Skip Navigation
Nouveau système d'abonnement Fonds l'Eau vive banniere
Préparer un été harmonieux avec ses enfants

Préparer un été harmonieux avec ses enfants

Quand 2 mois de vacances peuvent sembler interminables…

Alors que l’été représente pour les enfants 2 mois de liberté, de repos et de découvertes, il en est tout autrement pour les parents !

1 juillet 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43547)/Commentaires ()/
Balises:
Le drapeau du Traité no 4 hissé à l’école Sacred Heart Community School

Le drapeau du Traité no 4 hissé à l’école Sacred Heart Community School

REGINA - Le drapeau du Traité 4 s’est élevé à l’école Sacred Heart Community School de Regina, le 6 juin dernier devant plus de 250 élèves.
28 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (47860)/Commentaires ()/
Balises: Traité no 4
Un nouveau terrain de jeu pour l'École canadienne-française de Saskatoon

Un nouveau terrain de jeu pour l'École canadienne-française de Saskatoon

Aboutissement de deux ans d’efforts et de mobilisation

Le nouveau terrain de jeu du pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon a été inauguré le 13 juin 2017.

27 juin 2017/Auteur: Webmestre/Nombre de vues (36795)/Commentaires ()/
Balises:
Roger Gauthier : Trente ans d'engagement

Roger Gauthier : Trente ans d'engagement

Direction : Retraite

REGINA - Après de nombreuses années de service aux niveaux de la santé et de l’éducation, l’heure de la retraite a sonné pour Roger Gauthier.  

22 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (41087)/Commentaires ()/
Le CSF informera les conseils des écoles fransaskoises

Le CSF informera les conseils des écoles fransaskoises

Campagne de lettres Touchez pas à la gestion scolaire fransaskoise

SASKATOON - Une proposition a été adoptée concernant la campagne de lettres Touchez pas à la gestion scolaire lors de la séance régulière du CSF, le 31 mai dernier.

22 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (27216)/Commentaires ()/
Balises: Loi 63
Gilles Groleau récompensé

Gilles Groleau récompensé

Une carrière consacrée à l'éducation en français

REGINA - Gilles Groleau a été le récipiendaire du prix Dubois-Leblanc soulignant la qualité de son engagement au niveau du perfectionnement professionnel des enseignants dans les écoles fransaskoises.

 

22 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (32001)/Commentaires ()/
Un budget scolaire 2017-2018 sous le signe des compressions

Un budget scolaire 2017-2018 sous le signe des compressions

Séance régulière du 31 mai du Conseil scolaire fransaskois

SASKATOON - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a prévu des compressions budgétaires pour l’année scolaire 2017-2018, en réaction aux compressions annoncées par le gouvernement provincial de Brad Wall.

8 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (31884)/Commentaires ()/
Huit nouveaux diplômés pour le Collège Mathieu

Huit nouveaux diplômés pour le Collège Mathieu

 

Huit finissants du Collège Mathieu sont partis sourire bien en vue avec leur diplôme en main à la suite de leur collation des grades, le 13 mai dernier à Regina.

27 mai 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (34808)/Commentaires ()/
Balises:
Activités sportives ou artistiques: quand notre petit ne sait plus quoi choisir

Activités sportives ou artistiques: quand notre petit ne sait plus quoi choisir

Nous rêvons tous de voir notre enfant s’épanouir, se développer dans un sport ou une activité artistique.
25 mai 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (40934)/Commentaires ()/
Balises:
Trois Fransaskois à Expo-science 2017

Trois Fransaskois à Expo-science 2017

L’Université de Regina accueillait le concours scientifique national Expo-Sciences du 14 au 20 mai dernier.
25 mai 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (28071)/Commentaires ()/
Balises: Expo-science
Ottawa doit faire mieux pour les écoles des minorités

Ottawa doit faire mieux pour les écoles des minorités

Le gouvernement fédéral échoue à son devoir constitutionnel d’aider les parents canadiens à exercer leur droit d’envoyer leurs enfants dans les écoles de la minorité linguistique, tranche un comité des Communes.
25 mai 2017/Auteur: Mélanie Marquis (Presse canadienne)/Nombre de vues (30021)/Commentaires ()/
Balises:
Concours de l'ACELF: l’école de Bellevue remporte deux prix

Concours de l'ACELF: l’école de Bellevue remporte deux prix

L’ACELF récompense la créativité de la jeunesse francophone de l’Ouest et des territoires

L’école de Bellevue a remporté deux prix parmi les 20 décernés à l’échelle nationale, soit dans le volet Petite enfance et le volet Primaire/élémentaire.
5 mai 2017/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30493)/Commentaires ()/
Balises:
Maman, je me lave tout seul !

Maman, je me lave tout seul !

Apprendre à son enfant l’autonomie dans son hygiène

Bien que l’enfant, dans son développement classique, aime faire « tout, tout seul », se laver correctement relève souvent du défi.

1 mai 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (44399)/Commentaires ()/
Balises:
La Cité Universitaire francophone célèbre ses talents

La Cité Universitaire francophone célèbre ses talents

REGINA - L’ambiance était électrique à la Cité universitaire francophone mercredi 12 avril, lors du 5 à 7 clôturant la session d’hiver.
28 avril 2017/Auteur: Marie Galophe/Nombre de vues (33157)/Commentaires ()/
Balises:
Emmanuel Aïto à la direction de la Cité universitaire francophone

Emmanuel Aïto à la direction de la Cité universitaire francophone

REGINA - Directeur par intérim de la Cité universitaire francophone depuis août 2016, Emmanuel Aïto a été choisi pour occuper la direction de l’institution pour les cinq prochaines années.
27 avril 2017/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (28285)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
Première910111214161718Dernière
Les sociétés historiques francophones n’appartiennent pas au passé

Les sociétés historiques francophones n’appartiennent pas au passé

Auteur: Camille Langlade – Francopresse/21 mai 2024/Catégories: SHS - Société historique, Société, Histoire et patrimoine

Composées de passionnés, de chercheurs, mais surtout de bénévoles, les sociétés historiques ont à cœur de faire partager l’héritage francophone de leur territoire. Elles ont cependant plusieurs défis à relever pour rester ancrées dans le présent et l’avenir.

« Quand on pense à une société d’histoire, on voit souvent une étagère poussiéreuse, avec des livres poussiéreux, qui sont fort intéressants peut-être, mais pas très attractifs », regrette Alexandre Chartier, directeur général de la Société historique de la Saskatchewan (SHS).

« Oui, il y a bien une étagère de livres, parce que c’est une société de savoir, de savants, d’histoire, mais la poussière n’est qu’un stéréotype », ajoute-t-il.

Pour ne pas faire partie des meubles, beaucoup de sociétés tissent des partenariats avec d’autres organismes.

Dès son arrivée au sein de la SHS en 2013, Alexandre Chartier a voulu qu’elle soit partie prenante de la communauté.

« Il y a beaucoup de rayonnement à faire, de promotion […] Par exemple, dès qu’un organisme voulait travailler sur l’histoire, on leur demandait de venir nous voir et on allait travailler avec eux. Le but du jeu, ça a été de devenir presque indispensable pour la communauté », raconte-t-il.

Des sentinelles de la francophonie

En plus de préserver le patrimoine historique et culturel, les sociétés historiques francophones contribuent à renforcer le sentiment d’appartenance.

« Il y a un lien entre les besoins d’une communauté et son désir d’asseoir son origine sur une histoire », explique Stéphanie St-Pierre, professeure d’histoire à l’Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse.

Au Yukon, la société veut également transmettre une histoire « qui commence à être connue chez les francophones », mais qui reste encore « très méconnue chez les anglophones et les Premières Nations », déclare son président, Yann Herry.

À la recherche de bénévoles

L’un des principaux défis auxquels font face ces sociétés reste le manque de ressources humaines. La plupart du temps, elles sont tenues à bout de bras par des équipes de bénévoles chevronnées.

« Il y a de plus en plus d’occasions de faire du bénévolat, mais pas nécessairement plus de bénévoles. On épuise souvent notre bassin », observe Stéphanie St-Pierre, membre de la Société historique acadienne de la baie Sainte-Marie, en Nouvelle-Écosse.

Si certaines équipes, comme en Saskatchewan, affichent une moyenne d’âge parfois en dessous de 30 ans, d’autres peinent à attirer de jeunes recrues.

« C’est beaucoup des membres qui sont plus âgés, donc c’est toujours un groupe de personnes aînées qui s’intéressent aux objectifs de la société », confie Elaine Thimot, présidente de la société historique de la baie Sainte-Marie.

Selon elle, les jeunes ne sont pas désintéressés, ils sont juste déjà fortement sollicités et impliqués dans d’autres organismes.

Attirer de nouveaux publics

« Si on veut avoir une pertinence sociale, il faut aussi trouver de nouveaux moyens de rattacher l’histoire des francophonies locales à des histoires plus larges. Il ne faut pas qu’on ait l’impression que c’est complètement déconnecté du monde », souligne de son côté Joel Belliveau, professeur émérite d’histoire à l’Université Laurentienne, en Ontario.

L’historien insiste sur le besoin de « publiciser » les activités via les réseaux sociaux pour atteindre de nouvelles personnes.

« Si on continue à faire une ou deux ou trois conférences par an, puis qu’on utilise la même liste de diffusion, on va finir par assembler le même public, qui va vieillir un peu chaque année inexorablement. »

En Saskatchewan, grâce à une subvention du ministère provincial de l’Éducation, la Société historique présente des ateliers au sein des écoles. La demande est telle que l’association ne peut pas répondre à toutes les requêtes, assure son directeur.

L’organisme emploie également des jeunes, avec des contrats de quelques heures par semaine, en parallèle de leurs études. Une expérience gagnant-gagnant selon Alexandre Chartier.

« Ça me permet de voir comment ils consomment, quelles sont les nouveautés actuelles […] pour mieux répondre après avec les projets. »

L’association a aussi ouvert une boutique en 2021, où elle propose des chandails et des tee-shirts à son effigie. « Ça fonctionne très bien. Les jeunes capotent quand ils les voient », affirme-t-il.

« Parfois, on a l’impression que comme c’est une société historique, il faut que ce soit vieillot, mais on peut se faire un rebranding assez jeune », renchérit Joel Belliveau.

« Il faut savoir prendre le public où il est, avec ses sensibilités actuelles. Il ne faut pas les convaincre de s’intéresser à quelque chose qui ne les intéresse pas, il faut leur montrer qu’il y a quelque chose-là qui les intéresse. »

Imprimer

Nombre de vues (5453)/Commentaires (0)

Ghita Hanane

Camille Langlade – Francopresse

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - jeudi 26 décembre 2024