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AGA 2024 de la CPF
L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30910)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34488)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31717)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43782)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31129)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (28729)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28228)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (32064)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32277)/Commentaires ()/
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Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

18 août 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (25851)/Commentaires ()/
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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

18 août 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (38709)/Commentaires ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

22 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25196)/Commentaires ()/
Catégories: 2016Éducation
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

18 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25062)/Commentaires ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
13 juillet 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33035)/Commentaires ()/
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Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents

Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux élections et demander du changement.
12 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30833)/Commentaires ()/
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Trouver le filon pour rapprocher les francophonies canadiennes

Auteur: Marc Poirier – Francopresse /7 juin 2021/Catégories: Société, Francophonie, Politique

Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes
Le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes aura lieu du 12 au 17 juin 2021.
Crédit: Gouvernement du Québec

FRANCOPRESSE – Un évènement majeur ayant pour but de rapprocher le Québec et les autres francophonies canadiennes aura lieu virtuellement du 12 au 17 juin. Initié par le gouvernement du Québec et organisé conjointement avec la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada, le Sommet rassemblera leadeurs, experts et citoyens francophones de partout au pays. La ministre québécoise des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, Sonia LeBel, fonde beaucoup d’espoir sur cette démarche.

Francopresse : Est-ce qu’il faut remonter à la fin des années 1960 et la tenue des États généraux du Canada français pour trouver un évènement de l’ampleur du Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes?

Sonia LeBel
La ministre québécoise des Relations canadiennes et de la Francophonie canadienne, Sonia LeBel, fonde beaucoup d’espoir sur le Sommet sur les rapprochements des francophonies canadiennes.
Crédit : Courtoisie

Sonia LeBel : Absolument, on peut dire qu’un évènement de cette ampleur-là n’a pas eu lieu à nouveau! 

Quoique c’est aussi très différent maintenant parce que ça émane vraiment du gouvernement du Québec. L’objectif est vraiment de revoir notre politique en matière d’investissement, et quand je parle d’investissement, c’est vraiment l’investissement au sens large ; que ce soit financier ou d’autres façons de s’investir dans la francophonie canadienne. C’est vraiment pour créer un rapprochement des francophonies. 

D’ailleurs, ma présence au Congrès mondial acadien (CMA) 2019 […] j’y étais allée pour d’autres raisons, entre autres pour les liens économiques avec la francophonie, mais je commençais déjà à rencontrer des organismes pour commencer à poser les premiers jalons du Sommet qui aurait dû avoir lieu en juin l’an dernier, n’eût été la pandémie. Mais effectivement, l’idée c’est vraiment de revoir et d’amener un peu plus loin la politique et l’investissement du Québec en matière de francophonie canadienne.

Sentez-vous que les liens se tissent davantage depuis quelques années entre la francophonie canadienne et le Québec?

Peut-être que c’est une opinion très personnelle, parce que j’ai des liens très forts avec le Nouveau-Brunswick — toute ma famille maternelle, ce sont des Arsenault du coin de Tracadie et des Kenny de Sainte-Rose — mais c’est sûr que les liens entre le Québec et l’Acadie sont déjà très forts. Beaucoup de Québécois ont des liens ou sont de descendance acadienne. 

Mais si on regarde de l’autre côté, nos voisins de l’Ouest, à partir de l’Ontario, c’est comme si cette connaissance-là, à part des connaissances personnelles, c’était plus brumeux pour nous, pour la société québécoise. Ce n’est pas une analyse sociodémographique extrêmement poussée, c’est un peu mon feeling personnel, puis je pense que c’est bien aussi ce rapprochement-là. 

Seriez-vous prête à dire que le moment de tenir un sommet est opportun?

Les premiers jalons posés, selon moi, le premier évènement qui a un peu réveillé les consciences, c’est ce qui s’est passé pour l’Université de l’Ontario français en 2019. Il y a eu une espèce de soulèvement qui était très justifié. À ce moment-là, je venais d’être nommée ministre de la Francophonie canadienne. 

Puis à part mes liens personnels avec cette francophonie-là, savoir comment orienter puis comment faire une différence, des fois, ce n’est pas toujours évident de trouver le filon. Cette mobilisation-là et cette solidarité-là qui a été démontrée m’ont fait penser que c’était peut-être une belle façon de construire sur ça et de continuer pour aller vers un rapprochement. 

De quelle façon, selon vous, les relations ont évolué au cours des dernières années entre les francophonies canadiennes et le Québec?

Il ne faut pas oublier, dans les 50 dernières années, tout le phénomène de la loi 101 au Québec et le mouvement extrêmement nationaliste du Québec, des Québécois. Je pense que c’était une question de survie nécessaire, mais là, à un moment donné, on a tous grandi et on peut aller vers autre chose. 

C’est ça l’évolution ; on s’est un peu concentrés sur notre francophonie et sur comment sauvegarder notre francophonie et notre français au Québec, et là, on veut aller plus loin. Pour moi, c’est une rue à deux sens : le Québec a un rôle de leadeurship à jouer dans la francophonie canadienne de par sa position privilégiée, comme province francophone, et le fait qu’on est capable, nous, de vivre de A à Z en français. 

Il y a des gens au Québec qui peuvent ne jamais parler un mot d’anglais de leur vie et tout va bien, et c’est parfait comme ça! Mais à l’inverse, le Québec aussi a besoin de du reste de la francophonie parce que plus la francophonie va être solide à l’extérieur du Québec, plus notre francophonie au Québec va l’être aussi. 

Les deux peuvent donc s’entraider, bénéficier de l’autre?

Oui! Ce n’est pas complètement désintéressé, dans le sens où je considère qu’on a une responsabilité morale et sociale de jouer un rôle de leadeurship et d’être présent pour nos confrères des autres provinces, mais ce que je trouve extraordinaire dans la francophonie canadienne présentement — et on le voit beaucoup aussi à travers l’Acadie — c’est cette unité-là, au-delà des frontières territoriales. Et je veux que le Québec fasse partie aussi de cette grande famille, où on va comprendre que le français ce n’est pas juste au Québec. Il y en a partout et on veut faire partie de cette grande unité francophone. 

C’est peut-être un peu ésotérique ce que je dis, mais il faut avoir un but pour que les actions qu’on pose nous amènent quelque part, même si peut-être que dans mon mandat je vais juste poser les premiers jalons. Poser les premières pierres d’une route qui, je l’espère, va nous mener à une plus grande mobilité.

Justement, en parlant de mobilité, ça m’amène à vous parler de la partie du projet de loi 96 qui accorderait aux étudiants franco-canadiens la possibilité de payer les mêmes frais de scolarité peu élevés que les Québécois dans certains cas. Certains ont accueilli ça comme un risque de perdre des jeunes, qu’en dites-vous?

Ça va faire partie des discussions du Sommet. C’est un peu paradoxal parce que dans certaines communautés francophones où les systèmes d’éducation sont peut-être moins développés — parce que c’est à géométrie variable partout dans le Canada, on s’entend — on en est conscients et c’est pour ça qu’il va falloir être très prudent dans l’application. Mais dans ma tournée, j’ai entendu aussi la demande qu’on ouvre nos portes pour accueillir des gens pour leur permettre d’avoir une éducation supérieure en français. Donc c’est partagé. 

Je pense que le principe est accepté et accueilli. Il faut le voir comme un geste de bonne volonté et non pas un geste de sabotage de notre part, au contraire! Mais moi, je suis très consciente et c’est compris par tout le monde qu’il faut faire très attention pour que ça n’équivaille pas à un désengagement des gouvernements dans les autres provinces. 

La communauté francophone de l’Alberta, par exemple, dit craindre un exode de cerveaux. 

Il faut comprendre que ce n’est pas la volonté [du gouvernement du Québec], mais on est tous conscients de cet effet potentiel. Donc, il va falloir le faire avec beaucoup de délicatesse. 

Mais je pense qu’il ne faut pas être dupe : il y a déjà des étudiants du reste de la francophonie canadienne qui viennent au Québec. L’idée présentement, c’est qu’on leur donne le même tarif qu’un Québécois. Pour nous, c’est un geste d’accueil et d’ouverture. 

Maintenant, il va falloir travailler correctement pour être certains que ça n’ait pas un effet pervers, et on en est conscients. Mais j’ai entendu, dans mes tournées, une telle demande. Donc ce n’est pas vu de la même façon partout.

Pour revenir aux États généraux de la fin des années 1960, on parlait à l’époque d’une certaine rupture entre le Québec et le reste de la francophonie canadienne. On en parle encore; il y a encore des gens qui font référence à cet évènement. Ça a marqué cette génération-là. Peut-on voir dans ce Sommet une certaine volonté de réconciliation?

J’aime mieux le mot «rapprochement». Peut-être que pour certains il y a eu une impression de rupture, mais j’aime mieux «rapprochement» parce que je ne pense pas qu’il y ait eu une décision délibérée de faire une coupure. 

Dans une rupture, il y a quelque chose de très conscient, de très délibéré ; alors que là, il y a eu un éloignement et je pense que cet effort de rapprochement est nécessaire. L’idée, la volonté, c’est d’écrire un nouveau chapitre sur de nouvelles bases. Il y a une prise de conscience, on construit quelque chose qui est déjà en train de s’amorcer. 

Pour moi, le meilleur exemple de ça, c’est la levée de boucliers et la montée de solidarité survenue lors de la dernière décision sur l’Université de l’Ontario français, et encore plus récemment avec l’Université Laurentienne! Je pense que ce sont des signes extrêmement prometteurs et encourageants qui font voir à quel point on est prêts, ici au Québec, à s’unir et à se rapprocher de nos compatriotes francophones.

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Marc Poirier – Francopresse 

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 - dimanche 29 septembre 2024