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Poursuivons notre exploration des anglicismes intégraux… Une chasse incessante qui révèle la manière dont ils se sont infiltrés dans notre langage de tous les jours.
Après avoir présenté de façon aussi sérieuse que drôle, les idiomes anglais, français et québécois, j’oriente maintenant mon attention vers : les anglicismes.
Avec des expressions linguistiques assez spéciales, les Québécois ont conçu une manière toute particulière d’exprimer un éventail de situations et d’actions incroyables.
Lançons-nous encore une fois et poursuivons notre aventure idiomatique québécoise !
Les Franco-Canadiens ont fait preuve de la plus grande des imaginations au fil des siècles pour exprimer tout un éventail d’actions.
Avant de vous brosser tout un triptyque d’expressions québécoises pittoresques après la pause estivale, je veux explorer un phénomène linguistique propre aux Québécois.
Avec ce nouveau récit imbu de fantaisie, j’entame une série de cinq articles sur les mots et les expressions franco-canadiens. Allons-y !
Vous vous montrez complaisant ? Mais ayant mangé la soupe à la grimace, vous avez reçu un accueil peu chaleureux ? Quel dommage.
Il ne faut pas tirer de conclusions à partir d’une seule expérience. Reprenons notre aventure idiomatique avec une autre belle ménagerie de créatures originales et surprenantes.
Ayant un bœuf sur la langue, vous ne confiez rien à personne, gardant fermement un secret ? Que signifient, au juste, ces idiomes animaliers tout à fait insondables ?
Par manque de ressources en français, surtout pour parler des sujets autochtones, une enseignante décide d’outiller elle-même les autres via son compte Instagram frenchiemetisteaches.
Quand les conseils scolaires et les établissements postsecondaires francophones s’engagent sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones…
Dans un rapport rendu le 9 octobre, le commissaire aux langues officielles souligne les défis dans les domaines de l’éducation et de l’immigration francophone.
Le gouvernement de la Saskatchewan a dévoilé le 25 septembre les sites qui accueilleront les deux nouvelles écoles francophones de Saskatoon et Prince Albert.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement décidé d’annuler l’imposition d’un loyer mensuel aux Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE).
Nouvelles charges financières… Les Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE) en pleine consultation avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) !
En cette rentrée scolaire, les enseignants des écoles fransaskoises et d’immersion peuvent se réjouir d’apprendre que le programme LIVE Arts est de retour.
Un article publié dans l’Eau vive en 1983 nous rappelle que la lutte pour l’éducation francophone reste un dossier prioritaire pour les Fransaskois.
En cette rentrée 2024, les enseignants francophones se font de plus en plus rares et la pénurie touche désormais les villes.
En milieu francophone, certains établissements postsecondaires peinent à trouver les fonds pour financer l’entretien de leurs installations et de leurs équipements.
Le retour en classe n’est pas bien vécu par tous les jeunes, victimes de violence et harcèlement dans les cours d’école et sur les réseaux sociaux. Quelles solutions ?
Le 1er juillet 2024 est la date officielle du 50e anniversaire de l’Université de Regina et marque le commencement d’une année remplie d’événements spéciaux.
Les nouvelles charges financières annoncées par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) pour la petite enfance créent polémique au sein de la communauté fransaskoise.
La construction de la nouvelle école élémentaire francophone de Regina avance à grands pas. Les travaux ont commencé en juin 2023 mais l’établissement n’ouvrira ses portes qu’en janvier 2025.
Le 27 mai, le Collège Mathieu de Gravelbourg a annoncé une forte baisse des frais de scolarité à l’intention des étudiants internationaux.
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- vendredi 22 novembre 2024