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Préparer un été harmonieux avec ses enfants

Préparer un été harmonieux avec ses enfants

Quand 2 mois de vacances peuvent sembler interminables…

Alors que l’été représente pour les enfants 2 mois de liberté, de repos et de découvertes, il en est tout autrement pour les parents !

1 juillet 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43529)/Commentaires ()/
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Le drapeau du Traité no 4 hissé à l’école Sacred Heart Community School

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REGINA - Le drapeau du Traité 4 s’est élevé à l’école Sacred Heart Community School de Regina, le 6 juin dernier devant plus de 250 élèves.
28 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (47736)/Commentaires ()/
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Un nouveau terrain de jeu pour l'École canadienne-française de Saskatoon

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Aboutissement de deux ans d’efforts et de mobilisation

Le nouveau terrain de jeu du pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon a été inauguré le 13 juin 2017.

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Roger Gauthier : Trente ans d'engagement

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Direction : Retraite

REGINA - Après de nombreuses années de service aux niveaux de la santé et de l’éducation, l’heure de la retraite a sonné pour Roger Gauthier.  

22 juin 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (40969)/Commentaires ()/
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Campagne de lettres Touchez pas à la gestion scolaire fransaskoise

SASKATOON - Une proposition a été adoptée concernant la campagne de lettres Touchez pas à la gestion scolaire lors de la séance régulière du CSF, le 31 mai dernier.

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Gilles Groleau récompensé

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Une carrière consacrée à l'éducation en français

REGINA - Gilles Groleau a été le récipiendaire du prix Dubois-Leblanc soulignant la qualité de son engagement au niveau du perfectionnement professionnel des enseignants dans les écoles fransaskoises.

 

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Un budget scolaire 2017-2018 sous le signe des compressions

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Séance régulière du 31 mai du Conseil scolaire fransaskois

SASKATOON - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a prévu des compressions budgétaires pour l’année scolaire 2017-2018, en réaction aux compressions annoncées par le gouvernement provincial de Brad Wall.

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Huit nouveaux diplômés pour le Collège Mathieu

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Huit finissants du Collège Mathieu sont partis sourire bien en vue avec leur diplôme en main à la suite de leur collation des grades, le 13 mai dernier à Regina.

27 mai 2017/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (34807)/Commentaires ()/
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Nous rêvons tous de voir notre enfant s’épanouir, se développer dans un sport ou une activité artistique.
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Trois Fransaskois à Expo-science 2017

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L’Université de Regina accueillait le concours scientifique national Expo-Sciences du 14 au 20 mai dernier.
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Ottawa doit faire mieux pour les écoles des minorités

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Le gouvernement fédéral échoue à son devoir constitutionnel d’aider les parents canadiens à exercer leur droit d’envoyer leurs enfants dans les écoles de la minorité linguistique, tranche un comité des Communes.
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Concours de l'ACELF: l’école de Bellevue remporte deux prix

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L’ACELF récompense la créativité de la jeunesse francophone de l’Ouest et des territoires

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Maman, je me lave tout seul !

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Apprendre à son enfant l’autonomie dans son hygiène

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La Cité Universitaire francophone célèbre ses talents

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Emmanuel Aïto à la direction de la Cité universitaire francophone

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27 avril 2017/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (28285)/Commentaires ()/
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Les femmes francophones et acadiennes unies contre la violence fondée sur le genre

Les femmes francophones et acadiennes unies contre la violence fondée sur le genre

Auteur: Contenu commandité par l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC)/30 janvier 2024/Catégories: Société, Femmes, Publireportage

 

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Les organismes membres de l’AFFC ont travaillé pendant plus d’un an pour élaborer une stratégie nationale et un plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes.

PUBLIREPORTAGE – L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC) a élaboré une stratégie nationale et un plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes.

Au Canada, une femme est tuée toutes les 48 heures, selon l’Observatoire canadien du féminicide pour la justice et la responsabilisation (OCFJR).

En novembre 2022, le gouvernement fédéral dévoilait son Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe. «C’était un plan qui était très attendu», se souvient Nour Enayeh, présidente de l’AFFC.

Or, ce dernier a été accueilli avec déception et surprise par l’organisme, qui dénonçait par communiqué l’absence de lentille francophone; l’invisibilisation des spécificités propres aux femmes vivant en situation minoritaire et l’absence du «par et pour».

En réaction, les organismes membres de l’AFFC ont travaillé de concert pendant plus d’un an afin d’élaborer une stratégie nationale et un plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes.

Situation préoccupante

Annick Mondat

Annick Mondat

Annick Mondat Allemann est directrice générale d’Actions Femmes I.P.É, un organisme qui représente les femmes acadiennes et francophones de l’Île-du-Prince-Édouard.
Photo : Archives La Voix acadienne

«La situation actuelle en matière de violence basée sur le genre reste préoccupante et complexe», alerte Annick Mondat Allemann, directrice générale d’Actions Femmes Î.-P.-É, un des organismes membres de l’AFFC.

Selon elle, la pandémie de COVID-19 a exacerbé cette situation problématique. «L’accès limité aux services de soutien et aux maisons d’hébergement a compliqué la situation pour de nombreuses personnes vulnérables.»

«Les personnes qui subissent de la violence genrée rencontrent souvent des obstacles lorsqu’elles cherchent de l’aide», ajoute-t-elle.

Manque de ressources, lacunes dans les services disponibles, stigmatisation sociale ou manque d’informations sur les droits et les recours possibles, les barrières sont nombreuses selon elle.

«Pour certaines femmes, c’est encore plus difficile que pour d’autres», précise-t-elle en  citant les nouvelles arrivantes, les personnes 2ELGBTQIA+ ou encore les femmes racisées, sans oublier les femmes francophones et acadiennes, «qui peuvent rencontrer de grandes difficultés à obtenir des services dans leur langue, alors qu’il s’agit de leur droit».

Double violence

Nour Enayeh

Nour Enayeh

Nour Enayeh insiste sur l’importance de la prévention et de l’éducation au sein de la population, mais aussi dans les sphères professionnelles et communautaires.
Photo : Courtoisie

«Quand on vit en situation minoritaire linguistique, ça rajoute une couche aux difficultés que vivent les femmes qui font face à la violence», remarque Nour Enayeh.

«Dans les provinces et territoires, il y a très peu de services en français qui sont offerts pour les femmes qui sont aux prises avec la violence. Il n’y a pas beaucoup, voire pas du tout, de services de prévention et de sensibilisation. Ils sont majoritairement en anglais», déplore-t-elle.

Annick Mondat Allemann prend l’exemple de l’Île-du-Prince-Édouard, où les services disponibles sont principalement en anglais. «Les personnes qui subissent de la violence doivent choisir entre recevoir un service plus ou moins rapide en anglais ou attendre de longues heures, voire des jours pour y accéder en français», décrit-elle.

Une situation particulièrement dramatique pour les survivantes de violence sexuelle, qui ont besoin de soins immédiats. «On peut parler de double violence : après les violences conjugales, les victimes font face à la violence du système de santé, du système juridique, etc..»

«Aussi, en région éloignée ou en milieu rural, l’anonymat est difficile à garder, remarque-t-elle, et de plus, la difficulté d’accès aux différents moyens de transport peut empêcher les survivantes et les personnes qui subissent de la violence d’avoir accès aux services en français dans leur province et territoire.»

Prévention et action

Publié à l’automne 2023, la Stratégie nationale et plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes de l’AFFC comprend trois axes prioritaires : la prévention et l’éducation, le soutien aux personnes aux prises avec la violence et à leur famille, et un système judiciaire réactif, «pour aider les survivantes et celles qui subissent de la violence  à avoir accès à des conseils juridiques en français à travers le pays», indique Nour Enayeh.

La présidente de l’AFFC rappelle en outre l’importance de promouvoir la prévention et l’éducation en matière d’égalité des genres auprès des jeunes et des adultes en mettant l’accent sur les relations saines, afin de prévenir les violences fondées sur le genre. Plus précisément, le premier axe du plan d’action de l’AFFC cible «les hommes, les garçons, les milieux scolaires et les milieux sportifs».

Annick Mondat Allemann explique que «pour chacun de ces axes, les organismes membres de l’AFFC ont dressé une liste d’actions qui peuvent être entreprises autant sur le plan national, provincial, territorial que local».

«L’objectif de la stratégie et du plan d’action que nous avons développés en réponse à celui du gouvernement est de faire entendre les voix des femmes francophones et acadiennes vivant en milieu minoritaire, déclare Nour Enayeh. C’est important de parler de leur vécu, de leurs réalités, et de proposer des pistes de solution adaptées pour mettre fin à la violence genrée.»

«L’augmentation et le maintien du financement des organisations de femmes francophones et acadiennes sont aussi primordiaux. Sinon, des organisations de femmes qui offrent des services aux femmes et aux filles en situation de violence risquent de fermer», prévient Nour Enayeh, en faisant référence à Inform’Elles, en Colombie-Britannique qui est en attente d’une confirmation de financement pour la poursuite de leur mission après le 31 mars 2024.

La force d’un réseau

Le 26 septembre 2023, l’AFFC a lancé une campagne nationale de sensibilisation qui se nomme Unissons nos voix contre les violences genrées.

Pour Annick Mondat Allemann, l’une des forces de l’AFFC est son réseau. «On apprend de ce que les autres font en matière de lutte contre les violences genrées, et ça nous inspire. On met en commun nos bonnes pratiques en lien avec le projet et la réalité des femmes francophones et acadiennes vivant au milieu minoritaire au Canada. L’AFFC est notre porte-parole au fédéral pour unir nos voix malgré nos réalités parfois différentes.»

La présidente ajoute qu’«on peut se sentir seule parfois en francophonie minoritaire. Cela fait du bien de voir que l’on peut compter les unes sur les autres pour défendre les droits des femmes francophones et faire partie de la lutte pour mettre fin aux violences genrées.»

Si on veut mettre fin à la violence genrée, il est impératif que les organismes de femmes soient au cœur des consultations. La communication entre les différents joueurs engagés dans lutte contre la violence genrée reste un élément clé et les femmes francophones et acadiennes doivent être consultées.

Souvent «on collecte des données, on fait des choses, mais chacun le fait de son côté et il y a un manque de collaboration entre tout le monde. […] Des ministères ou des gouvernements par exemple qui vont travailler sur la violence des femmes, mais qui ne vont pas communiquer ensemble ou avec les organisations concernées. Ou le domaine de la santé qui ne communique pas avec les juristes, qui ne communiquent pas avec l’éducation», commente Nour Enayeh.

La présidente de l’AFFC tient à rappeler que la stratégie nationale et le plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes sont affichés sur le site Web de l’AFFC.

Des outils et des ressources élaborés pour la campagne de sensibilisation sur les violences genrées sont également accessibles et disponibles à tous et à toutes.    

Personne n’est à l’abri de la violence. Elle peut survenir partout, peu importe le contexte, les circonstances, le milieu de travail ou le style de vie. Il est même possible de constater ou de découvrir des situations de violence autour de soi. Pour cette raison, il est important de s’éduquer et de parler ouvertement de violence genrée afin de participer à la lutte pour mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles.

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