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La réussite des enfants au coeur du congrès des parents fransaskois

La réussite des enfants au coeur du congrès des parents fransaskois

SASKATOON - L’Association des parents fransaskois (APF) a tenu son symposium le 26 octobre autour du thème « Être parent en 2019 ».  L’événement a rassemblé 128 participants.

1 décembre 2019/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (27246)/Commentaires ()/
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Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants

Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants

Survol des activités organisées par les écoles fransaskoises pour souligner le jour du Souvenir.

29 novembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28202)/Commentaires ()/
Le Collège Mathieu surfe sur la vague du numérique

Le Collège Mathieu surfe sur la vague du numérique

Regina a accueilli le congrès du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada

REGINA - Le Collège Mathieu était l'hôte du congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada les 6 et 7 novembre 2019. Le thème de cette année : « Le numérique, un dénominateur commun. »

28 novembre 2019/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (28838)/Commentaires ()/
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Au CÉF, l’école se veut communautaire et citoyenne !

Au CÉF, l’école se veut communautaire et citoyenne !

Entretien avec Ronald Ajavon, directeur général du Conseil des écoles fransaskoises

Le CÉF travaille à établir un modèle unique d’école communautaire citoyenne en Saskatchewan. Il vise à favoriser à la fois la réussite des élèves et l’épanouissement des communautés.

19 novembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25101)/Commentaires ()/
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École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?

École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?

Une semaine après que les Franco-Colombiens aient demandé de meilleures écoles devant la Cour Suprême…

2 novembre 2019/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (24865)/Commentaires ()/
Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Le NCLEX (National Council Licensing Examination) fait trembler bien des candidats francophones au programme de sciences infirmières. Si dans sa version anglaise plus de 80 % d’entre eux réussissent au niveau national, le taux de réussite tombe à 30 % pour les candidats en français.

31 octobre 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (29091)/Commentaires ()/
Une communauté dévouée pour son école

Une communauté dévouée pour son école

Un nouveau terrain de jeu pour l'École Providence de Vonda

Grâce à la mobilisation des parents, du personnel et de la ville, l’École Providence de Vonda s’est paré d’un terrain de jeu flambant neuf pour le plus grand plaisir des enfants.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (32506)/Commentaires ()/
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Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

L’école Monseigneur de Laval, Pavillon secondaire des Quatre Vents à Regina, n’a rien à envier aux établissements de la majorité.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25813)/Commentaires ()/
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La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

Un programme offert de la maternelle à la 3e année

SASKATOON - Les étudiants de la maternelle à la 3e année de l’école St. Michael Community School à Saskatoon auront l’occasion de suivre le premier programme d’apprentissage de la langue michif offert dans la ville et l’un des deux seuls programmes à l’échelle de la province.

15 septembre 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (27763)/Commentaires ()/
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Retrouvailles au Collège Mathieu

Retrouvailles au Collège Mathieu

45 ans après avoir terminé leurs études au Collège Mathieu d'anciens élèves se sont rencontrés à Gravelbourg.

 

29 août 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28379)/Commentaires ()/
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Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau vive en a rencontré six.

21 juillet 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (29824)/Commentaires ()/
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Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année. Elle part maintenant étudier les sciences en français à l’Université d’Ottawa.

19 juillet 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26368)/Commentaires ()/
Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Remise des prix Expo-science 2019

REGINA - Le 20 juin dernier, à l’école Monseigneur de Laval de Regina, on a pu assister à un spectacle de chansons, de danses concocté par les classes de 3e année,ainsi qu'à la remise des prix aux gagnants de l’Expo-sciences qui s‘était déroulée au début du mois.

16 juillet 2019/Auteur: Linda Morales/Nombre de vues (27284)/Commentaires ()/
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Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Terry Gaudet et Michel Forest honorés par la Saskatchewan High Schools Athletic Association

Terry Gaudet et Michel Forest, enseignants respectivement à l’École St-Isidore à Bellevue et à l’École Mathieu de Gravelbourg, ont chacun reçu le Prix du service de la Saskatchewan High Schools Athletic Association (SHSAA). Ces récompenses viennent souligner l’implication remarquable des deux instituteurs pour le sport à l’école.

13 juillet 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (29760)/Commentaires ()/
Une foire des sciences totalement en français

Une foire des sciences totalement en français

Expo-sciences à Mgr de Laval

REGINA - Le jeudi 6 juin 2019 avait lieu la foire des sciences de l’école Monseigneur de Laval. Les élèves de la 3e et de la 5e année étaient présents pour exposer leurs projets de recherche. 

22 juin 2019/Auteur: Linda A. Morales/Nombre de vues (28055)/Commentaires ()/
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David Suzuki en soutien à la nouvelle génération de guerriers de l’eau

David Suzuki en soutien à la nouvelle génération de guerriers de l’eau

Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/15 octobre 2024/Catégories: Agriculture et environnement

Lors du Sommet One Young World au Palais des congrès de Montréal, tenu du 18 au 21 septembre, David Suzuki et d’autres activistes ont souligné l’importance de la préservation de l’eau sur la planète. Avec une intensification des changements climatiques et un manque de pouvoir politique chez les jeunes, la désobéissance civile est de mise selon David Suzuki.

« Nous sommes faits de 60 à 70 % d'eau, nous en avons besoin en permanence », a rappelé le célèbre environnementaliste lors de sa présence au prestigieux sommet de portée mondiale.

L’activiste canadien, originaire de Colombie-Britannique, œuvre pour la préservation de la planète et martèle le même discours depuis ses premières émissions télévisées dans les années 1960.

Depuis, l’activité humaine a continué d’affecter l’équilibre de la planète. Inondations, sécheresses, chaleurs extrêmes voient leur fréquence et leur violence redoubler. 

L’union des générations

Face à l’urgence, le Sommet One Young World réunit chaque année quelque 2 000 jeunes leaders mondiaux des quatre coins de la planète pour accélérer l'impact social dans divers domaines.

Lors de l’une des conférences du sommet, intitulée Les guerriers de l’eau, David Suzuki figurait ainsi auprès de Sue Whisky, jeune environnementaliste du Malawi qui milite depuis l’âge de 14 ans pour soutenir l’agriculture de son pays. Deux générations, deux pays différents, mais avec un enjeu commun : la préservation de l’eau.

Au Malawi, les citoyens dépendent massivement de l’agriculture et les systèmes d’irrigation sont essentiels pour la survie de nombreuses familles.

« La déforestation est un immense problème au Malawi et à travers l’Afrique. Si on peut éduquer les gens, on peut préserver la forêt », témoigne Sue Whisky.

Au Tchad, l’eau est aussi un enjeu de taille. Ce sont les éleveurs de bétail qui souffrent de la sécheresse, mais aussi des inondations.

Didja Tchari, représentante d’une communauté d’éleveurs de bétail appelée Mbororo Fulani, ou peuple peul, est venue jusqu’à Montréal pour livrer un message, et trouver des appuis politiques.

« Je suis venue aider ma communauté qui est impactée par le changement climatique à s’adapter et pour partager mes expériences et saisir des opportunités », explique-t-elle.

Cette année, les températures ont atteint plus de 50 degrés à l’ombre au Tchad. « L’eau est rare et les pâturages aussi. Et avec la saison des pluies maintenant, il y a des inondations », déplore-t-elle.

Le bétail dépérit et les communautés d’éleveurs n’arrivent pas à faire de transhumance interfrontalière. « Les terroristes de Boko Haram empêchent les communautés de se déplacer et la disparition du lac Tchad contribue à la difficulté de la situation », ajoute la jeune femme.

Quelle place pour les jeunes ?

Aujourd’hui, Didja Tchari veut constituer une voix pour la nouvelle génération. « Les jeunes de ma communauté n’ont pas accès à des postes de prise de décisions », exprime-t-elle sans détour.

David Suzuki, figure majeure du militantisme vert à l’échelle internationale, constate que les jeunes sont les premiers touchés par le réchauffement climatique, mais leurs voix ne portent pas.

Car trouver des appuis politiques pour convaincre les gouvernements d’agir n’est pas chose aisée. En témoigne la difficulté de Didja Tchari à persuader les décideurs tchadiens d’aider les éleveurs du pays face au réchauffement climatique.

« Les besoins sont énormes, il faut faire des plaidoyers au niveau national et au niveau international, revendique Didja Tchari. Le Tchad a ratifié les Accords de Paris, mais les politiques ne mettent rien en œuvre », s’insurge-t-elle.

Alors, est-ce que l’avenir passe par les jeunes ? Pour David Suzuki, 88 ans, la réponse est non, même  si ces derniers représentent la relève, car « ils n’ont pas de pouvoir politique », note-t-il.

« Ce sont les aînés qui doivent descendre dans la rue pour défendre les jeunes générations et encourager la désobéissance civile », conclut David Suzuki. D’une génération de défenseurs de la planète à une autre, la passation du flambeau est en cours.

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Ghita Hanane

Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse

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 - samedi 23 novembre 2024