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Appui des députés communautaires aux revendications scolaires fransaskoises

Appui des députés communautaires aux revendications scolaires fransaskoises

Pour le président de l’ACF, Roger Gauthier, « quand il est question de nos droits constitutionnels, on a un devoir d’appuyer ceux qui les revendiquent. »

25 juin 2018/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36978)/Commentaires ()/
Une belle initiative au CÉF

Une belle initiative au CÉF

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a décidé de remettre une ceinture fléchée fransaskoise à ses finissantes et finissants.

12 juin 2018/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (36015)/Commentaires ()/
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Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

Les jeunes Fransaskois et la dimension oubliée des années 1968

REGINA - Les années 1968 étaient une période de beaucoup de changements, de revendications politiques, culturelles et sociales, ce qui explique pourquoi les chercheurs s’y attardent.

7 juin 2018/Auteur: Hervé Niragira/Nombre de vues (29585)/Commentaires ()/
Cours sur les premiers soins en santé mentale

Cours sur les premiers soins en santé mentale

MOOSE JAW - Les 5 et 6 mai derniers, une douzaine de personnes ont participé à une formation sur les premiers soins en santé mentale, animée par Francine Proulx-Kenzle et Roger Gauthier à Moose Jaw.

10 mai 2018/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (35450)/Commentaires ()/
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Une soirée de célébrations pour La Cité et le Bac !

Une soirée de célébrations pour La Cité et le Bac !

50 ans d'enseignement en français à l'Université de Regina

REGINA - Voilà maintenant 50 ans que les étudiants et professionnels ont la possibilité d’étudier le français et d’apprendre en français à l'Université de Regina.

10 mai 2018/Auteur: Céline Galophe/Nombre de vues (39205)/Commentaires ()/
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Un deuxième pavillon pour l'école élémentaire fransaskoise à Regina

Un deuxième pavillon pour l'école élémentaire fransaskoise à Regina

REGINA - Selon un communiqué émis par le Collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP), une entente conclue avec la province permettra à l’École Mgr de Laval de compter sur un deuxième pavillon pour désengorger ses locaux actuels.

24 avril 2018/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (40699)/Commentaires ()/
Balises: CPIP

C’est fait, une bataille gagnée par le CPIP !

Regina aura une deuxième école élémentaire

Communiqué du Collectif des parents inquiets et préoccupés faisant part de la décision du gouvernement de la Saskatchewan de louer les anciens locaux de l’école St Andrew pour dépeupler le pavillon primaire de l’école Monseigneur de Laval. 

24 avril 2018/Auteur: Jean de Dieu Ndayahundwa/Nombre de vues (32138)/Commentaires ()/
Balises: CPIP
Mise à jour de la cause du CPIP

Mise à jour de la cause du CPIP

Résultats prometteurs de la médiation !

En octobre 2017, le Collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP) a déposé un recours judiciaire contre le gouvernement de la Saskatchewan et le Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour la construction d’une nouvelle école primaire à Regina et l’offre des programmes et services équivalents à ceux des écoles de la majorité anglophone.

12 avril 2018/Auteur: Jean de Dieu Ndayahundwa/Nombre de vues (35681)/Commentaires ()/
Balises: CPIP
Lancement de "Contre toute attente"

Lancement de "Contre toute attente"

50 de vie francophone à l’Université de Regina

REGINA - Le 15 mars 2018 , une quarantaine de personnes se sont rendues à La Cité universitaire francophone pour assister au lancement du livre Contre toute attente de l’historien Michael Poplyansky et du chercheur Abdoulaye Yoh.

29 mars 2018/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (37768)/Commentaires ()/
Lire avec fiston

Lire avec fiston

Travail d’équipe pour donner le gout de la lecture aux garçons

Lire avec fiston est un projet qui vise à donner le gout de la lecture aux garçons de 3e et 4e années en prêchant par l’exemple.

29 mars 2018/Auteur: Julien Cayouette (Le Voyageur)/Nombre de vues (36154)/Commentaires ()/
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Un cri d’alarme dans les garderies de l’Ouest

Un cri d’alarme dans les garderies de l’Ouest

Comité des langues officielles en tournée

Un groupe de sept membres du Comité permanent des langues officielles des Communes a récemment séjourné dans l’Ouest canadien pour s’informer sur place de l’état critique des services à la petite enfance francophone.

25 mars 2018/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36208)/Commentaires ()/
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Un livre sur 50 ans de présence francophone à l’Université de Regina

Un livre sur 50 ans de présence francophone à l’Université de Regina

En septembre 1968, le Centre d’études bilingues de Regina voyait le jour au cœur de l’Université de Regina. Cinquante ans plus tard, La Cité universitaire francophone et le programme du Bac en éducation française sont les fiers représentants de la francophonie à l'université.

1 mars 2018/Auteur: Marie Galophe/Nombre de vues (41523)/Commentaires ()/
Ponteix obtient sa région scolaire fransaskoise

Ponteix obtient sa région scolaire fransaskoise

Le 7 février dernier, lors de sa séance régulière à Regina, le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a décidé d’accorder une région scolaire distincte à Ponteix, accompagnée d’un siège à la table des conseillers scolaires.

24 février 2018/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (36515)/Commentaires ()/
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Un soutien au
 développement de 
l’éducation postsecondaire en français

Un soutien au
 développement de 
l’éducation postsecondaire en français

Collaboration du Collège Mathieu, Saskatchewan Polytechnic et l'Université de Regina

Le Collège Mathieu, la Saskatchewan Polytechnic et l’Université de Regina ont signé une lettre d’intention visant la collaboration mutuelle au chapitre des programmes d’éducation en français dans le domaine de la santé, le 18 janvier dernier, à la Rotonde de la Cité universitaire.

1 février 2018/Auteur: Pierre-Émile Claveau/Nombre de vues (34627)/Commentaires ()/
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Journée des carrières en santé

Journée des carrières en santé

Le Consortium national de formation en santé de La Cité universitaire francophone de l’Université de Regina a organisé, pour la première fois, une journée des carrières en santé, en collaboration avec l’Université d’Ottawa, le 13 janvier dernier. 

1 février 2018/Auteur: Jeanne Dumas/Nombre de vues (28688)/Commentaires ()/
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La joie du théâtre fait son retour avec Pandamour

Auteur: Sarah Vennes-Ouellet/5 août 2021/Catégories: La Troupe du jour, Arts et culture, Théâtre

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Dean Stockdale à gauche et Alyssa Billingsley à droite
Crédits : Courtoisie de la Troupe du Jour

L’amour peut-il survivre aux réunions Zoom, à la quarantaine, à la distanciation sociale et aux romances en ligne ? La Troupe du Jour (LTDJ) a répondu à la question avec humour lors de sa tournée provinciale du 23 juillet au 1er août avec la pièce Pandamour

Tous les deux ans, la troupe produit un spectacle estival qui donne lieu à une tournée provinciale. Si 2021 comporte son lot d’incertitudes et de défis inédits, l’équipe a travaillé avec détermination pour produire un spectacle qui fait un retour sur la vie et l’amour pendant la pandémie. Cette année, la troupe s’est rendue à Prince Albert, Saskatoon, Bellevue, Moose Jaw, Regina et Gravelbourg. 

Création et émotions

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De gauche à droite : Émilie Dubois, Dean Stockdale et Gabrielle Dufresne, acteurs dans la pièce Pandamour
Crédits : Courtoisie de la Troupe du Jour

L’écriture de Pandamour est le résultat de la collaboration entre les quatre dramaturges Madeleine Blais-Dahlem, Émilie Dubois, Marie-Claire Marcotte et Martine Noël-Maw. Les sessions d’écriture ont été animées par Gabrielle Dufresne qui a partagé la mise en scène de Pandamour avec Bruce McKay et joué l’un des rôles lors de la tournée.

« La tradition du spectacle estival de la Troupe du Jour a toujours été de s’amuser, de trouver la joie, le léger de la chose, explique l’écrivaine Madeleine Blais-Dahlem. Le titre au début était L’amour en temps de pandémie, qui explique sans ambiguïté le point de vue. »

Cependant, revisiter plus d’un an de restrictions sociales est un processus émotionnel. Marie-Claire Marcotte exprime certaines de ces émotions : « En groupe, on a puisé un peu plus dans la comédie, l'absurde qui en est ressorti. Nous étions tous d'accord que la pandémie a apporté beaucoup de peine pour plusieurs, donc le but était de plutôt se pencher sur le comique. On a quand même, par moments, apprivoisé un côté plus triste et sérieux. »

Madeleine Blais-Dalhem revient sur les sacrifices inévitables liés à la pandémie, même pour ceux qui ont eu de la chance sur le plan économique : « Dans nos sessions Zoom, l’accord général était de ne pas avoir peur d’aborder les défis, les moments difficiles de la vie en temps de COVID. Pour Martine et moi, ayant conjoints, maison, cour et travail à domicile, il n’y a pas eu de stress de nature économique. Cependant, le projet m’a fait réaliser que l'absence dans ma vie de mes deux enfants, de leurs conjoints et surtout de mon petit-fils pendant 18 mois était une grande perte. Pour la première fois dans sa vie, mon petit-fils n'a pas eu de Noël chez grand-maman. »

Une catharsis s’est produite pour Émilie Dubois, écrivaine et actrice, lors du processus d’écriture : « Pour ma part, cela m’a fait du bien de mettre en mots des frustrations, des joies, des incompréhensions en lien avec la pandémie », témoigne cette dernière. La dramaturge n’est certainement pas la seule à avoir retiré de tels effets de la pièce, la comédie aidant à faire face au stress émotionnel engendré par la pandémie.

Du théâtre en pandémie

Dean Stockdale
Dean Stockdale joue ici le rôle d'un petit garçon lors d'une conversation Zoom avec sa grand-mère.
Crédits : Courtoisie de la Troupe du Jour

Comme pour bien des projets depuis le début de la pandémie, une atmosphère d’incertitude a entouré la création de Pandamour. « Quand j’ai commencé à travailler sur la pièce en février, les premières émotions qui ont surgi ont été de la confusion et de l’incertitude. On ne savait pas combien de temps le confinement allait encore durer et on ignorait si le spectacle serait présenté live ou en virtuel, confie Martine Noël-Maw. Il y avait beaucoup d’inconnues, mais on s’est lancés dans la création en se disant que peu importe la forme que ça allait prendre, on avait des choses à dire et à partager. »

Bruce McKay, co-metteur en scène de Pandamour ainsi que directeur artistique et co-directeur général de LTDJ, exprime lui aussi le même ressenti : « Nous avons commencé à planifier la tournée il y a un certain temps et il était impossible de savoir quel serait l'état des choses en été. Quels types de restrictions seraient encore en vigueur ? Comment pouvions-nous répéter et partir en tournée en toute sécurité ? Les gens seraient-ils prêts à venir voir du théâtre ? Il fallait essayer d'anticiper les différents scénarios. »

Une ambiance festive

Martine Noël-Maw a assisté à la pièce de théâtre le 24 juillet à Saskatoon et note l’ambiance festive insufflée par l’œuvre : « J’ai été très agréablement surprise. C’est étonnant de voir à quel point l’équipe a réussi à créer un tout cohérent en réunissant nos textes. Le spectacle est beaucoup plus musical que ce à quoi je m’attendais et cela entraîne le spectateur dans une ambiance festive qui fait contrepoids à ce qui aurait pu être lourd comme sujet. Il y en a pour tous les âges et c’est bien rodé. Chapeau ! »

Pour sa part, Émilie Dubois décrit ainsi Pandamour : « Une pièce tout en légèreté... Une pièce qui souligne des faits cocasses et parfois plus émotifs en lien avec la pandémie. Une pièce musicale pour toute la famille ! » Quant à Marie-Claire Marcotte, elle qualifie la pièce de « pot-pourri amusant et divertissant de scènes et interludes musicaux au sujet des hauts et des bas de la pandémie ».

À la suite de la présentation du 30 juillet à Moose Jaw, l’actrice et metteuse en scène Gabrielle Dufresne a exprimé son bonheur de renouer avec le public en chair et en os : « Ça fait du bien d’être accueillis dans les communautés et de retrouver les spectateurs en personne ! » 

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Sarah Vennes-Ouellet

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 - mercredi 27 novembre 2024