effacement des femmes dans les manuels d’histoire ne résulte donc pas de l’histoire elle-même, mais bien de la manière dont certaines personnes ont choisi de la raconter.

En effet, jusqu’à récemment, les spécialistes de l’histoire, qui sont le produit d’une tradition académique patriarcale, s’intéressaient surtout à la sphère publique, aux guerres et aux relations de pouvoir, où les hommes prédominaient.

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Nellie McClung et Irène Parlby Nellie McClung, romancière et journaliste, et Irène Parlby, deuxième femme de l’histoire nommée au cabinet du gouvernement de l’Alberta, sont deux des cinq femmes qui ont milité dans l’affaire « personne » en 1928. Crédit : Mélanie Tremblay / Francopresse

Les sphères domestiques, sociales et culturelles, jugées moins nobles, suscitaient peu d’intérêt, tout comme l’analyse des relations de pouvoir entre les différents groupes sociaux.

Où sont les femmes ?

Mais qu’en est-il en dehors des salles de classe ? Les femmes sont-elles plus visibles ? Pas vraiment. Ainsi, 80 % des biographies en français sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia sont consacrées à des hommes – une lacune que le mouvement les sans pagEs tente de combler depuis plusieurs années.

Quant au célèbre concours de la plus grande personnalité canadienne organisé par CBC en 2004, il ne compte tout simplement aucune femme parmi les 10 personnes au sommet du palmarès.

Les nécrologies publiées par le journal américain New York Times constituent un autre exemple. Il y a quelques années, la journaliste Amy Padnani s’est rendu compte que très peu de femmes et de personnes de couleur avaient fait l’objet d’une biographie dans le prestigieux journal à leur décès. La poète Sylvia Plath ou la pionnière des sciences informatiques Ada Lovelace, par exemple, n’ont pas eu cet honneur.

La journaliste tente depuis plusieurs années de rattraper le retard avec son initiative Overlooked, qui raconte les histoires de personnes issues de communautés marginalisées.

Mais si les femmes sont aussi peu présentes dans les imaginaires collectifs et les encyclopédies, c’est aussi parce que nombre d’entre elles se sont vues tout simplement voler les mérites de leurs découvertes par des hommes, comme Lise Meitner pour la fission nucléaire ou Mileva Maric Einstein, épouse du seul Einstein dont l’histoire a retenu le nom.

Cette pratique était aussi assez courante dans les arts : une théorie attribue par exemple une partie des œuvres de Johann Sebastian Bach à sa femme, Anna Magdalena.

Réécrire l’histoire

L’histoire que nous connaissons est une vision subjective de l’histoire, écrite majoritairement par des hommes. Elle s’inscrit dans un cadre de pensée patriarcal, qui a relégué les femmes dans les marges.

En ce Mois de l’histoire des femmes, réapproprions-nous nos histoires. Nous ne sommes pas des personnages secondaires. Nous faisons partie du récit, et nous exigeons que nos voix comptent.

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Francopresse

CHRONIQUE Francopresse Julie Gillet

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 - mardi 5 novembre 2024