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Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (21648)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (32645)/Commentaires ()/
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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32572)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (31191)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34852)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32081)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (44083)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31423)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (28919)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28507)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (32401)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32586)/Commentaires ()/
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Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

18 août 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (26094)/Commentaires ()/
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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

18 août 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39298)/Commentaires ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

22 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25408)/Commentaires ()/
Catégories: 2016Éducation
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Moins de blé dans les champs, hausse des prix dans l’assiette

Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/28 août 2021/Catégories: Agriculture et environnement

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Crédit : Yves Bernardi – Pixabay

FRANCOPRESSE – Avec la sècheresse et la vague de chaleur sans précédent qui ont touché l’Ouest canadien, les récoltes de blé s’annoncent mauvaises. Les spécialistes du secteur redoutent une augmentation des prix et des difficultés d’approvisionnement. 

Les moissons ne sont pas encore terminées au Canada, les moissonneuses-batteuses sont encore dans le feu de l’action, mais les chiffres ne s’annoncent pas bons. D’après les prévisions du département de l’Agriculture des États-Unis, la production de blé canadien devrait cette année être de 26,5 % inférieure à la moyenne des quatre dernières années. 

Autrement dit, elle pourrait passer d’environ 35 millions de tonnes en 2020 à 24 millions de tonnes cette année, soit une baisse de 32 %. 

La production de blé dur, dont le Canada est le premier fournisseur mondial et qui entre dans la fabrication des pâtes, devrait, elle, diminuer de 11 %.

Un ensemble de conditions météorologiques défavorables est en cause. Le dôme de chaleur qui a affecté le pays et la forte sècheresse qui a provoqué des incendies dans l’Ouest canadien ont eu raison d’une grande partie des récoltes de 2021. 

La crise n’épargne pas Martin Prince, agriculteur installé dans le nord-ouest de la Saskatchewan, à Delmas. Ses pertes de rendement s’élèvent à 50 % pour le blé d’hiver, récolté en aout. 

Pour son blé de printemps, quil espère moissonner la première semaine de septembre, lexploitant table sur 75 % en moins.

Inquiétudes sur la qualité 

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Jean-Philippe Gervais est vice-président et économiste agricole en chef chez Financement agricole Canada.
Crédit : Courtoisie

«Une large majorité des producteurs de céréales du Manitoba, de la Saskatchewan, d’Alberta et de Colombie-Britannique sont affectés par des chutes de rendements. Une petite minorité s’en sort», confirme Jean-Philippe Gervais, vice-président et économiste agricole en chef de Financement agricole Canada (FAC). 

Il note qu’«il faut remonter à 2012 pour retrouver daussi mauvaises conditions climatiques». 

La baisse de production du blé s’explique aussi par une surface plantée moindre : 23,4 millions d’acres, soit un recul de 6,5 % par rapport à l’année précédente.

Linquiétude est dautant plus grande quau-delà du volume, il y a des préoccupations sur la qualité. Un risque d’échaudage est notamment évoqué. 

Ce phénomène peut se produire en cas de fortes chaleurs pendant les dernières semaines précédant la moisson. Il y a un accident dans la croissance du grain, et ce dernier se remplit moins. 

«La météo a perturbé la texture et le degré d’humidité des grains. Il pourrait aussi y avoir une diminution importante de la quantité de protéines», détaille Jean-Philippe Gervais. 

Un avis que ne partage pas Daniel Ramage, directeur de l’accès aux marchés et de la politique commerciale chez Cereals Canada, un organisme à but non lucratif qui représente les organisations agricoles et les industriels du secteur : «Il est encore trop tôt pour se prononcer, mais en principe, les années chaudes favorisent une bonne qualité et un niveau de protéines plus élevé.»

Transport perturbé par les mégafeux 

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Daniel Ramage est directeur de l’accès aux marchés et de la politique commerciale chez Cereals Canada.
Crédit : Courtoisie

Les mauvaises récoltes font craindre aux spécialistes des difficultés d’approvisionnement et une flambée des couts. «Les prix atteignent des sommets», assure Daniel Ramage.

Sur le marché mondial, Jean-Philippe Gervais constate déjà une hausse de 33 % des prix par rapport à 2020 et de 50 % par rapport à 2019. Il note qu’en Saskatchewan, le blé se vend à 365 $ la tonne, soit une augmentation de 65 % comparé à l’an dernier. 

Le cout du blé dur a quant à lui déjà bondi de 30 % depuis juillet. 

Les yeux de l’économiste agricole se tournent également de l’autre côté de l’Atlantique : «Il y a une déception quant au niveau de récolte du blé d’hiver en Russie et, en Europe occidentale, les récentes fortes pluies laissent craindre des qualités très hétérogènes», rapporte-t-il. 

Dans ce contexte, Jean-Philippe Gervais s’attend à ce que les prix continuent à grimper. «Seule bonne nouvelle : ces cours élevés compenseront dans une certaine mesure les pertes de rendement des agriculteurs si elles ne sont pas trop importantes», ajoute-t-il. 

En parallèle, la demande mondiale est toujours forte. Que ce soit en Chine, en Afrique, au Maghreb ou en Égypte, le rythme des importations ne faiblit pas. «Ce mouvement accélère la pression sur les prix», observe Jean-Philippe Gervais. 

Surtout que les mégafeux en Colombie-Britannique ont endommagé les lignes de chemin de fer du Canadien National et du Canadien Pacifique, qui servent notamment au transport de céréales. «Elles sont de nouveau opérationnelles, mais elles fonctionnent à capacité réduite, ce qui risque de ralentir le rythme de nos exportations», explique-t-il. 

Pas de risque de pénurie au pays

Martin Prince
Martin Prince est producteur de grandes cultures à Delmas, dans le nord-ouest de la Saskatchewan.
Crédit : PhotoBliss

En temps normal, le Canada exporte 75 % de sa production. Mais avec la baisse du volume de grains disponibles, «les acheteurs locaux vont avoir la priorité et on ne pourra pas satisfaire tous les approvisionnements mondiaux», prévient Jean-Philippe Gervais. Cette situation se conjuguant avec des réserves mondiales basses, «il n’est pas possible de puiser dans ces stocks pour alimenter la demande», poursuit l’économiste agricole. 

Les deux experts ne redoutent pas pour autant une pénurie sur le marché intérieur : «Même avec des récoltes plus faibles, il y aura assez de blé pour répondre à la consommation intérieure, denviron 8 millions de tonnes par an», affirme Daniel Ramage.

En Saskatchewan, Martin Prince a vendu seulement 10 % de son blé d’hiver, en vertu d’un contrat conclu avant les premières fauches. Pour transformer le reste du fruit de son labeur en espèces sonnantes et trébuchantes, l’exploitant préfère attendre l’hiver ou le printemps prochain, car il estime que les prix vont continuer d’augmenter dans les mois à venir. 

D’ici là, il suit les cours des bourses de céréales aux États-Unis. «C’est mon travail de gestionnaire de choisir le tempo de mes ventes afin de minimiser les risques», partage-t-il, confiant. 

L’envolée des cours ne fait pas que des heureux. Elle risque de se répercuter sur toute la chaine de production et de distribution, jusqu’aux consommateurs qui achètent des pâtes, du gruau ou du pain. Les prix de vente pourraient ainsi subir une certaine inflation.

Selon Jean-Philippe Gervais, il s’agirait d’une hausse «de quelques centimes», qui ne devrait pas grever significativement le pouvoir dachat. Le blé ne représente, selon lui, que «des miettes» dans le pain qu’on achète.

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 - vendredi 1 novembre 2024